Le Ciel |
L'Humanité |
Références |
Lavoisier disait " rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme". De cette affirmation, j'ai conclu que Dieu ne pouvait être que le "Tout" et qu'il évoluait mû
par la vie qui sort de Lui comme la lave d'un volcan, et un besoin d'harmonie qui l'amène à des états de résonance engendrant une force d'amour sans limite.
La vie est un ensemble gigantesque de vies et parmi elles, certaines sont des âmes qui vont fédérer autour d'elles un ensemble de vie et générer ainsi la flore, la faune et
l'humanité. Cette âme est une sorte de cavalier qui monte la vie et lui confère ses caractéristiques. Une vie se nourrit d'autres vies et elle peut parfois être vorace et
devenir à l'extrême une sorte de trou noir. Pour une vie, ce qui est bien est ce qui lui permet de s'épanouir et de durer. Le mal c'est ce qui l'agresse et la met en danger.
Pour un ensemble de vies, une tribu, on peut aussi définir un bien et un mal mais le bien pour une tribu est souvent le mal pour une autre et vice versa.
Que les plus forts abusent des plus faibles, ne semble pas juste mais c'est ainsi. La chance étant aveugle, l'inégalité règne dans le sort des uns et des autres.
L'autre moteur de Dieu est le besoin d'harmonie qui pousse ses parties à s'accorder. L'accord entraine des résonances et des élans irréprésibles qui poussent
les âmes qui y sont sensibles à ouvrir la vie à la charité, l'amour et le partage.
Dieu a aussi une âme et celle-ci est imprégnée de l'amour résultant du besoin d'harmonie de Dieu. En chevauchant la vie, cette âme va conduire la vie à l'état Christique
dans lequel Dieu se partage. Dieu, En engendrant des enfants, se meurt mais son âme devient l'Esprit-Saint ou l'Éternel.
Dieu, le Système Solaire primordial se meurt en donnant naissance à une famille d'étoiles qui feront de même grâce à l'Esprit-Saint.
De l'évolution qui conduit Dieu et ses enfants à l'état Christique, on sait peu de choses si ce n'est que dans notre système solaire, un des descendants de ce Dieu primordial,
elle s'étend sur environ cinq milliards d'années et que l'humanité a fait son apparition très tardivement. Je crois que ces nouveaux venus
ont provoqué le "crépuscule des dieux" et le déluge. La raison en est que ces humains à la différence des autres vies, seraient dotés d'une âme capable d'évolution et
de devenir des âmes à même d'animer les futurs enfants du Système solaire quand à son tour, il se partagera.
Le rôle de Satan et de Lucifer dans notre Système Solaire, est d'extraire du troupeau de l'humanité quelques sages qui vont se libérer de l'Enfer dans lequel
est plongée l'humanité. Au Purgatoire, ils vont se purifier et libérer leur âme pour qu'elle se prépare à recevoir le Saint-Esprit.
Quand, à son tour, notre Système Solaire aura atteint l'état Christique, le Saint-Esprit viendra confirmer la qualité de ces âmes en communiant avec elles.
C'est le "Jugement dernier". Il s'assure ainsi que ces âmes seront capables de chevaucher la vie des futurs enfants du Système Solaire
et de les conduire à leur tour à l'état Christique.
Aujourd'hui sur Terre, l'homme est plongé dans un océan de mensonge, l'élite a sombré dans la folie et le "Great Reset" me fait dire que nous nous approchons de ce moment fatidique dans lequel notre système solaire va sa partager.
" Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer
"
Ephphatha
La dualité prend sa source dans l'existence des deux moteurs qui animent Dieu: l'Enthousiasme ou la Vie et la Charité ou l'Amour.
La Vie nait en prenant forme dans la matière et elle se nourrit d'autres vies qu'elle tue avant à son tour de mourir.
La Charité est un état d'amour qui conduit Dieu à la fin de sa vie, à se partager en engendrant des enfants,
des systèmes solaires qui à leur tour pourront faire de même.
Le Dieu de Moïse, est celui qui lui donna la clé pour comprendre tout cela. Cette clé, la table qu'il reçut et qu'il brisa,
devait être simplement, l'alphabet hébreu, une somme de vingt-deux lettres symboles qui permettent de découvrir comment
Dieu a atteint l'état christique, cet état d'amour et de charité dans lequel il a donné sa vie en engendrant des enfants
et quil est devenu l'Éternel dans le Saint-Esprit.
De cette Table, on peut comprendre le rôle de l'humanité, qui est une espèce de vie particulière dont l'âme peut évoluer. Son rôle dans un
système solaire est celui de préparer le partage de celui-ci en disposant d'âmes dignes d'animer ses enfants.
L'Enfer dans lequel l'humanité est plongé a pour but de forger quelques humains pour en faire des sages,
c'est à dire, faire évoluer leur âme afin d'être prête à recevoir le Saint-Esprit quand le système solaire se partagera à son tour.
Moïse brisa cette table quand il comprit que son peuple devait et voulait servir le forgeron de cette humanité et
Josias et Jérémie ont élaboré une religion avec un Dieu utile au forgeron qui semble avoir autant besoin des hommes que
les hommes l'ont de lui. Il est semblable à celui qui fait dire à Jésus : " aimez vous les uns les autres ".
Ce Dieu est une invention du pouvoir. Il ne communique pas avec un homme mais avec l'ensemble des hommes supposés s'aimer entre eux.
L'obligation de solidarité entre eux devient telle que celui qui recherche à se libérer de ses liens terrestres est regardé
comme un ennemi de la société, un homme manquant d'amour pour son prochain. C'est un pêcheur voué au bûcher. Avec ce Dieu,
le Diable est nécessaire pour faire marcher droit le troupeau appelé la communauté des fidèles.
Ceux partis à la recherche du sens des choses, de l'univers, des systèmes solaires, de l'humanité vont se retrouver hors jeux.
Ils marchent à l'aventure guidés par le Porteur de lumière, avec l'espoir de réaliser ce pourquoi ils existent. Les autres, crédules et aveugles, suivent une hiérarchie,
un gang de menteurs, de voleurs et d'assassins qui les exploiteront jusqu'à leur mort.
Quelle est la différence entre la droite et la gauche ?
Une réponse se trouve dans " Les frères Karamazov ". Ivan raconte là à son frère une fable dans laquelle Jésus revenu à Séville a été condamné à mort
par l'Inquisition. Le grand inquisiteur visitant Jésus dans sa cellule lui dit qu'en rejetant les trois tentations de Satan en faveur de la Liberté, il s'est trompé
sur la nature humaine. La majorité des humains ne peut pas profiter de la Liberté que Jésus leur a apportée et donc avec ce cadeau, la majorité des humains est exclue du Salut
et ainsi condamnée à la souffrance. "Nous ne sommes pas avec Toi mais avec lui (Satan) et c'est notre secret! Depuis des siècles, nous t'avons abandonné pour le suivre". Il
ajoute que sous sa direction l'humanité va vivre et mourir heureuse dans l'ignorance qu'elle est conduite à la mort et la destruction.
Le grand Inquisiteur et les hommes qui s'enfoncent dans le mensonge et les ténèbres sont les hommes de gauche. L'homme de gauche veut éliminer
" Dieu " pour créer un monde soit disant meilleur, l'Utopie de Thomas More. En permanence, il crée des nuages pour voiler la lumière qui vient du " Ciel
" afin de mieux abuser son troupeau. Et ce faisant, il le coupe de la source de la vie et l'entraîne dans l'esclavage vers la
mort.
Dieu dans l'ancien testament, a institué des juges pour arbitrer les conflits entre hommes libres.
Quand le peuple à demandé à Samuel un roi pour les guider plutôt que de continuer à écouter Dieu, il leur a été dit (Samuel 8-10) que ce chef les réduirait
en esclavage et malgré tout, ils ont élu un roi. Ce qui devait arriver est arrivé : les hommes ont été réduit en esclavage.
L'homme de droite marche à contre-courant à la recherche de la Lumière et de la Vérité. La droite est un mouvement révolutionnaire qui déchire le voile du Temple
pour que la Lumière pénètre à nouveau la Terre. Elle libère l'homme, l'incite à sortir de sa cave, à vivre pleinement. Pour lui, être est mieux qu'avoir.
L'homme de droite veut se libérer de toutes ses dépendances et ne veut pas être un assisté. Sur le chemin de la Lumière et de la Vérité, il lui faut oser dénoncer
les mensonges et briser les tabous. C'est la gauche qui multiplie les règlements et dicte au peuple le politiquement correct.
L'homme de droite aime la beauté, l'authenticité et ce qui est sain et sonne juste à son cœur.
la gauche aime ce qui est grossier, tordu et malade. Elle se complaît dans les méandres de son âme perverse avec l'aide des psychanalystes.
Elle veut faire descendre la Lumière dans la fange au lieu de s'élever et s'ouvrir vers elle.
La gauche veut créer un homme nouveau, enchaîné par une solidarité universelle écrasante et un sentiment de
culpabilité permanent envers l'injustice de la misère et la maladie, et les crimes commis par ses ancêtres tels que: l'holocauste, l'esclavage et la colonisation.
La droite doit être la voix qui crie dans le désert pour faire éclater ces mensonges et briser les chaînes. Elle doit rappeler à chaque
homme qu'il a un destin et que lui seul peut le réaliser. Nul ne peut le faire à sa place,
sa lumière doit le guider et ses erreurs seront les siennes. Elle sait que chaque homme qui remonte le courant vers la Lumière est un individu unique qui
ne peut être conduit comme une bête de troupeau. La droite est un mouvement pour des hommes en route vers l'illumination et la gauche, un carcan pour les
esclaves que l'on conduit au tombeau.
"Dieu" a donné à chaque individu le pouvoir de communiquer avec lui. Il n'a pas donné ce pouvoir à une collectivité, un gouvernement ou une association quelconque mais à chacun de nous, nous plaçant ainsi tous sur un pied d'égalité. C'est en s'ouvrant à cette communication, que l'on peut espérer réaliser ce pourquoi nous existons.
A l'aune de ce propos, il me semble que nombreux de ce qui se prétendent être de droite, ne sont en fait que des conservateurs soucieux de ne pas perdre leurs acquis.
PS. - Mon fils me dit qu'il existe un chemin milieu entre la Droite et la Gauche: celui du "Après moi, le déluge". Dans ce chemin, il s'agit de profiter de la vie sans s'occuper du lendemain et des autres. C'est un chemin effrayant de destruction où le plaisir d'un instant justifie tout: tous les mensonges, tous les vols et tous les meurtres. C'est le chemin du désespoir où la vie n'a aucun sens, celui à la fin d'une époque où les gens dit intelligents sont sans foi, ni loi.
La majorité des gens dit intelligents ne croit à rien. C'est une bande de cyniques et de sceptiques, qui ont une vision du monde
divisé entre une minorité dominante et une majorité dominée. Pour eux, la religion est 'l'opium du peuple', c'est un outil pour abrutir les esclaves
en leur promettant le paradis après la mort, s'ils ont été de bons serviteurs. Telles quelles, ces religions ne sont que des escroqueries.
Ces dominants sont essentiellement des esclavagistes pour lesquels les dominés doivent être dressés afin de devenir de 'bons outils parlants'.
Ils adorent le vaux d'or et craignent la mort et la révolution.
Je donne tors à cette majorité intelligente et j'accepte de passer pour un crétin car je trouve cette vision du monde laide et absurde.
Ils ont la vue basse. Saint-Augustin aurait dit d'eux, qu'ils n'ont pas la grâce
et donc qu'ils sont incapables de percevoir la générosité du Christ qui se meurt en partageant sa vie avec nous.
Pour les uns, la Terre est un terrain de jeux et de chasse où l'on peut piller à volonté et où règne la loi du plus fort. Pour les autres, la Terre est un terrain miné, elle est pleine de pièges et de prédateurs qui menacent leur liberté et leur vie. Chaque jour, ils sont obligés d'œuvrer pour survivre. La plupart respectent les puissants et courent après les honneurs. Ils poursuivent leurs intérêts et leurs plaisirs, et ne reculent devant aucun mensonge pour y parvenir. La vérité pour eux est ce qui les conforte et les justifie. La perte du sens du vrai et du faux, les rend crédules et en fait les proies faciles d'un plus grand menteur: un sorcier pour les maladies et un gourou pour conjurer le mauvais sort.
A partir de la puberté et jusqu'à un âge plus ou moins avancé, ils sont soumis à des pulsions d'autant moins contrôlables qu'elles sont puissantes. Ces pulsions montrent que les humains ne sont pas bien loins des animaux et quand ces pulsions sont couplées à un imaginaire compliqué, elles peuvent les faire descendre encore plus bas que les animaux et tomber dans l'horreur.
Cacher l'aspect sombre de l'homme est hypocrite. L'homme est un mélange du meilleur et du pire. C'est un prédateur mais il peut aussi être touché par la grâce et avoir envie de partir à la recherche du pourquoi de son existence pour en réaliser l'objectif. L'homme se développe et apprend grâce à son cerveau et fleurit grâce à son cœur. S'il ne fleurit pas, il ne donnera pas de fruit et il resera stérile. Comme la vigne, il a besoin d'être taillé pour fleurir et porter des raisins.
Saturne, sous l'apparence de Satan a emmené le troupeau humain loin du Paradis, Il a fui vers l'ouest loin de " la lumière de l'Esprit-Saint ". Il a ainsi généré un mouvement descendant dans les ténèbres pour s'en cacher. Ce mouvement est comme un fleuve qui emmène dans son courant le troupeau humain. Ce courant, il l'a baptisé Progrès et il prétend conduire le peuple à la connaissance et à l'illumination, alors qu'il l'enfonce dans les ténèbres et le mensonge dans un monde incohérent et confus, vers la mort.
Pour retrouver la lumière, il faut cesser de se laisser dériver avec le courant et se mettre à nager à contre vers l'Est,
il faut dès l'enfance, écouter sa conscience et lutter pour éviter de devenir un menteur, un courtisan répète Jacquot, un peureux angoissé et un paresseux servile
et assisté car tous ces travers sont des obstacles pour progresser vers la Vérité, et un jour découvrir et réaliser ce pourquoi on existe.
Il ne faut pas faire semblant comme les pharisiens mais faire en sorte que sa nature puisse évoluer librement afin de retrouver le chemin de la Vérité.
Il ne s'agit pas de paraître mais d'être.
Le pouvoir sur Terre, est aux ordres de Satan, il doit être perçu comme l'ennemi ou l'aiguillon de ceux qui recherchent la Vérité, il faut composer avec lui mais tout faire
pour s'en tenir à distance. Les pouvoirs détenus par la force pour voler, asservir et briser les récalcitrants, ou par l'argent pour corrompre,
ou par les maîtres à penser en philosophie, idéologie, histoire et science, existent pour barrer la route qui conduit vers la Lumière et la sortie de l'Enfer.
Le pouvoir médical est un des plus dangereux et sournois car toutes ses remèdes attaquent le système
immunitaire et transforme rapidement l'individu en un toxicomane dépendant. Quant aux autres maîtres à penser, ils n'ont qu'un but,
celui par des paroles mensongères et des spectacles souvent pervers et décadents, celui de brouiller chez l'individu sa boussole et ainsi
d'empêcher sa conscience de l'alerter quand il fait fausse route.
Mais la vie est semblable à une pièce de théâtre. Il faut que le spectacle ait lieu. Chacun doit s'incarner dans son rôle. La pièce pour se dérouler proprement requiert un temps suffisant. Satan est le régisseur de ce mélodrame. Il contrôle son déroulement et active à chaque acte une nouvelle source d'énergie. Ce mélodrame, se compose de trois actes :
Le premier acte est celui du guerrier. Il s'agit pour lui de trouver et de prendre ce dont il a besoin pour survivre. L'enfant doit se développer physiquement et s'ouvrir à la conscience. Il apprend à se socialiser, à identifier ses amis et ses ennemis, à aimer et haïr. Il lui faut faire sa place et s'adapter à son environnement, sans pour autant devenir boulimique, agressif et paranoïaque. Ces éléments doivent avoir été maîtrisés au cours de cet acte pour un assurer le bon déroulement du spectacle ultérieur.
Le deuxième acte est celui du bâtisseur. L'adolescent a pris son essor et il est devenu pubère. Après avoir maîtrisées ces nouvelles pulsions, il va construire sa maison, fonder une famille et pourvoir à ses besoins et à sa protection. La mauvaise maîtrise des pulsions au contraire, peut conduire l'homme à la luxure, la débauche et la perversion, qui précipiteront irrémédiablement celui-ci à sa déchéance et une fin sordide.
Le troisième acte devrait être celui du Sage, du Soufis et non simplement celui du rentier. Les conquêtes sont achevées et il est temps de s'occuper de son âme. Il lui faut avec l'aide de Lucifer, l'alter ego de Satan, sortir de l'Enfer, cet océan de mensonge et trouver la paix. La paix est nécessaire pour désintoxiquer son corps et son âme afin que dans les bras de Saturne, cette dernière puisse se libérer de ses liens terrestres et se préparer à recevoir le Saint-Esprit quand il descendra sur Terre lors du Jugement Dernier.
Le chemin de l'éveil passe par une descente aux enfers. En mangeant avec Ève, le fruit de l'arbre de la connaissance,
la descente dans les ténèbres était inévitable. Le besoin de se socialiser ( Ève ) et l'éveil à la connaissance ( la pomme ) entraînent
une coupure de la communication avec " l'Esprit-Saint. " La socialisation est un signe du côté animal et grégaire de l'espèce humaine et elle peut générer des
sentiments passant d'un extrême à l'autre, amour et haine comme illustrés par Adam et Ève et Caïn et d'Abel.
Avec l'éveil à la connaissance, l'homme pénètre dans le monde cérébral, qui est un monde virtuel. Là
il prend conscience de lui et des autres d'où découlent la crainte, l'envie, la jalousie et la haine: les moteurs du pouvoir.
La vie est fragile : pour survivre, elle doit se protéger des rayons cosmiques (le Ciel) et des prédateurs terrestres. Pour se nourrir, elle tue des proies,
et pour assurer sa postérité, elle se socialise. Le développement de la cellulle familiale requiert une organisation. Tout cela ajouté à la neccesité d'une durée de vie
suffisante pour pouvoir atteindre son objectif, justifient cette coupure de communication avec le Ciel..
Pour certains la vie en enfer n'a pas d'alternative et ils continuent ainsi à
se comporter comme des trous noirs en dévorant tout ce qui les entoure jusqu'à en mourir d'épuisement après avoir tuer leur cœur et leurs instincts naturels.
D'autres et peu importe le nombre, peuvent ressentir le désir instinctif de réaliser l'objectif de leur existence.
Le monde animal et rationnel n'est plus en mesure d'étouffer ce besoin et ils devinent que se réaliser signifie en fait la participation
à l'évolution de Dieu.
Quand il n'y aura plus d'homme à même d'engendrer une âme capable de participer à cette œuvre, c'est que l'humanité sera devenue stérile et inconsciemment,
elle appellera à sa propre destruction.
Sur Terre, en partant tout droit, au bout d'un certain temps, vous revenez à votre point de départ. Vous avez décrit un cercle.
Si cela semble évident sur le plan physique, cela n'en est pas moins vrai dans le monde de la pensée. Sur Terre, nous vivons dans un systeme quasiment clos et donc
nous sommes limités par le cercle. Aller en ligne droite nécessiterait que nous nous soyons libérés de la pesanteurs et que nos actions et pensées soient sans conséquence.
Ainsi sur Terre, un début implique une fin, et une naissance, une mort. La ligne droite comme l'éternité, n'ont pas d'existence réelle.
Le diamètre du cercle peut être plus ou moins grand et agrandir son cercle, signifie: s'ouvrir et tenter de retrouver son équilibre dans un monde élargie plus complexe,
ce qui ne veut pas dire plus de règles mais plus de paramètres, de dimensions.
Mais pourquoi vouloir agrandir son cercle, quitter sa famille, son clan, sa paroisse ? Quand nous ne sommes plus en harmonie à l'intérieur de notre cercle,
que nous devenons sensible à ce qu'il contient d'artificiel, d'incohérence et de mensonge, nous ressentons le poids de nos chaînes et découvrons les limites de
notre cellule. Il est alors temps de partir à l'aventure vers la lumière que
nous croyons percevoir dans le lointain. La poursuite de cette démarche pourrait sembler être le propre d'un perpétuel insatisfait, qui refuse de naviguer tranquillement
au fil de l'eau avec les autres. Elle peut être due aussi à une sorte d'appel, un besoin de comprendre et de réaliser ce pourquoi nous existons.
Ce n'est pas pour bénéficier d'avantages, devenir saint ou immortel, savant ou puissant et pouvoir impressionner les
autres. L'idée même, de valoriser cette démarche est nuisible, car elle révèle un mauvais comportement.
Truc et tricherie sont d'aucune utilité pour parvenir à la compréhension et à la réalisation de l'objectif.
L'humanité est un troupeau créé par Saturne dans le but de produire quelques âmes à même de recevoir le Saint-Esprit et ainsi de pouvoir animer les futurs enfants du Système solaire
quand il va se partager. Pour ce faire, sur Terre, Saturne sous l'aspect de Satan, le forgeron qui travaille au repoussé et de Lucifer, le porteur de lumière, essaye de faire sortir
de ce troupeau quelques êtres libres et pensants et parmi ceux-là, des sages capable d'appréhender ce qui est attendu d'eux. Ces sages vont ainsi pouvoir sortir de l'enfer de la forge,
trouver la paix et aider leur âme à se libérer pour se préparer sous la conduite de Saturne à recevoir le Saint-Esprit.
![]() La vie suinte à travers le noyau la dorsale de la pêche |
Au fond de l'océan de Neptune, près des dorsales, la vie a émergé de la fournaise de Pluton, du fond des entrailles de la Terre. Mars, l'a mise en mouvement, elle s'est éloignée des dorsales et s'est mise à nager dans l'océan. Pour survivre, la vie va trouver la possibilité d'absorber l'oxygène apporté par Jupiter. Enfin la Lune va aider la vie à mettre le pied sur terre.
Avec la Lune, la naissance de la vie sur terre est un phénomène continu car la vie des cellules est très courte. Les cellules ensuite, s'associent pour batir les différentes espèces: végétale, animale ou humaine. Saturne est l'architecte et le chef d'orchestre. Il connaît le plan et la partition et il dirige l'orchestre. Mercure fournit les matériaux nécessaires et Vénus les ajuste pour assurer l'harmonie de la constructuion
L'élément eau, l'état liquide
Une pentarchie composée de Jupiter et Neptune dans les Poissons, de La Lune dans le Cancer, de Mars et Pluton dans le Scorpion, contrôle l'élément eau dans lequel toute vie prend son essor.
Pluton, au fond de l'abîme, est le maître des entrailles de la Terre, et de sa fournaise, il fait jaillir la vie. La vie toute entière, resterait bien au chaud près de la fournaise, mais Neptune, le maître de l'océan environnant, avec les Sirènes aux chants merveilleux, l'invite à se fondre et se noyer dans son océan. C'est alors que Jupiter et Mars viennent à son secours. Jupiter lui procure une source d'énergie: l'oxygène, et Mars lui apprend à nager et à lutter pour se nourrir.
La vie œuvre de Pluton, est devenue autonome grâce à Jupiter et Mars mais sans la Lune, qui va lui apprendre à filtrer, ce qu'elle mange et limiter sa boulimie, elle s'empoisonnerait ou, comme un cancer, elle dévorerait toute vie environnante, jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus, et meure à son tour. La Lune va aussi aider la vie à se régénérer en éliminant les cellules mortes. Avec la Lune, la vie renaît tous les jours.
L'élément terre, l'état solide
La vie issue de l'eau en prenant pied sur terre, devient
végétale, animale ou humaine. Sans eau, il n'y aurait pas de vie sur terre.
En se nourrissant, la vie se développe pour s'épanouir, fleurir et donner un fruit.
Une trinité formée de Saturne dans le Capricorne, de Vénus dans le Taureau et de Mercure dans la Vierge gouverne ce développement.
Saturne conduit l'orchestre. Il connaît la partition. Il contrôle le rythme et le tempo du développement de la vie.
La vie doit devenir ouvrière pour bâtir sa maison et tenter de réaliser l'objectif de son existence. Mercure,
dans la Vierge, l'aide à trouver sa nourriture et Vénus, dans le Taureau, lui apprend à ruminer et digérer ces aliments pour les assimiler.
Il faut écouter Saturne, le chef d'orchestre, suivre Mercure pour saisir ce dont on a besoin et ruminer avec Vénus pour
digérer ce que l'on a pris afin de se développer harmonieusement.
La vie humaine avec la conscience, a un plus grand degré de liberté que les vies végétales ou animales.
La vie humaine doit donc non seulement, comme la vie végétale ou animale, s'épanouir, fleurir et donner du fruit, mais aussi
s'éveiller. L'humanité est l'œuvre de Saturne. Elle a été l'élément qui a provoqué la chute des Dieux et le Déluge car ils ont perçcu
l'objectif de Saturne qui était de produire des sages d'où il pourrait extraire des âmes et les doter chacunes de deux ailes:
amour et transport divins, afin qu'elles puissent devenir les noyaux des futurs systèmes solaires quand celui-ci ayant atteint
l'état christique va se partager.
L'élément air, l'état éthéré
Une tétrarchie formée de Saturne et d'Uranus dans le Verseau, de Vénus dans la Balance et de Mercure dans les Gémeaux
gouverne l'élément air par lequel la vie s'éveille.
L'eau a été l'élément dans lequel la vie s'est développée, l'air est celui sur lequel règne l'Esprit-Saint, l'Éternel. L'Esprit-Saint, est ce que Dieu, le système solaire primordiale a laissé
à ses enfants quand parvenu à l'état christique, il est mort en se partageant entre ses enfants qui, à leur tour, ont fait de même.
L'humanité œuvre de Saturne, n'est pas à même de communier avec l'Esprit-Saint.
Saturne pour arriver à ses fins a créé l'Enfer dans lequel vit l'humanité sur Terre. Et là, sous l'aspect de Satan et de Lucifer, ils dressent l'humanité pour que d'elle,
certains sortent de leur état grégaire et choisissent la sagesse plutôt que la folie.
En tant que Satan, il utilise la force, le mensonge, la tentation et la corruption pour faire le tri entre ceux qui cherchent la Vérité et ceux qui ne veulent pas savoir.
En tant que "Lucifer". Il l'amène la lumière au compte-gouttes pour faire passer ceux qui la recherchent, de l'obscurité à la lumière.
Du troupeau de l'humanité vont émerger ainsi des sages qui, au sortir de l'Enfer, s'ouvriront et laisseront Saturne prendre leur âme pour la préparer à la venue
de l'Esprit-Saint.
L'éclair provenant d'Uranus qui accompagne la descente sur Terre de l'Esprit-Saint, intervient à l'époque dite du "Jugement dernier". Ce Jugement a pour but
de garantir la qualité des âmes qui devraient animer les futurs enfants du système solaire.
L'élément feu, l'état rayonnant
Une trinité composée de Jupiter en Sagittaire, du Soleil
en Lion et de Mars en Bélier, régit le feu.
Jupiter, dans le Sagittaire, avec Éros, engendre
l'enthousiasme, le transport divin, et provoque l'état amoureux. Mars, dans le Bélier, touché par la flèche d'Éros transforme l'enthousiasme en
action. Enthousiasme et action sont les deux outils avec lesquels Jupiter et Mars transforme l'énergie rayonnante du Soleil en une force motrice et
créatrice. Quand le Soleil est en Bélier, Mars déborde d'énergie, quand il se trouve en Sagittaire, Jupiter est rempli de son transport divin.
La flèche d'Éros non seulement communique l'enthousiasme de Jupiter à celui qui la reçoit, mais aussi, en pointant sur l'objet de son enthousiasme, elle indique à Mars dans quel direction, il doit se précipiter.
Jupiter et Mars ont déjà sauvé la vie dans l'océan, et dans le feu ce sont encore eux les sauveurs qui vont permettre à ces âmes de devenir les noyaus des nouvelles étoiles et ainsi d'agrandir la famille de Dieu.
L'alphabet hébreu est probablement ce que contenait la table de la loi que Moïse reçut de Dieu. Les vingt-deux lettres, qui le composent, symbolissent, la vie de Dieu. Dieu, le tout, est vivant et donc en continuelle transformation. Mû par l'Enthousiasme et la Charité, il évolue et parvient à l'état christique dans lequel il se partage, se meurt en engendrant des enfants et devient l'Éternel dans l'Esprit-Saint. Chaque enfant va à son tour répéter cette genèse et ainsi contribuer à l'expansion de l'univers. Notre système solaire est un de ses descendants, une sorte d'image fractale de Dieu.
Ab - Les Pères -
Avec Aleph, dans le "Tout", une partie s'élève vers la hauteur quand une autre plonge dans la profondeur.
Avec Beth, la hauteur et la profondeur se trouvent limitées.
God - Les Dieux -
Gimel est Pluton qui règne dans la profondeur d'où la vie émerge. Daleth est Jupiter qui trône dans le ciel. Il est
le pôle d'attraction pour la vie émergente.
Huizichtikal - Les Géants -
Les géants issus de la fournaise de Pluton, batissent pour Jupiter l'Olympe. Jupiter avait un pacte avec les Géants et tant qu'il a tenu parole,
l’équilibre et l’harmonie ont régné dans ce paradis. Dans l'Olympe, Mars ה apporte l'élan et le mouvement.
Mercure ו ouvre les sens, ces outils pour percevoir et découvrir l'environnement. Vénus ז
amène la compréhension et l'assimilation, ce qui se manifeste par l'harmonie au sommet avec ח
et la digestion dans le ventre avec ט.
Le Nibelung, l'esclave d'Alberich י apparaît sur Terre et Saturne כ quitte l'Olympe et
descend sur Terre où il devient Lucifer, le porteur de lumière avec ל.
Ce faisant, Saturne (Satan) sonne le glas de l'Olympe " die Götterdämmerung".
Man - L'homme -
Avec le crépuscule des Dieux, s'ensuit sur Terre le Déluge. Saturne, Satan en possession de ses esclaves, מ,
façonne l'homme. נ .
Soufis - Le philosophe -
La lune ס invite l'homme à comprendre, que ce qu'il voit, peut n'être
qu'une apparence et qu'il faut aller chercher ce qui est caché. Il découvre la dualité, que l'action implique la réaction et le bien, le mal. Cette découverte,
provoque une déchirure ע. Cette déchirure se fait dans la colère et la violence. Il lui faut quitter l'Enfer et se retrouver en paix sous les ordres de Saturne
פ. Saturne va alors extraire l'âme du Sage et la doter de deux ailes: Charité et Enthousiasme. Saturne crée un nouvel être aérien, qui devrait servir de noyaux
aux futurs systèmes solaires quand celui-ci ayant atteint l'état christique va se partager suite à la descente de l'Esprit-Saint צ qui va
dans le "dernier jugement" s'assurer que ces nouveaux êtres ailés seront bien à même de devenir des enfants de Dieu.
L'état Christique
Quand le système solaire atteint cet état, il se partage. Ces âmes ailées, les enfants de Saturne ק, prennent leur essor ר,
elles s'enflamment ש et engendrent ת de nouveaux systèmes solaires, enfants de Dieu.
![]() La chenille s'est ouverte Le papillon est son apothéose |
La vie sur Terre, pour se développer, doit éviter de sombrer dans l'anarchie d'où le besoin d'un système hiérarchique.
Ainsi, un individu ou un peuple est souverain quand il est indépendant, c'est à dire qu'il est à même de se nourrir pour vivre, de se défendre en cas d'agression et de comprendre son environnement pour s'y adapter. Chez un individu, l'appétit et la force pour prendre ce dont il a besoin, le système immunitaire pour le défendre et la conscience pour savoir ce qu'il fait, remplissent ces fonctions. Dans un pays souverain, ces fonctions sont dévolus au sabre et au goupillon. le sabre représente l'autorité, la défense, la justice et la qualité de la monnaie. Le goupillon est l'arme de l'Église. Elle a pour mission de définir le Bien et le Mal et d'endoctriner le peuple pour en faire de bons sujets. Le goupillon comme le sabre exige l'obéissance et le respect de l'autorité.
Mais de l'humanité est espéré sortir des âmes pouvant contribuer à l'expansion de l'univers. Pour pousser celle-ci à
remplir sa mission, elle est plongée dans l'Enfer dans lequel elle est aiguillonée afin d'extraire du troupeau des êtres éveillés et parmi eux des sages.
Ne restent soumis que ceux qui le souhaitent.
La voie de l'obéissance, est celle de ceux qui ne veulent pas assumer leur indépendance, qui ont renoncé à écouter
leur conscience, et qui se sentent rassurés par le collier qu'ils se sont laissés mettre au cou afin de se sentir
" faire partie du troupeau ". Dans cet Enfer, le forgeron a choisi un peuple qu'il a séparé du troupeau pour le servir
et dont le commerce est d'empêcher les autres de vivre en paix et les inciter à s'éveiller.
Or depuis la fin de l'ancien régime, l'élite de ce peuple élu a renversé les systèmes reposant sur le sabre et le goupillon.
Pour cette élite partie à la conquête du monde, tout est devenu bon à vendre et le profit qu'elle tire de son commerce
lui a permis de corrompre tous les esprits, entraînant une grave dégénérescence des mœurs.
Aujourd'hui ces marchands, que la fortune a rendu fous, veulent devenir les maîtres du monde.
Pour fusionner tous les peuples, ils veulent en finir avec les patries, leur religion, leur
histoire et leur civilisation. Ils veulent produire un nouvel être de couleur et de genre indéfini auquel ils
souhaitent imposer une nouvelle religion reposant sur la science, la médecine et les drogues.
Je crains que ces fous n'aient pas compris qu'ils étaient devenus inutiles et que le Malin se sert d'eux pour
provoquer l'Apocalypse.
La foi est semblable à une carte de géographie qui permet d'entreprende l'aventure que représente la recherche de la Vérité. Au cours du voyage, la carte doit être corrigée pour refléter de nouveaux horizons. Les mots et les images pour décrire la foi changent tout au long du voyage. La foi ne peut donc pas être un dogme immuable tant que le but du voyage n'est pas atteint
Partager sa foi, décrire son point de vue et écouter celui des
autres peuvent être une aide réciproque pour dissiper la brume et mieux percevoir
la route devant soi. Mais vouloir imposer son point de vue est absurde, car on ne fait pas le même voyage.
L'espérance est l'aiguillon qui donne envie de marcher, d'aller de l'avant. Cette force dynamique empêche le décrochage et la chute mortelle.
Il faut aller de l'avant à la recherche de la "Vérité" dans l'espoir de trouver notre raison d'être.
L'espérance conduit à l'esprit d'entreprise, elle est une attitude de gagnant et non celle d'un assisté.
La charité est l'état de Dieu, quand devenu le Christ, il se meurt en donnant naissance à des enfants et devient éternel
dand l'Esprit-Saint.
La charité n'est pas l'amour des choses et des êtres d'ici-bas, qui provient d'un désir de possession, ni une aumone pour s'acheter des
indulgences, mais un état semblable à celui de la végétation qui, quand au lieu de multiplier ses pousses, fleurit et donne des fruits,
ce qui est un don de soi. Si un homme n'est pas à même de produire quelque sorte de fleurs et de fruits, il reste semblabe à une herbe verte stérile.
Le plus souvent, l'intelligence est l'art d'utiliser ses facultés pour séduire les puissants, chez ses semblables, l'art de prendre un avantage sur eux et sur les inférieurs, celui de les maintenir dans un état de dépendance et d'ignorance. C'est une perversion de l'intelligence. C'est une intelligence purement animale, celle du malin et donc celle de ceux qui dirigent le monde: les suppôts du Diable.
Plus rarement, l'intelligence est l'art d'utiliser ses facultés pour entendre le porteur de lumière " Lucifer", découvrir tous les pièges tendus par " Satan" et notre raison d'être. Un humaniste est celui dont l'intelligence est une lumière pouvant contribuer à l'éveil de ceux qui le souhaitent.
Le savoir c'est ce qui est acquis par l'expérience qui repose sur du vécu, c'est aussi le résultat d'un apprentissage, par exemple: lire, écrire, compter, celui des langues et des techniques. Les croyances sont les fruits de ce que l'on nous a enseigné et que nous répétons comme si nous pensions détenir la Vérité. C'est tout ce avec quoi notre pauvre tête a été farcie. C'est le ramassis provenant des habitudes ancestrales, des religions, des mouvements politiques ou philosophiques. et même celui de l'école avec l'histoire et une bonne partie de la science. Ces croyances agissent comme un filtre dans notre perception et compréhension du monde et de ses évènements. Ouvrir les yeux et les oreilles pour atteindre la sagesse, va nécessiter le rejet de toutes ces croyances mensongères
Une femme, en portant des enfants, perpétue la vie de l'humanité. Sans elle, l'humanité disparaîtrait.
L'homme de son côté, s'il devient un sage et dans la paix rend son âme à Saturne, peut espérer que celui-ci la préparera à recevoir le Saint-Esprit avec succès
et sera donc à même d'animer un futur enfant du système solaire quand il aura atteint l'état christique.
La femme et l'homme ont chacun une mission; l'une le maintien de la vie de l'humanité et l'autre, la justification
de l'existence de celle-ci par la production d'âmes permettant l'expansion de l'univers.
Les hommes normaux sont ces paysans qui élèvent les animaux et cultivent la terre pour la faire fructifier. Ce sont aussi
ces ouvriers, artisans, techniciens, ingénieurs et chercheurs dont les idées, l'art, la technique et le courage produisent tout ce que nous
consommons pour notre bien-être. Ils développent de nouvelles techniques et font progresser les connaissances. Ce sont enfin les
intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs.
Les hommes malades du Pouvoir sont des esclavagistes. Ils considèrent les hommes normaux comme des esclaves et ils se donnent le droit
de s'approprier le fruit de leurs travails. Ils sont de trois sortes: Les Barbares qui ne connaissent que la force, Les maîtres à penser qui
prétendent détenir la Vérité et les Élus, des commerçants et des financiers à même de satisfaire tous les plaisirs des élites,
mais aussi de les diviser et de les corrompre.
Les barbares, par la force et la violence, le pillage et le meurtre, se sont constitués des royaumes et des empires. Ces tueurs et ces voleurs ont le sentiment d'appartenir à une classe supérieure dotée de droit divin sur le peuple. Ils ont été les maîtres du pouvoir temporel qui inclut la Justice pour arbitrer les conflits entre les sujets.
Les autorités religieuses étaient les maîtres du pouvoir spirituel avec la charge de l'enseignement des sujets.
Par cet enseignement dans lequel ces maîtres inculquaient leurs vérités dans la tête des sujets, ils contribuaient à fabriquer une société
cohérente dans laquelle les sujets respectaient les autorités religeuses et temporelles, et partageaient les mêmes notions du bien et du mal.
L'autorité était ainsi partagée entre pouvoir temporel et le pouvoir spirituel, le Glaive et le Goupillon, la Terre et le Ciel. mais
se couper du Ciel, c'était s'aventurer dans les ténèbres et risquer la folie.
Les "élus" étaient et sont une petite élite animée par la passion du commerce. Leurs clients sont les puissants dont ils savent satisfaire les plaisirs et les vices. L'âme de leurs clients n'a pas de secret pour eux et ils savent exciter leurs passions, leurs fantasmes, leur jalousie et leur haine. Ils servent les puissants mais ils les haïssent et ils sont experts à provoquer des guerres dans lesquelles ils s'entretuent. Avec le crédit ils financent ces guerres et s'enrichissent en assurant l'intendance des armées des deux côtés. Le crédit en a fait des génies de la finance et les fortunes acquises, en ont fait les maîtres chanteurs des puissants corrompus ou aux mœurs compromettantes. En Europe, après avoir tenté de l'infiltrer les autorités religieuses, via les Jésuites en Espagne, ces "élus", au siècle des lumières, ont créé des cercles d'influence qui ont attiré toute l'intelligentsia malgré leur côté pernicieux. En effet, ces cercles ont promu le sabordage de l'autorité de l'église et le développement des mouvements révolutionnaires pour en finir avec les monarchies et les empires des barbares.
Les Barbares font leur chemin à la pointe de leur glaive. Ce sont des loups. Ce qu'ils veulent, ils le prennent. La force fait le droit. Pour régler leurs différents, ils se battent en duel et leur Dieu forcément du côté du vainqueur. La force, le courage, la bravoure, la loyauté sont leurs valeurs fondamentales. Ils aimant la gloire et le panache et ils ont l'esprit chevaleresque. Avec eux, la guerre est leur manière de vivre. La paix ne sert qu'à se préparer à la prochaine offensive. Le butin, les conquêtes servent à célébrer la bravoure et la grandeur du héros. D'un orgueil et d'une susceptibilité gigantesques, ils sont toujours prêts à se battre pour défendre leur honneur. Ils méprisent autant les manants incapables de prendre une épée pour affirmer leurs droits que les fournisseurs qui leur parlent d'argent.
Le guerrier doit vivre dans des certitudes loin du doute. Il est guidé par sa bonne étoile, qui doit le conduire de victoires en victoires. Si le doute s'insinue, la peur va suivre et la défaite est assurée. Si la paix s'éternise, les Barbares s'amollissent. Ils dégénèrent et peuvent se faire anéantir par d'autres barbares moins corrompus. Cependant, dans ces périodes, les Barbares se civilisent et ils deviennent des souverains bâtisseurs. C'est alors un printemps avec une éclosion des arts, des lettres, de l'architecture et du commerce. La guerre perd son rôle centrale et devient un instrument de la politique. L'épée est toujours à la portée de la main, mais c'est la diplomatie, avec ses intrigues, ses marchandages, ses mensonges et ses compromissions, qui prend le dessus.
Ce système est hérité de l'empire romain qui attaqué de toutes parts par les Barbares, avait eu le génie de les fédérer
comme Constantin a su le faire avec le christianisme, une idéologie pondue par la secte des Galiléens afin de détruire l'Empire.
Constantin avait compris que le contrôle des esprits et des âmes lui donnerait un pouvoir intemporel beaucoup moins vulnérable que
celui des armes et en fédérant cette secte, il frustra les "élus" qui cherchaient à détruire son Empire.
L'empire devint une théocratie et l'empereur le représantant de Dieu sur Terre. Le Barbare superstitieux ayant reçu la bénédiction
de l'Empereur ou de celle de son grand prête, patriarche ou évèque, était non seulement rassuré mais certain de ses futurs victoires;
le Ciel était avec lui. Ainsi l'empire sut enchaîner les Barbares et limiter leur excès, et en contrepartie
pour la tranquilité de ceux-ci, faire accepter aux manants leur sort misérable.
A l'opposé, les " élus ", assoiffés de pouvoir mais dispersés dans le monde, ont du composer avec les pouvoirs, le temporel et le spirituel car ils ne pouvaient pas les affronter directement. Pour arriver à leur fin, ils ont du manipuler les uns et les autres.
Les Barbares riches de leur rapines, jettent l'or pour étaler leur puissance et leur gloire, alors que chez les "élus", l'or est le fruit de leur travail et c'est un outil, une arme pour étendre et financer leur commerce, acheter des alliances, et corrompre et pourrir leurs ennemis.
Comme les Barbares sont toujours en guerre, les " élus " vont aider ceux qui leur sont favorables à détruire leurs ennemis. Et comme de toute manière, il est impossible de se fier à ces barbares, ces Barbares ingrats, qui envoient leurs laquais bastonner les manants et qui, quand ils sont incapables de payer leurs dettes, utilisent ces derniers pour les massacrer, eux les " élus ", il faudra donc dissimuler ses objectifs et flatter servilement l'orgueil des Barbares. Fidèles seulement à eux-mêmes, ils changeront de protecteurs, trahiront l'ancien au profit d'un autre, quand les circonstances le réclameront.
Pour fournir aux uns et aux autres, ce qu'ils veulent, ils faut dominer le commerce. Pour générer des guerres utiles, c'est à dire, celles qui annihilent les ennemis jurés, il faut devenir expert dans l'art de manipuler les cœurs et les passions. Mais la dissimulation et la frustration d'avoir toujours le besoin de se montrer serviles devant ces fiers à bras, méprisants et ingrats, génèrent des haines et des besoins de vengeances infinis.
L'alliance entre Rome et les Barbares a été un obstacle dans la course au pouvoir des "élus", car elle donnait un sentiment d'infaillibilité aux sauvages. Il leur a été utile de pénétrer secrètement les canons de l'église pour y semer le doute et la confusion, et ainsi déstabiliser les Barbares et diviser l'église dans des schismes et des querelles byzantines.
Toutes ces intrigues ont conduit à la révolution Française dans laquelle le pouvoir temporel a changé de main en tombant dans leur griffes. Le pouvoir spirituel ayant perdu le soutien des barbares qui avaient été décapités en masse, a perdu sa raison d'être mais les mannants ont été coupés du Ciel et ils sont tombés dans les ténèbres du progrès et de la Science.
L'orchestration des deux dernières guerres mondiales a eu raison des derniers Barbares avec la destruction des empires Russe, Autrichien et Allemand. Le Christianisme a ainsi perdu ses alliés les plus fidèles et il se meurt. Il ne reste plus en lice que les élus et les manants, les maîtres et les esclaves.
Mayer Amschel Rothschild. aurait dit : "Let me issue and control a nation's money and I care not who writes its laws."
Son fils, le Baron Nathan Mayer Rothschild aurait rajouté : "I care not what puppet is placed upon the throne of England to rule the Empire on which the sun never sets. The man that controls Britain's money supply controls the British Empire, and I control the British money supply."
Ces deux hommes avaient compris que l'argent pouvait être l'arme absolu pour contrôler le monde. C'est avec cette idée en tête qu'à Bretton Woods, les vainqueurs de la deuxième guerre mondiale, manipulés par les "Élus", ont imposé le dollar comme la monnaie pour les échanges internationaux et les réserves des banques centrales. Certes, au début pour rassurer leurs victimes, ils avaient accepté de lier la valeur du dollar à l'or, mais quand ils se sont sentis assez forts et ont eu l'envie de faire fonctionner de façon continue leur presse à billets, ils ont renié leur parole.
Avec cette source unique et infini d'argent, ils ont pu acheter qui bon leur semblait, dans le monde entier, pour déstabiliser leurs ennemis et fragiliser ou ruiner leurs concurrents potentiels. Avec tout cet argent, ils ont pu faire venir chez eux les meilleurs scientifiques du monde entier pour développer les technologies avec lesquelles ils vont pouvoir contrôler tout un chacun et supprimer les opposants déclarés comme terroristes.
Pour dissimuler la fantastique inflation du nombre de dollar en circulation, et que celle-ci ne se traduise pas par une augmentation du coût de la vie, ils ont utilisé massivement la main d'œuvre de l'Inde et la Chine et influencé les marchés pour empêcher les prix des matières premières de grimper. Dans le même temps, ils ont fait croire à leurs ouailles, qu'ils étaient devenus riches en laissant l'inflation se manifester dans les prix de l'immobilier et des capitaux. Une publicité astucieuse et omniprésente a généré une pandémie de boulimie, un appétit de consommation insatiable, qui a rendu toutes ces ouailles dépendantes comme les drogués le sont à leur poison.
Avant la révolution, les européens étaient chrétiens, peu après sous la conduite des francs maçons,
ils sont devenus des hommes guidés par la raison scientifique. En fait, ils ont divorcé, ils ont changé de femme en passant du christianisme à la religion
de la science mais ces deux femmes se ressemblent étrangement. Elles sont doctrinales et menteuses, elles requièrent la foi et fustigent les incroyants.
À la différence du christianisme opposé au changement et au progrès, la science a détruit les anciennes croyances et nous a imposé une vision du monde sans Dieu.
La science a permis la révolution industrielle qui nous a lancé dans une course folle et qui un siècle plus tard avec l'électronique et la technologie de
l'information a pu nous faire croire que nous étions des Dieux jusqu'au moment où l'épuisement des ressources et la pollution nous ont rappelés à l'ordre.
Il y aura fallu moins de deux siècles pour réaliser que cet orgueil monstrueux nous avait conduit à la catastrophe.
Bien sûr, certains se sont inquiétés. Une population en forte augmentation et une croissance exponentielle de la consommation dans un monde fini allait
rapidement conduire à l'épuisement des ressources de la Terre. Le Club de Rome a ainsi publié en 1972 une étude à ce sujet, qui a été tourné en dérision,
car elle contrariait le plan des "Élus". Ces derniers n'étaient pas dupes mais ce n'était pas l'heure.
Les "Élus" ont alors ouvert leur bourse pour se doter en un peu moins de cinquante ans, d'une technologie de contrôle sans pareil. Ils ont construit la tour de Babel : un monde dans lequel tout un chacun est en liberté surveillée par la technologie de l'information. Ils ont aussi utilisé ce temps pour fragiliser les peuples en brisant les structures traditionnelles et en leur faisant perdre tous leurs repères. Pour ce faire, ils ont utilisé des groupes de pression aux objectifs contradictoires, provoqué d'immenses mouvements migratoires, tué un grand nombre d'entreprises familiales, poussé à une consommation boulimique et à un endettement déraisonnable, et enfin attisé toutes les sources de conflit.
La deuxième phase peut commencer, c'est celle où Hans, le joueur de flûte va conduire les enfants se noyer dans la rivière. Pour les
élus, ils ont maintenant la technologie pour asseoir leur pouvoir et créer leur Utopie. Le plan est simple: Tuer suffisamment de monde pour s'assurer
que les ressources restantes seront suffisantes pour les mille ans de leur Empire sur cette "Terre promise" depuis si longtemps.
Armes biologiques et Transition énergétique sont des armes de destruction massive pour déclencher le génocide sous les prétextes
fallacieux du changement climatique et de la pandémie. Nous sommes gouvernés par des menteurs, des voleurs et des assassins,
des cyniques pensant que les lois et les croyances ne sont que des outils pour contrôler les cœurs et les cerveaux de leurs ouailles que l'on peut exciter,
fanatiser ou calmer et endormir à souhait. Je crains que dans l'Olympe où ils résident, ils aient bu une ambroisie qui leur soit montée
à la tête et qu'à force de jouer avec le feu, ils terminent en cendres.
Le 9/03/2020, nous sommes entrés dans la troisième guerre mondiale, mais ce n'est pas une guerre comme les précédentes. Elle ne se fait plus avec des généraux,
des armées, des missiles et des bombes mais avec un petit virus couronné, des politiciens aveuglés par leur ambition, un pouvoir médical gonflé d'orgueil et
dirigé par des savants docteurs aux services de "Big Pharma" - Diafoirus avec ses vaccins et Knock avec ses confinements après avoir semer la panique avec des virus
et des germes
Pour combattre ce virus ils ont décidé de geler l'activité humaine, et ce faisant, de provoquer une crise économique sans précédent. Le chaos qu'ils vont provoquer
aura probablement sur le commun les mêmes effets qu'une guerre classique, d'autant qu'ils vont achever les blessés avec des vaccins diaboliques.
Mais ce n'était pas suffisant, en 2022 une guerre a été déclarée à la Russie par l'intermédiaire de l'Ukraine. Poutine en a démasqué les auteurs et dans son discours
du 30 septembre, il a dit que la Russie était en guerre contre une petite élite satanique aux USA qui avait décidé de coloniser le monde entier. Cette clique qui se prend
pour des dieux veut changer le monde, réduire sa population et ramener les survivants à l'état de sujets serviles. Pour ce faire,
elle creuse un trou profond dans lequel elle entend précipiter toutes les populations pour, dans une sorte de jugement dernier, brûler les mécréants et générer
de bons esclaves pour son paradis futur.
Poutine sait que ce n'est pas par des moyens militaires qu'il viendra à bout de cette clique mais qu'il peut être possible de l'amener à se suicider avec l'U.E à laquelle elle
en a donné l'ordre. L'objectif de Poutine est de pousser cette clique devenue folle dans ce trou et ainsi de s'en débarraser sans avoir recours à l'arme nucléaire
qui pourrait mettre fin à l'humanité. Poutine n'est pas pressé, le temps joue en sa faveur car l'Ouest croulant sous le poids de ses dettes, sa perversion et ses mensonges
est au bord du chaos. Cette opération en Ukraine a donc pour but de protéger les territoires réunis récemment à la Fédération de Russie et de fixer l'ennemi,
cette clique satanique en attendant qu'elle tombe dans son trou. La Russie espère ainsi éviter l'apocalypse nucléaire mais il est encore à craindre que cette clique
satanique, au moment de se jeter dans son trou, veuille emmener avec elle le monde entier dans la mort.
Chaque homme a son propre " Weltanschauung ", son regard sur le monde, qui est le résultat de la somme de ses connaissances
et de ses croyances qui font appel à la rationalité et à la foi. Ce qui est rationnel peut se discuter assez aisément car cela implique des faits
objectifs et des raisonnements logiques mais ce n'est pas le cas de ce qui touche à la foi : le domaine des émotions et du sacré d'où émergent les convictions, les passions et le fanatisme
qui peuvent engender l'élan enthousiaste ou le déchaînement, la colère et la haine.
Ce " Weltanschauung " est le point de vue que l'individu a sur le monde du haut de sa colline produite par l'amoncellement de tout
ce qui lui a été inculqué et du fruit de ses recherches personnelles. Les religions sont des outils du Pouvoir dans le but d'endoctriner les cerveaux des sujets et d'en faire des êtres respectueux
de l'Autorité et de le hiérarchie. En Occident, que ce soient les religions abrahamiques, ou le Communisme, une religion sans Dieu ou celle du "Nouvel Ordre Mondial" avec la Science,
le triomphe de l'orgueil humain, toutes procèdent de la même façon. Leur "clergé" est en charge de l'enseignement des enfants et de la surveillance des adultes en bénissant les bons sujets
et excommuniant les mauvais. Chacune a ses docteurs de la Loi et son saint office et toutes prétendent détenir la Vérité.
Toutes tissent une sorte de "voile du Temple" pour enfermer leurs sujets dans leur mensonge.
Le Pouvoir est aidé dans cette tâche par l'instinct tribal qui est profondément
enraciné dans l'homme et qui le pousse à s'intégrer dans une communauté et à en être reconnu.
Pour cela, cet homme tribal est prêt à accepter les règles, les dogmes, les rituels et les mystères de la communauté qui constituent la religion officielle de son souverain.
Cette allégeance exige la foi, l'obéissance et souvent le renoncement à utiliser son intelligence car il ne faut pas
chercher à discerner le vrai du faux pour pouvoir grimper dans la hiérarchie de sa communauté.
Une doctrine, des rituels, un matraquage spirituel constant et une discipline imposée, sont les outils avec
lesquels, ces autorités "religieuses" arrivent à former des communautés cohérentes et obéissantes
telle que celles du christianisme, du judaïsme, de l'islam, du communisme etc... . Le miracle du judaïsme
est celui d'avoir su faire cela sur une communauté dispersée dans le monde entier.
Ces systèmes ont réponse à tout. Dans ces communautés, il ne faut pas réfléchir mais obéir; c'est le premier
devoir. Il faut avoir la foi et croire. Douter, rechercher la Vérité, et remettre
en question l'autorité et ses dogmes font courir le risque d'être excommunié. Quand une chose est sacrée, elle est protégée. Un voile la recouvre et celui
qui ose soulever le voile commet un sacrilège et se trouve frapper d'anathème par la communauté qui a sacralisé la chose en question.
Cette chose peut être la Bible, l'évangile, le Coran, la science ou l'Histoire etc... . C'est le fait de sacraliser les choses
qui génère des fanatiques et engendre la violence. Je n'aime pas ces interdits car nous vivons dans un océan de mensonges et la recherche de la
Vérité nécessite justement de soulever les voiles et de regarder ce qui se cache dessous. Mais ces systèmes forment des armées dans lesquelles chacun
doit être un soldat fanatique et marcher à la baguette.
Une cure prolongée de ces systèmes tue tout l'instinct naturel. Les gens simples courbent l'échine, les pharisiens,
comme des perroquets répètent inlassablement les dogmes du parti, et les plus-intelligents deviennent des sceptiques
et des cyniques, ce qui fait dire à Pilate: " Qu'est-ce que la vérité ? "
Oui ce système détruit l'instinct naturel, animal qui permet de distinguer le vrai du faux.
Il coupe le lien entre l'homme et le Ciel le privant de comprendre le sens du Tout et la raison d'être de
humanité. Il n'est pas étonnant alors que
les escrocs qui dirigent ces partis, considèrent les hommes comme des bêtes, des esclaves dont il faut tirer profit.
Ces ouailles ainsi dressées, vont dans la vie depuis des générations avec des béquilles que leurs ont greffées les
autorités spirituelles mais si quelqu'un vient casser les béquilles d'un fidèle d'une de ces communautés, celui
perd ses repères et ses valeurs et il se retrouve alors errant et démoralisé ou cynique.
C'est exactement ce qu'est en train de faire le "Nouvel Ordre Mondial" en guerre avec le Christianisme et l'Islam.
Les idées et les modes qu'il propage, les spectacles et les musiques dont il nous abreuve, cassent toutes les
béquilles car ce qui sort du "Nouvel Ordre Mondial", ce serpent venimeux est un poison mortel.
Ce serpent venimeux tue tout et comme le dit Didier Lefur, il a mis Dieu à la retraite en mettant en exergue
les défauts du concept de Dieu, hérité du judaïsme que ce soit chez les chrétiens ou les musulmans. Il est manifeste
que ce Dieu est une création de l'homme dont l'utilité était d'asseoir le pouvoir en place. Ce Dieu qui serait en manque,
aurait crée un univers ex abrupto, un jouet pour le maltraiter et dont il exige d'être adoré. Il est à l'image de
nos despotes les plus odieux: un véritable Ubu roi.
Rejeter un concept aussi restreint et absurde, ne veut pas dire qu'il faille mettre Dieu à la retraite, non, mais qu'il faut
revoir notre conception de cette identité et d'en identifier ses propriétés et ses fonctions.
Le judaïsme s'adresse à une communauté minoritaire et matérialiste. Son Dieu est celui de sa communauté et il enrichit ceux
qui suivent ses préceptes et abandonne et châtie ceux qui voudraient s'assimiler aux autres considérés comme des ennemis diaboliques.
La récompense ou la punition est matérielle. Nous devons le Christianisme à l'empereur Constantin. C'est donc une religion universelle, un outil de management
des peuples de l'empire. Avec cette religion il impose au peuple une morale sociale qui définit le bien et le mal, il dirige son imaginaire, le fait rêver
et surveiller. A la différence du judaïsme qui souhaite l'enrichissement de sa communauté et rêve de conquérir le pouvoir, le christianisme impérial et universel
ne souhaite pas partager la richesse et le pouvoir de l'empereur mais il promet aux bons et loyaux serviteurs
le paradis, une récompense après la mort, ce qui ne lui coûte pas cher. C'est une énorme escroquerie qui fonctionne depuis 1 700 ans.
Aujourd'hui les enfants du judaïsme ont réalisé leur rêve. Ils sont à la tête de l'Empire, celui du Chaos et du Mensonge. Voulant, l'étendre au monde entier,
ils leur faut fusionner tous les peuples et produire un nouvel humanoïde de couleur et de genre indéfinis, totalement déraciné et dépendant.
Ce système mondialiste veut imposer une religion universelle sous l'autorité pontificale de l'O.N.U. avec pour prêtes, les journalistes en charge
de semer la bonne parole, c'est à dire enfumer les consciences et les médecins, des marchands de drogues pour asservir ces humanoïdes en détruisant les systèmes immunitaires.
Depuis la nuit des temps, les travaux manuels ont été accomplis par des esclaves ou des serfs. Avec la révolution industrielle de la seconde moitié
du dix-neuvième siècle, l'arrivée des machines a permis de mettre un frein, voire d'arrêter l'esclavage, mais les conditions de vie des mineurs pour
extraire l'énergie pour faire tourner les machines, ou de celles des ouvriers pour les servir n'ont guère été différentes jusqu'à la fin de la première
guerre mondiale, de celles des esclaves précédents. L'électronique et l'informatique ont été les sources d'une nouvelle révolution à partir de la
deuxième moitié du vingtième siècle, dans laquelle bien des tâches ont pu être réalisées par des automates. Pour combattre le chômage résultant de
ce changement, la notion de service a été développée et en particulier celle concernant la santé.
Tout ce qui tourne autour de la santé ( les soins, la médecine et la pharmacie), a vu son activité croître de manière explosive. Les ressources financières
consacrées à la santé ont explosées grâce aux diverses assurances maladie. La pharmacie est devenue une industrie aussi puissante que celle de l'armement.
Le résultat est que la population mondiale a été multipliée par un facteur compris entre 2 et 3 et que l'espérance de vie s'est allongée de plus d'une
dizaine d'années. Ce résultat qui pourrait sembler positif, a été la cause d'une crise écologique sans précédent par la pollution qu'elle a entraînée
et par l'appauvrissement des ressources sans compter son impact négatif sur la faune et la flore et l'augmentation des personnes handicapées ou séniles
qui est un poids moral et un coût financier considérable sur la société et en particulier sur la jeunesse qui se trouve ainsi sacrifiée.
La Médecine a remplacé l'Eglise et le sorcier, le prêtre, et malheureusement il y a plus de monde chez les médecins que dans les églises.
L'Eglise jouait sur l'espoir et la Médecine joue sur la peur. L'Eglise, en dehors de favoriser l'ignorance, ne représentait pas de danger pour
l'humanité; preuve en est l'ancienneté des religions. Ce n'est pas le cas de la médecine, qui en manipulant les poisons et les fondamentaux de la vie
risque d'en compromettre l'existence. L'une promettait le Paradis et l'autre, prétend nous sauver mais toutes les deux mentent et ont toujours menti:
le Paradis est un mirage et la Médecine n'a jamais sauvé personne car nous sommes toujours mortels.
Les médicaments ont pour effet, celui de diminuer l'efficacité du système immunitaire en l'empoisonnant et ainsi de rendre les patients dépendants
de la médecine et des laboratoires. Ils sont l'équivalent pour le corps de ce que nous déversent dans la tête, les médias avec leurs mensonges et la
promotion de toutes les perversions qui viennent brouiller notre conscience. Drogué et déboussolé, il nous devient impossible
de trouver et de réaliser ce pourquoi nous existons en tant qu'être humain, nous sommes réduit à un état de dépendance animale.
Cette machination est en passe de déclencher une guerre de religion entre les médecins fidèles à leur serment d'Hyppocrate, qui veulent nous aider à rester en bonne santé
et ceux qui ne voient en nous que des cobayes sur lesquels ils jouent aux apprentis sorciers: des Docteurs Diafoirus et ceux qui ne voient en nous que des sources de revenus confortables:
des Docteurs Knock.
Cette nouvelle religion destinée à l'usage des peuples, devant remplacer toutes les anciennes religions est une religion diabolique avec laquelle
le 'Nouvel Ordre Mondial' entend faire disparaître toutes les différences entre les peuples: ethnicité, culture, tradition, croyance et genre.
Tous ces troupeaux doivent devenir un ensemble d'êtres utiles, dans lesquels la solidarité et le sentiment de culpabilité à l'égard de tous les abus et crimes commis
par leurs parents doivent être encouragés.
Ce n'est pas en raison du mensonge sur lequel repose ce système qu'il va échouer mais sur le fait qu'il va à l'encontre de la nature,
et qu'à Dieu, Allah ou Yahvé, il a substitué le néant. Ce qui est
à craindre, c'est que face à l'échec, les dirigeants de cet empire infernal, dans leur folie, conduisent l'humanité à sa perte.
Israël Shamir classe les Juifs en trois catégories:
"Les seigneurs" très peu nombreux, immensément riches qui contrôlent les finances et l'émission de la monnaie, les media et le Congrès Américain. Ce sont eux qui tirent les ficelles du system depuis des générations.
"Les Sionistes", ils étaient à l'origine des socialistes athées recherchant un pays pour abriter leur communauté. Sous l'influence du
Révérend William E. Blackstone et de Louis D. Brandeis, dans le but d'obtenir le support financier et militaire de l'Amérique puritaine,
les Sionistes choisirent la Palestine pour s'y installer.
Le choix de la Palestine est essentiel pour tous ceux qui attendent le Messie et l'Apocalypse. Ainsi petit à petit les Sionistes sont sortis de leur athéisme libéral
et sont revenus au Judaïsme de l'époque de la conquête de la Terre promise; ce faisant, ils se sont transformés en terroristes et ont tout fait pour créer
le chaos parmi les Arabes.
"Les Seigneurs" poursuivent un but messianique, la domination du monde des goyim par la communauté Juive. Pour maintenir à part cette communauté et en souder la cohésion,
ils subventionnent Israël depuis sa conception. C'est un lieu magique et fondateur pour les trois religions Juive, Chrétienne et Musulmane mais surtout, il permet aux Juifs
de revivre la conquête de la Terre promise et ainsi de se ségréger de l'ensemble des autres communautés. Le souvenir de l'holocauste considéré comme un devoir de mémoire et cette
conquête de la Terre promise dans laquelle ils doivent en éliminer tous les êtres impurs, sont les moteurs pour qu'ils se sentent être à part et les élus de Dieu. Mais Israël,
pour les "Seigneurs" n'est que le noyau de l'empire qui doit s'étendre à l'ensemble de la planète. C'est pourquoi, ils sont en guerre perpétuelle contre le monde entier.
Leur arsenal comprend la corruption facilitée par la monnaie fiduciaire, les mensonges véhiculés par les média, la division et le mécontentement attisés par les NGO,
le financement des révolutions, le chaos engendré par le terrorisme et la guerre en dernier recours.
Ils veulent bâtir cet Empire tant attendu et le faire durer jusqu'à
la fin des temps.
Mais parmi les Sionistes, il y a ceux d'origine chrétienne qui attendent l'Apocalypse et le Jugement dernier pour que les bons puissent enfin entrer au Paradis et que les méchants soient précipités en enfer. Ces fanatiques, qui résident en majorité aux Etats-Unis, n'ont pas envie d'attendre encore mille ans. Saint Paul, un ancêtre spirituel des "Seigneurs" avait ajouté à l'espérance de la venue du Messie, la notion du "Jugement dernier ". Le Jugement dernier n'est pas un problème pour cette maffia car il ne peut que concerner que les Goyim. Comment serait-il possible de juger ceux qui sont déjà élus ? Ce Jugement dernier, tant attendu par les sionistes Chrétiens, est donc un outil qui va permettre aux "Seigneurs" avec le concours de ces sionistes, d'éliminer tous les Goyim qui les dérangent. Les survivants seront leurs esclaves, ceux de la maison, les plus serviles, et ceux des champs condamnés aux travaux forcés. Pour éviter qu'ils ne se multiplient par la suite, comme des lapins, ils ont inventé la loi du mauvais genre, qui crée la confusion entre les côtés pile et face. Tout le problème pour "les Seigneurs" est le contrôle de cet apocalypse qui doit ramener le nombre des Goyim à un chiffre raisonable mais ne pas détruire la planète et faire partir leur rêve en fumée.
Les Juifs sains et normaux qui ne sont pas différents de vous et moi, mais en voie de disparition tout comme nous menacés, par les fous qui gouvernent ce monde.
La communauté Juive est pourvue de deux bras armés.
Avec son bras droit, elle est identitaire et prône un régime d'apartheid. Ce bras est là
pour rappeler aux Juifs qu'ils sont des êtres élus qui ne doivent pas se souiller en se mélangeant avec les goyim, que Dieu ne leur donne la
victoire que quand la communauté est soudée.
Son bras gauche est pour combattre et dominer les goyim ces êtres à mi-chemin entre les hommes et les animaux. Par la division, la corruption, la perversion, ce bras gauche détruit les structures et
les racines des goyim et tend à les ramener à l'état animal. En leur faisant prendre conscience de leurs contradictions, il les plonge dans le doute
et la confusion, ce qui les rend aisément manipulables. En attisant les feux de leurs querrelles et de leur jalousie, il allume des guerres dans
lesquelles ces goyim idiots se massacrent par millions.
La communauté Juive est depuis toujours en guerre contre les goyim.
Le juif de gauche qui se met à croire toutes les sornettes qu'il vend aux goyim est un idiot car elles ne sont destinées qu'à l'usage des goyim.
Les goyim qui, en courtisant la communauté Juive pensent pouvoir faire partie des élus, se trompent lourdement.
Ils ne sont que des traites collaborant avec ceux qui se considèrent comme l'ennemi éternel de leur espèce.
Jésus ne fut pas le premier Juif à prétendre être le Messie, celui déjà et toujours attendu par les Juifs pour restaurer la puissance d'Israël.
Jésus échoua dans cette mission et il fut mis à mort pour avoir eu cette prétention.
St-Paul, au fait de tout cela par sa culture juive et grecque, concocta une histoire: Jésus serait le fils de Dieu venu sur Terre pour effacer le péché originel et ainsi rétablir
la communication entre Dieu et les hommes. Pour ce faire, Dieu exigeait rien moins que son fils accepta d'être immolé. La résurrection de Jésus
était la preuve qu'il était le fils de Dieu et ainsi elle authentifiait la véracité de cette histoire. Dieu en sacrifiant son propre fils allait bien au-delà
de ce qu'il avait exigé d'Abraham et ce faisant, il renouvelait son alliance avec les hommes.
Comment peut-on croire que nous sommes les seuls êtres vivants au centre de l'univers et que Dieu a envoyé son fils unique sur la Terre, cette toute petite planète,
pour sauver cette espèce humaine qui ne vaut pas grand chose, par son sacrifice ? Qu'a-t-il fait pour les autres planètes qui sont peuplés ?
Non, c'est une histoire qui n'a pas de sens et qui a été inventée quand on pensait que le ciel tournait autour de la Terre ce qui dénote un égocentrisme phénoménal.
Evidemment, les Juifs ne pouvaient pas accorder crédit à une telle histoire.
Pour les Juifs c'est sacrilège et pour moi, cela n'a pas de sens.
Le récit de la Crucifixion et les témoignages sur la résurrection appellent les remarques suivantes:
Rome était un état de droit. Les Juifs avaient besoin de l'autorité de Pilate pour mettre à mort Jésus. Jésus n'étant pas citoyen romain,sa
condamnation à mort impliquait la crucifixion, qui avait été appliquée aux esclaves par milliers lors de leur grande révolte. Mais pour Jésus, on instaura une procédure
spéciale; procédure jamais utilisée auparavant ni ultérieurement.
Le condamné devait porter sa croix d'un poids probablement supérieur à 100 kg et ce sur plus d'un km. De plus
Il ne serait pas attaché sur la croix mais cloué. Les mains ne sont pas assez solides pour supporter son poids et pour clouer les pieds, il faut probablement ajouter un socle
à la croix.
Cette procédure spéciale sortie de nulle part, pour moi, discrédite totalement la véracité du récit.
"Et voilà que le rideau du Temple se déchira en deux, du haut en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les tombeaux s'ouvrirent et de
nombreux corps de saints trépassés ressuscitèrent: ils sortirent des tombeaux après sa résurrection, entrèrent dans la Ville Sainte et se firent voir à biens des gens."
Qui peut croire à de telles sornettes ?
La Résurrection: Marie-Madeleine et Marie-Cléophas, le dimanche matin, en allant au tombeau sont les premières à avoir vu Jésus ressuscité.
Mais, selon l'évangile de Saint-Jean, quand elles le voient, elles ne le reconnaissent pas et le prennent pour un jardinier.
Ce n'est que lorsque Jésus parle que Marie-Madeleine le reconnaît et l'appelle : "Rabbouni". Il lui dit alors : "Ne me retiens pas ainsi,
car je ne suis pas encore monté vers mon Père". Ce qui est décrit là semble être la vision d'un fantôme et non celle d'une homme en chair et en os.
Le soir même de ce jour, ses disciples s'étaient enfermés de crainte des Juifs et Jésus leur apparaît et leur montre les blessures de ses mains et de son côté. Là encore,
c'est une vision d'un fantôme qui passe au travers des murs et qui porte encore les traces de ses blessures. Ce n'est pas la preuve de la résurrection de Jésus. S'il était
ressuscité, on ne verrait plus ses blessures, il n'aurait pas fait le travail à moitié et il ne s'amuserait pas à passer au travers des murs.
Avec les évangiles, nous devons croire en une histoire qui raconte la vie d'un personnage nommé Jésus, doté de pouvoirs magiques, ayant eu une fin tragique, voulue par son Père,
acceptée par lui et exécutée pour leur malheur, par les Juifs.
Mais croire en une histoire n'est pas croire en Dieu. Dieu n'est pas une histoire.
Adorer des histoires ou des images est de l'idolâtrie.
Le succès du Christianisme est due à l'empereur Constantin qui comprit le bénéfice qu'il pouvait tirer de cette croyance pour contrôler les corps et les âmes de ses sujets.
La pérennité de son œuvre vient de la violence avec laquelle son église et ses successeurs ont imposé cette histoire devenue un dogme. C'est le pouvoir, l'ambition et
la passion qui ont été les moteurs de l'église qui n'a jamais eu le souci de rechercher la Vérité.
Post scriptum: Le Jugement dernier.
Le jugement dernier semble être une espèce de pont entre l'ancien testament et les évangiles en affirmant que Jésus est à la fois le fils
de Dieu et le Messie. Mais ce n'est plus le Messie des Juifs qui doit restaurer la puissance d'Israël mais celui qui vient juger les vivants et
les morts.
Oui, le fils de Dieu n'a pas sauvé les hommes car si cela était, le jugement dernier n'aurait pas lieu d'être. Il aurait seulement rétabli
la communication entre Dieu et les hommes. Ceux qui n'en non point profité vont être jugés et envoyés en enfer pour l'éternité. L'absurde: Comment
ceux qui ont vécu bien avant sa venue sur Terre auraient pu en profiter ? Le jugement dernier est
l'épouvantail qui doit terrifier les hommes pour les faire rentrer dans le droit chemin de l'église.
Cette notion du jugement dernier est ce qui donne à Dieu un aspect monstrueux. La vie sur Terre est pour de nombreuses personnes,
un enfer où règnent la souffrance, l'injustice et le mensonge. À ces malheureux, il est dit qu'ils doivent adorer celui qui leur a donné
cette vie infernale et que s'ils n'ont pas montré assez de dévotion envers leur bourreau, leur martyre durera éternellement.
Il est difficile de faire pire si ce n'est de nous faire croire que Dieu est juste et bon.
Avec le jugement dernier qui ne peut avoir lieu qu'avec l'extinction des humains, le paradis et l'enfer sont encore vides car les morts hommes et
femmes depuis Adam et Eve sont dans l'attente de ce jugement. Comment ai-je pu croire si longtemps à de telles sornettes?
Le Pape François s'est adressé aux religieux, religieuses et séminaristes en Egypte et il s'est étendu sur les tentations.
D'abord très séduit par ses propos, je me suis senti obligé d'écrire cette critique:
La tentation de se laisser entraîner au lieu de guider. Le Bon Pasteur a le devoir de guider le troupeau....
La séparation entre le Pasteur et le troupeau implique une différence d'espèce entre le Pasteur et ceux qui constituent son troupeau: le premier étant un humain
et les autres, des animaux. Je sais que c'est une idée aussi partagée par les Francs-Maçons et bien de ceux qui nous gouvernent, mais c'est une idée qui me révulse.
La tentation du "pharaonisme, c’est-à-dire de durcir notre cœur et de le fermer au Seigneur et aux frères. C’est la tentation de se sentir
au-dessus des autres et donc de les soumettre à soi par vaine gloire; d’avoir la présomption de se faire servir au lieu de servir" .
C’est une tentation commune, depuis le début, parmi les disciples, qui – dit l’Evangile – « en chemin, avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand »
Le Pape parle de la relation, qu'il voudrait égalitaire, entre les Pasteurs et non pas de celle entre Pasteur et brebis.
Ce faisant il confirme sa vision ségrégationniste du monde.
La tentation de marcher sans boussole et sans but.
Le Pape là encore souligne cette dichotomie entre les Pasteurs et le troupeau. Il va encore plus loin, sans craindre d'afficher un certain pharaonisme, en précisant
qu'il y a quand même, une hiérarchie entre les Pasteurs et que c'est Rome qui détient la Vérité.
Pour les Pasteurs, s'écarter de ce que l'Eglise leurs a inculqué, c'est perdre la boussole.
Dans l'océan de mensonges où nous vivons, la boussole ne peut pas être la
parole d'autrui, qu'il soit Pape, le grand Imam ou le grand Rabin. Seul le cœur doit être la boussole pour nager vers la lumière qui peut donner
un sens et un objectif à la vie, et seul, le cœur peut être le moteur pour essayer de réaliser cet objectif.
La tentation de l’individualisme.... “Après moi le déluge”.
Le Pape fait là un amalgame entre celui qui, pour satisfaire son avidité, pille le monde et le laisse en ruines,
avec celui qui est à la recherche du Créateur et qui sait que pour le Créateur, il n'est pas simplement une bête quelconque mais un humain qu'il a crée.
Le Créateur ne s'adresse pas aux foules mais à chacun de ceux qui l'écoutent et la notion du salut collectif n'est qu'un mensonge de plus.
Les tentations de se plaindre continuellement, du bavardage et de la jalousie et de se comparer aux autres
Ce qu'il dit là est parfait.
Dans son discours aux autorités égyptienne, le Pape François se fait l'avocat de la justice et de l'égalité. Mais ces revendications ne sont que l'expression des
tentations "de se plaindre continuellement, du bavardage et de la jalousie et de se comparer aux autres" qu'il condamne à juste titre dans son homélie citée précédemment.
De Pasteur, il se transforme en tentateur et il vient attiser les braises de la haine.
Il n'y a ni justice ni égalité dans la création et vouloir aller contre la nature me semble être une perversion car cela implique que le Créateur a bâclé son travail.
Il aurait dû dire qu'il ne faut pas profiter de ses avantages pour abuser de ceux qui ont été bien moins lotis, que tous doivent respecter le code civil et
que les jugements de cour doivent être bannis.
Par ailleurs, il eut dû ajouter qu'au lieu du mépris envers les défavorisés, la sollicitude avait la vertu d'ouvrir le cœur
au lieu de l'ossifier.
Enfin son insistance sur "le soin pour entourer les personnes âgées, les malades, les personnes porteuses de handicap," est pour moi un artifice pour donner mauvaise
conscience aux autres et les enchaîner. C'est aussi un prêche pour une mauvaise utilisation des ressources, qui devraient être affectées en priorité à ceux que l'on peut faire sortir
de la misère et de l'ignorance afin d'en faire des moteurs du progès.
Nous vivons dans un océan de mensonges. Ce que nous avons appris, ce que nous croyons, ce que nous pensons savoir reposent sur des sources peu fiables.
C'est vrai dans tous les domaines: politique, historique, économique, religieux, médical et scientifique. Le système éducatif privilégie les bons perroquets, ceux
qui ont de la mémoire et sont à même de répéter correctement les paroles du professeur, celles de la pensée correcte.
C'est un système pour favoriser les rapports hiérarchiques et le respect de l'autorité, ce qui ne contribuent pas à la recherche de la Vérité.
Le chercheur de vérité est toujours comme Galilée, condamné par l'Eglise. Céline disait que celui qui a le bac en France, a déjà un filtre qui lui fait voir tout de travers.
Celui qui recherche la vérité doit se débarrasser de tous ses filtres: celui de son milieu et ceux de l'enseignement qu'il a subi: religieux et laïc.
Il n'y a pas de livres sacrés ni de paroles dites d'évangiles, il n'y a que des écrits et des paroles d'hommes et donc que des sources sujettes à caution,
car l'homme, avec sa volonté de dominer, n'hésite pas à mentir pour manipuler et à affirmer avec force ses vérités dans les domaines où il est ignorant.
Les religions occidentales, Juive, Chrétienne, Musulmane ou celle du Nouvel Ordre Mondial, qui ont été ou sont en charge de l'enseignement, pratiquent l'obscurantisme.
Elles n'apprennent pas à leur église (l'assemblée de leurs fidèles) à nager dans l'océan de mensonge et les ténèbres environnant
en utilisant le cerveau pour en découvrir les incohérences, et le cœur pour sentir dans quelle direction se diriger
afin de retrouver la lumière conduisant vers la Vérité. Non, elles enseignent un ensemble dogmatique de ce que ces fidèles doivent croire et les dressent à répéter bêtement
tout ce fatras irrationnel. Le doute et les questions sont perçues comme étant un signe d'insubordination et d'orgueil coupables.
Pire, en associant à leur enseignement, une gestuelle, un calendrier de fêtes, des cérémonies, des rituels, elle conditionnent les cerveaux profonds de leurs ouailles, ce qui fait
que leurs disciples sont souvent intolérants car la contradiction est vécue comme une agression et elle déclenche des réactions émotives de défense.
Les trois premières religions ont respecté l'ordre de la nature en établissant un lien fort entre les hommes et le Ciel. Elles avaient pour but de justifier
le pouvoir en place et de brider quelque peu chez les hommes leurs pulsions animales et leurs instincts de prédateurs, mais toutes les trois ont laissé entrouvert
une petite porte pour permettre à ceux qui le veulent de se lancer à l'aventure vers la compréhension de Dieu et réaliser le pourquoi de leur existence.
La quatrième religion, celle du nouvel ordre mondial, est à l'intention des goyim. Dans cette nouvelle religion dont l'holocauste est la pierre de touche,
les lois s'opposent à tout particularisme ethnique, culturel et genre masculin/feminin, elles invitent à la luxure et normalisent toutes les perversions.
C'est la fin de l'humanisme qui invitait l'homme à essayer de se métamorphoser en amenant son âme à devenir telle qu'elle puisse participer à l'expansion de l'univers.
Cette nouvelle religion est l'œuvre d'hommes ayant préféré la folie à la sagesse qui ont décidé d'asservir leurs semblables.
Post scriptum: Avec le christianisme sont apparus des concepts nouveaux fondamentaux malheureusement très vite corrompus par les pères de l'église.
Ces trois nouveaux concepts sont uniques et cela me fait penser qu'il s'est passé quelque chose d'exceptionnel en Judée sous les règnes d'Auguste et Tibère.
Les messieurs qui tiennent les rênes du pouvoir: les cordons de la bourse et les media, préfèrent les tyrans dans les pays peu développés
et les démocraties dans les autres: pour les uns, le baton et pour les autres, la corruption et la destruction des repères et des valeurs.
Ces messieurs sont des esclavagistes, les dominants, qui élèvent et exploitent les dominés. Ils sont d'un cynisme abominable.
La démocratie est un système dans lequel le pouvoir est à vendre. Il a donc été acheté par ces messieurs.
Ceux que l'on voit dans les palais gouvernementaux ne sont que leurs marionnettes. Le souhait des messieurs réellement détenteurs du pouvoir, est d'étendre
ce système démocratique de corruption au monde entier afin d'en prendre le contrôle.
A quoi se résume l'action des gouvernements fantoches dans ces démocraties, droite-gauche confondues ?
Ainsi après avoir réduit les citoyens à l'état de sujet, ces gouvernements décident de tout pour eux, sans se préoccuper des conséquences de leurs décisions, car ils ne sont jamais responsables. Ils font semblant de croire qu'ils vont changer le cours de évènements alors qu'en fait, ils ne font que le suivre.
Ils endorment leurs sujets avec des promesses comme si tout était possible et que les ressources de la terre étaient inépuisables. Avec eux, il faut toujours aller de l'avant, le système doit toujours être en croissance pour financer la dette, qu'ils ont générée. Avec eux, nous courrons droit dans le mur et quand le ciel nous tombera sur la tête, ils continueront de rouler carrosse dans un pays en ruine en nous expliquant que le destin est dur et qu'ils n'y sont pour rien.
Ce que ils donnent, pour acheter leur clientèle, n'est pas à eux, c'est l'argent de leurs concitoyens qu'ils redistribuent. C'est du vol ! Et quand il n'y en a plus assez, c'est celui des enfants et des petits-enfants de leurs concitoyens et ce faisant ils réduisent progressivement ces enfants en servage. Les citoyens, qui demandent un service à l'état, ont tort, car ils le payeront toujours au prix de leur liberté ou de celle de leurs enfants. Et en arriver à vendre ses enfants à l'état pour améliorer son ordinaire est misérable.
Ces états sociaux-démocrates sont des coûts, ils ne produisent rien que des règlements, qui coûtent une fortune au pays pour les mettre en place, et un système policier, destructeur des libertés, pour en contrôler l'application. L'attitude de ces états est cancérigène : ils absorbent tout et à la fin ils tuent tout.
Aujourd'hui, la machine couine, et l'état se précipite pour rajouter de l'huile, en injectant des brouettes d'argent tout frais sorti de ses imprimeries. Mais cette machine est comme le tonneau des Danaïdes, c'est un trou noir, qui absorbe tout.
Cet argent, du reste, ne vaut plus rien. Il n'est plus lié à l'or et il est évident que les dettes, sur lequel il repose, ne seront jamais payées, d'autant plus que la croissance des dettes est devenue exponentielle.
Les investisseurs voyant ainsi leurs économies avalées par Moloch, n'ont plus envie d'entreprendre et les usines, faute d'investissement vont péricliter. Les malheureux esclaves seront jetés à la rue. Bientôt, la production diminuant et l'argent étant pléthorique, les prix vont s'envoler et si l'état impose un contrôle des prix et des tickets de rationnement, comme à son habitude, un marché noir va se mettre en place.
L'état va alors pouvoir sévir, pointer son doigt sur ces investisseurs "capitalistes, irresponsables et frileux", sur ces banquiers "avides, avares et imprudents", et sur ces mauvais citoyens, qui accaparent et manquent de solidarité, mais jamais, au grand jamais, il n'admettra, qu'il est le seul responsable de cette situation pour avoir fait prendre à ses électeurs des vessies pour des lanternes.
Le collier autour du cou se fait de plus en plus sentir et je préfère être comme le loup pelé et galeux mais libre.....
La solution passe par la faillite. La faillite n'est pas la fin du monde mais la fin de ces démocraties sociales, aux pouvoirs tentaculaires et son clientélisme coûteux. Certes pour tous ceux, qui vivent aux dépens de l'état et des ses promesses, ( chômeurs, retraités, assurés sociaux, fonctionnaires, ...), la faillite signifie la perte des revenus et des subventions, une situation semblable à celle qu'ont vécu bon nombre de russes à la fin du régime soviétique, mais ce n'est qu'à ce prix là, qu'il sera possible à la jeunesse de se libérer de nos dettes faites sur leurs têtes et de tous nos mensonges, qui les ont empoisonnés.
Les jeunes devront comme les pères fondateurs des états-unis, tout reprendre à zéro. En se souvenant du message de Dieu à Samuel sur ce qui arrive quand on confie le pouvoir à un homme, ils devront établir une constitution, qui restitue le pouvoir, la liberté et les responsabilités à tout un chacun, qui limite précisément les pouvoirs délégués à l'autorité: Pouvoir exécutif, législatif et judiciaire. Cette constitution doit aussi limiter la taille des associations de toutes sortes afin de ne pas voir se créer un état dans l'état. Enfin la Constitution doit définir la monnaie de référence, son poids et son titre en or, avec la charge pour l'exécutif de battre la monnaie.
Il ne faut plus que l'état puisse :
Tout en se souvenant que tout est temporaire, et que toute organisation, si bien conçue soit-elle, finit par se pervertir sous l'ingéniosité humaine, ce n'est qu'au prix de cette révolution, que la jeunesse pourra espérer retrouver, pendant un certain temps, un monde stable pour s'épanouir heureusement.
Septembre 2013:
L' Occident est asservi. Il est tombé sous le joug des sionistes dont Israël n'est que l'aspect émergé
de l'iceberg. En Occident, les citoyens vivent maintenant dans des pays occupés. Washington est à ce jour la capitale de cet empire.
Ces occupants se sont dotés d'armes de destructions massives. La première est le dollar. Ils ont su faire
admettre cette monnaie, comme monnaie de réserve et l'imposer comme monnaie d'échange international. Ils en contrôlent l'émission
et l'ayant détachée de toute contrainte, en ont rendu
la source infinie. C'est ainsi qu'avec le dollar, ils ont pu corrompre l'ensemble de la vie politique occidentale et déstabiliser,
voire générer l'anarchie dans les pays limitrophes de leur empire.
La deuxième sont les média. Cet outil sert à déstructurer les citoyens de l'empire, afin de leur faire perdre
leur identité, leur culture, leurs valeurs et leurs racines pour en faire de bons esclaves.
Ils engendrent la confusion avec de faux problèmes et des sentiments de culpabilité injustifiés. Dans les pays limitrophes, ils ont même
encouragé ceux qui ont prêché les idéologies sous-tendant le terrorisme. D'une façon générale ils ont promu
la vulgarité, la laideur et la pornographie. Ils justifient et glorifient les marionnettes mises à la tête de nos gouvernements
et diffament et calomnient les dirigeants des pays limitrophes.
La troisième est le viol systématique de la vie privée. Avec ce concept malhonnête "d'argent sale",
ils se sont donnés le droit de contrôler
toutes les transactions particulières. En France, ils vont même jusqu'à limiter l'utilisation et la possession d'argent liquide.
Et sans argent liquide, il est difficile de se défendre contre les occupants. De plus, ils savent tout, ils enregistrent tout:
vos conversations, votre courrier, vos centres d'intérêt, etc... Ils sont même au courant de vos incartades qui leur permettront
de vous faire chanter le temps venu.
La quatrième est la destruction de la justice. La justice est devenue essentiellement l'instrument du pouvoir et a
oublié de rendre la justice aux citoyens ayant subi des préjudices. La multiplication à l'infini des lois a banalisé le crime
et transformé juges et avocats en casuistes déshumanisés.
Avec la notion de prévention, les citoyens qui pourraient commettre un méfaits ont été mis au même rang que ceux qui l'ont commis.
Dans les cas fondamentaux tels que vol, meurtre, torture et enlèvement, justice n'est jamais rendue aux victimes
ou à leur famille. La peine de mort a été supprimée et la justice ne cherche qu'à excuser le criminel.
Et si ce dernier va en prison, l'ensemble de la société est condamnée à l'entretenir.
Enfin nos tyrans se sont placés au-dessus de la loi: enlèvement, détention arbitraire, torture,
trafic d'armes, guerre ouverte ou sournoise en utilisant des terroristes ou tout simplement vol par manipulation des marchés et des taux, et en
faisant de la cavalerie; tout leur est permis mais malheur
à ceux qui essayent de les imiter.
Ces dirigeants parlent sans-cesse de démocratie mais ils se sont dotés du pouvoir absolu, d'un pouvoir plus terrible que celui de Staline, d'Hitler ou de Mao Tsé-Toung. Ce sont des menteurs, des voleurs et des assassins. Le pire envisagé par Orwell est arrivé. Je ne crois plus que ce soit de l'intérieur de l'empire que puisse venir le salut. J'ose encore espérer que les pays limitrophes avant de succomber aux assauts de l'empire mettront celui-ci en faillite en jetant à la poubelle le maudit dollar et en refusant à l'empire l'accès aux ressources énergétiques et aux matières premières.
Ce sont les échanges commerciaux qui valorisent les production et les offres de service. Le volume de ces échanges est
une mesure de l'activité humaine. Mais la résultante de ces activités, peut être nulle, positive ou négative.
Ces activités peuvent n'avoir rien créé, voire même contribué à une destruction de la vie et de la richesse accumulée.
Le troc limitait considérablement les échanges qui n'ont pu se développer qu'avec la création d'un moyen de paiement pratique.
Un moyen de paiement éphémère sous la forme d'un crédit me semble être approprié. Éphémère car régulièrement, tous les ans par exemple,
il faudrait apurer les comptes. Les personnes ayant un solde positifs devraient alors être payées avec une vraie monnaie qu'ils puissent éventuellement épargner
en toute confiance. Les autres, avec un solde négatif devraient en donner. Les titres de crédit, les " billets " ayant servi à faciliter ces échanges devraient
alors être détruits. La conclusion de ces échanges ne devrait jamais être reportée indéfiniment et en aucun cas être transférée
aux générations futures pour éviter que le volume du crédit ne croisse pas indéfiniment.
Le volume du crédit exprimé en valeur de la monnaie réelle, peut être un multiple de la valeur totale de la monnaie existante car il doit répondre
au besoin de l'activité qui y règne. Son insuffisance peut amener une récession voire une dépression et son excès engendrer une inflation.
L'inflation fait monter la température et le système devient fiévreux engendrant boulimie et pollution. Apurer les comptes régulièrement,
a l'effet d'une purge. Les éléments malades sont obligés de consommer leur capital pour payer leurs abus. Quand ils n'en ont plus, ils se trouvent
exclus des échanges, leur température baisse et ils doivent à nouveau contribuer au système pour pouvoir consommer. La fréquence de ces purges évite
en générale que la fièvre devienne chronique et la maladie, mortelle.
La monnaie réelle doit être un outil pour comptabiliser le solde de ces activités, pour pouvoir épargner durablement et pour faciliter le transfert des biens durables.
Un des rôles de l'État est d'en assurer la qualité et non de la créer. Il est aussi celui d'en favoriser la circulation, en évitant la thésaurisation et
en permettant à peu de risques l'utilisation de l'épargne à un taux raisonnable.
Quand l'État dégrade la monnaie ou prétend en créer, il volent les citoyens et souvent pour des buts criminels.
Le volume du crédit dans un pays ne devrait pas être lié au volume de la monnaie mais à la valeur du P.N.B. du pays. Le coût du crédit devrait être celui
de la gestion de ce crédit augmenté de quoi à inciter les épargnants à sortir leur monnaie. La liste de ceux qui sont en défaut de paiement et qui
donc ne doivent plus bénéficier de crédit, devrait être publique.
Un homme libre épargne pour assurer son avenir et celui de ses enfants. Un investissement peut justifier le recours à l'emprunt mais y recourir par paresse, insouciance
ou lâcheté, est l'attitude d'un homme prêt à se vendre comme esclave ou pire encore à vendre ses enfants.
Who Really Owns America's Gold by Mike Maloney May 2021
La richesse est crée par le travail mais biens des travaux
ne sont que des coûts et ils ne produisent aucune richesse quand ils ne la détruisent pas.
L'appropriation de la richesse est
une fonction indépendante du travail, qui est réservé aux petites gens.
La première façon de s'approprier les richesses a toujours été la violence et le pillage. Très proche de ces barbares, on trouve l'église dont le rôle est de faire accepter au peuple la violence du pouvoir. Puis viennent les financiers qui autrefois étaient au service des rois et qui aujourd'hui en sont les maîtres. Enfin il y a des entrepreneurs, des hommes qui ont des idées, qui osent et savent utiliser le travail des autres pour avoir un effet de levier.
Une trop grande concentration de la richesse est un système aussi peu efficace pour en créer qu'un système où la richesse est répartie uniformément. Ce sont des systèmes peu motivants car dans le premier, le prince veut tout contrôler afin de ne pas voir quelqu'un venir ébranler son pouvoir et dans le second, l'état vient vous prendre le fruit de votre travail pour le redistribuer à la communauté. La création de richesses nécessite la paix, la liberté et la possibilité de bénéficier en partie, du fruit de son travail.
Ainsi, la notion égalitaire est aussi mensongère que celle d'un Dieu juste et bon. L'écart entre les bourgeois et les indigents est plus faible que celui entre les grands bourgeois et les bourgeois. Les grands: bourgeois, princes et souverains utilisent couramment les indigents contre les bourgeois, qui ont en générale, assez d'instructions pour percevoir les mensonges, la perversion et la folie des hommes et en particulier, ceux et celles des classes dominantes dont les effets peuvent être dévastateurs pour l'humanité. Ces classes dominantes ont naturellement un comportement esclavagiste.
Der Kuss der Judas
Die freundlichsten Küsse, die höflichsten Grüße sind oftmals nur Zeichen der
schändlischten Verräterei.
Beim schmeichelnden Lachen, beim lieblichen Scherzen
die Feindschaft und Mißgunst nicht sollen im Herzen, man sucht die Macht erst
zu erschleichen alsdam zeigt man die Klauen ohne Scheu.
Le pouvoir dans la démocratie légitimé par le suffrage universel est une tromperie. Pourquoi ? parce qu'en réalité la grande majorité des humains n'est pas encore sortie de l'état de servitude. La majorité des humains est à la poursuite de la satisfaction de ses besoins, de ses envies et de ses rêves. Son instinct grégaire la pousse à croire que c'est auprès du pouvoir qu'elle aura le plus de chance de satisfaire ses objectifs. Elle n'est pas à la recherche de la Vérité, qui pourrait déranger le pouvoir et ainsi compromettre sa relation avec celui-ci. Cette majorité est constituée par les esclaves des champs et ceux de la maison. Ces derniers sont de bons élèves qui singent leurs maîtres et répètent scrupuleusement leurs paroles. Pour eux, le maître est bon, il est juste et il détient la Vérité. Les hommes libres sont peu nombreux et malheureusement beaucoup sont devenus des sceptiques et des cyniques avec un profond mépris pour les esclaves, et que la richesse et le pouvoir ont rendu fous. Enfin il y a quelques sages à la recherche du sens de la vie, conscient de l'océan de mensonges dans lequel nous vivons. Ils sont attirés par la Lumière et du fond des ténèbres, ils marchent ver elle. La majorité est ainsi inconsciente et elle est manipulée par les média aux ordres de la finance qui fait élire des suppôts du Diable, des menteurs, des voleurs et des assassins dévoués à son service.
La lutte pour l'égalité est le combat des jaloux et des mesquins. Elle est instrumentalisée par ceux qui veulent asservir l'humanité.
L'égalité des sexes, c'est le combat des femmes qui veulent devenir des hommes et des hommes qui souhaitent devenir des femmes. Ces transgenres sont utilisés pour stériliser l'humanité afin d'en réduire la population et banaliser les comportements sexuels pervers.
L'égalité n'existe pas dans la nature. Vouloir imposer l'égalité, c'est vouloir étouffer les talents et le génie, c'est le refus de reconnaître ce qui est beau, gracieux, élégant et admirable, c'est se sentir humilier par la réussite des autres. L'élite qui soutient ce combat le fait dans la crainte d'être remise en question.
Le mot " solidarité " est de plus en plus
souvent employé par nos gouvernants, pour nous demander plus d'efforts et
justifier les impôts additionnels. Ce n'est pas nouveau, c'est probablement
déjà ce dont on devait parler aux galériens quand on les enchaînait avant la
bataille. Tous devaient être astreints au même sort, il ne fallait pas qu'un
seul puisse s'échapper et survivre à un sort contraire.
La solidarité s'oppose à la liberté en liant les uns aux autres. Très
vite, le groupe devient plus important que les éléments qui le composent et chacun
doit se soumettre à l'objectif, le discours et la pensée de la
communauté. Chose haïssable pour les gouvernants, la liberté rend les individus
imprévisibles, chacun pouvant réagir différemment à une situation donnée.
La solidarité est donc un bon outil de management pour canaliser la pensée et l'action des
individus; un outil, qui les coupe de leur relation directe avec le Ciel, et les
laisse ainsi à la merci du tyran. Cet outil est d'autant plus facile à implémenter qu'il s'appuie sur
l'instinct grégaire des individus, sur leur difficulté à se tenir debout,
seul en équilibre, sur le besoin qu'ils ont de s'appuyer les
uns sur les autres pour se rassurer, car comme dit le proverbe : " Quand je
me regarde, je me désole mais si je me compare, je me console. "
En ce sens, un peuple ayant été soumis à la
monarchie absolu et au catholicisme, avec des princes courtisans et un clergé
puissant, détenteur de la " vérité absolu " et de la définition
" du bien et du mal " est bien plus
propice au développement d'une société réclamant une assistance économique
et psychologique qu'une société bourgeoise et protestante, comme par exemple
aux Pays-bas, qui en supprimant les intermédiaires entre le ciel et la terre a
développé des êtres responsables, qui savent se tenir debout sans tuteur.
Il semble que l'on ne veut pas admettre l'inévitable. Le système fou, dans lequel nous vivons, ne peut pas durer éternellement. Faire perdurer le système, se fait aux dépens de nos enfants, auxquels nous allons léguer des dettes exponentielles, des politiques alliant l'escroquerie aux promesses mensongères pour voler les uns et abrutir les autres, et des frustrations sans fin, quand ces enfants ne pourront plus satisfaire tous les caprices avec lesquels on les a bercés.
Il est évident que ceux, qui nous gouvernent, savent tout cela, mais ce qui leur importe, est de conserver le pouvoir et donc de gagner les prochaines élections. Au porteur de mauvaises nouvelles, surtout quand il n'a pas de solution, on coupe la tête, ils nous racontent donc des contes de fées, dans lesquels :
Croire aux sornettes qu'ils nous débitent, c'est se mettre la tête dans le sac. Croire que la crise est évitable est aussi une illusion. Mais celui qui vit en équilibre, heureux dans sa peau, aura beaucoup plus de chance de traverser la crise sereinement, que celui qui est accro du système.
Dans la nature, la vie jaillit à profusion sous un nombre
infinie de formes. Le système de prédateurs et de proies crée un équilibre
du tout, car chacun est à la fois proie et prédateur. La proie engendre le prédateur,
qui, s'il se développe en trop grand nombre, va réduire le nombre de
proies au point, qu'il ne pourra plus survivre.
Nous voulons bien être prédateur mais détestons être la proie, car mourir
nous est insupportable. Grâce à la médecine et la pharmacie, nous avons
déclencher la guerre à nos prédateurs, ces terroristes et changer l'équilibre
naturel. La population mondiale est passée d'environ 1 milliard en 1850 à 6.3
milliards aujourd'hui.
Nul n'est besoin d'être grand clerc pour comprendre que la poursuite de cette
voie conduit à une impasse. D'une part, nos prédateurs trouvent
progressivement des parades à nos armes bactériologiques mais surtout si nous
continuons à devancer nos ennemis techniquement, notre nombre pourrait devenir
tel que nous n'aurons plus assez de proies pour nous nourrir.
Alors, après avoir attaqué les ennemis prédateurs, nous avons décidé de
contrôler le débit de la source de vie, en modifiant le comportement des
hommes et des femmes pour qu'ils arrêtent de procréer autant. Les hommes
doivent devenir plus stériles et les femmes moins fertiles d'où les
programmes de libération de la femme, le planning familiale et la normalisation
des comportements homosexuels.
L'homme et la femme sont en train de changer et certains verront cette évolution
comme un progrès, et d'autres comme une dégénérescence. Grâce à cela, la
population va cesser de croître et même diminuer dans de nombreux pays, et la
proportion de personnes âgées va augmenter considérablement.
Nous allons peut-être ainsi contenir la pollution, mais comment espérer un réel
développement économique durable dans un monde vieillissant et sans jeunesse.
Je crois que cette approche fragilise l'espèce humaine dangereusement et qu'un
retour en arrière sera très difficile. Va-t-on remettre les vieux au champs
quand le pétrole viendra à manquer pour faire tourner les tracteurs ? Et si
les prédateurs deviennent plus malins, va-t-il être simple de renverser le
comportement des hommes et des femmes pour qu'ils se remettent à faire des
enfants ? Il me semble que nous sommes comme ces enfants qui, en écoutant Hans
le joueur de flutte, courent se noyer.
Nous vivons dans un océan de mensonge alimenté par toutes les maîtres à penser provenant des autorités philosophiques, scientifiques et politiques.
Le système éducatif, privilégie les bons perroquets, qui ont de la mémoire et sont à même de répèter correctement les paroles du professeur.
C'est un système qui favorise le rapport hiérarchique. Il requiert envers l'autorité, le respect
et l'obéissance des élèves. Le devoir d'obéissance qui est explicité clairement dans l'armée et les ordres éclésiastiques, va à l'encontre de la recherche de la Vérité.
La recherche de la Vérité implique le silence, la traversée du désert et la destruction des tabous; ce n'est pas un chemin pour tout le monde.
C'est une aventure à haut risque et je crois, comme il est dit dans ce livre Persan "Le Mantic Uttair ou le langage des oiseaux", que bien peu arrivent au palais
de "Simorg" auquel, à leur désespoir, ils trouvent porte close. Là blessés et épuisés, ils devront encore attendre dans ce purgatoire, l'ouverture de la porte
du palais et la rencontre tant espérée avec "Simorg".
J'ai entrepris ce voyage téméraire et je me retrouve au purgatoire à 82 ans
Céline disait que celui qui a le bac en France, a déjà un filtre qui lui fait voir les choses tout de travers. Celui qui recherche la vérité doit se
débarrasser de tous ses filtres: celui de son milieu et ceux de l'enseignemt qu'il a subi.
Il n'y a pas de livres sacrés ni de paroles d'évangiles,
il n'y a que des écrits et des paroles d'hommes et donc des sources sujettes à caution, car l'homme sait répéter sans comprendre, ce qu'il a appris,
ou mentir par intérêt et persévérer dans son erreur ou mensonge par orgueil.
Nous vivons dans les ténèbres. Celui qui part à la recherche de la Vérité doit laisser sa conscience écouter le porteur de lumière, et savoir reconnaître ses erreurs
de parcours et corriger le tir.
Néanmoins nous vivons en société et afin d'éviter que celle-ci ne sombre dans l'anarchie, la folie et le chaos, il faut avoir en commun quelques
principes moraux conformes aux lois de la Nature. Ces principes sont ceux communément admis par l'ensemble des religions mais ils
sont tels qu'ils peuvent être acceptés indépendammant de la croyance en Dieu et l'utilisation de Dieu comme un gendarme pour faire respecter ces principes,
est un artifice du pouvoir qui induit une confusion dans la compréhension du concept même de Dieu.
Aujourd'hui, le "Nouvel Ordre Mondial" veut suprimer ces principes et les remplacer par un salmigondis
artificiel et contre nature, et en cela il est vraiment l'ennemi du genre humain.
Le "Nouvel Ordre Mondial" est celui des maîtres de la Tour de Babel. La tour de Babel est une tour de portes (Bab) de puissance (el),
dans le langage moderne, c'est un ordinateur. Avec cette tour, le "Nouvel Ordre Mondial" pensait atteindre l'Olympe et gouverner le monde entier.
Mais cette tour empoisonnée par des virus, va s'effondrer sous peu. Le naturel l'emportera sur le virtuel et le "Nouvel Ordre mondial" au lieu d'atteindre le ciel,
va sombrer dans l'apocalypse qu'il aura provoqué.
Quand les chrétiens devinrent une force avec laquelle l'empire romain du compter, celui-ci essaya sa méthode habituelle d'intégration, celle qu'il avait déjà pratiquée avec de nombreuses tribus barbares. Il se fit chrétien. Mais le ver était dans le fruit et l'empire continua à pourrir et se désagréger. La papauté lui survécut encore plus de quinze siècles.
L'empire, c'est l'exécutif plongé dans les difficultés journalières, les conflits domestiques et territoriaux. A ce titre, il est plus vulnérable que la papauté, qui régit les âmes et qui par son approche mondialiste et universele, se positionne au dessus des souverains. La papauté a eu un pouvoir immense, une fortune considérable et elle a duré plus longtemps que les royaumes parfois brillants mais souvent éphémères.
C'est la leçon retenue par les fondateurs de l'O.N.U., qui ne sont pas très éloignés des Rockefeller. Il y a eu prise de conscience chez eux après le massacre de Ludlow, que l'utilisation de la force brutale était une mauvaise garantie de pérennité. Ils ont compris que ce qui était vrai pour leur entreprise, l'était aussi pour l'empire américain et ses alliés anglais et israéliens. Ils ont donc prôné une nouvelle religion: le mondialisme et mis en place un nouveau Vatican, l'O.N.U. au cœur de la capitale de l'empire: New York. Ces champions du mondialisme ont placé leur cathédrale au cœur d'une ville où la majorité des citoyens, comme les romains d'alors, se considèrent comme des êtres d'exception, une race élue.
Aujourd'hui, l'empire est encore puissant et l'O.N.U. a essuyé un revers à Copenhague. En fait l'O.N.U. est en conflit avec l'empire mais la patience de l'église est infinie. L'empire, qui est en guerre avec la moitié du monde, contrôle encore le nerf de la guerre, l'argent, le roi dollar, avec lequel il achète et corrompt la majorité des princes de ce monde. Sa puissance est telle que ses actions même les plus répréhensibles, au Pakistan, en Afghanistan, en Irak, à Guantanamo, à Gaza, ne peuvent pas être jugées par le Tribunal Pénal International, qui doit se concentrer uniquement sur les vilains désignés par l'empire. L'O.N.U. n'est certainement pas satisfait de cette situation mais les princes passent et l'église demeure. Le remplacement du dollar par une monnaie internationale serait certainement au goût de l'O.N.U. car cela la libèrerait de la tutelle de l'empire.
La patience et quelques compromis sont indispensables car l'empire est blessé et dans un état paranoïaque. Si lui ou un de ses alliés déclenche un conflit qui dégénère, un conflit pour s'assurer du contrôle des ressources et faire disparaître une grande partie des barbares, qui ont envie de vivre et consommer des ressources qui devraient être réservées aux êtres supérieurs, ce sera alors la fin du mondialisme et du rêve des fondateurs de l'O.N.U.
Nous sommes pris entre deux feus. D'un côté, les impériaux, une race seigneuriale, brutale, prête à annihiler tous ses
concurrents et de l'autre, des prêtres, qui nous prêchent de s'aimer les uns les autres, de mieux partager, de moins consommer, de moins procréer et polluer
et de ne pas oublier de leur verser un nouveau denier du culte fonction de notre consommation énergétique. Les uns pillent et assassinent, les autres
convertissent, sermonnent et brûlent les hérétiques.
La théorie du complot chez les Goyim est le pendant de la paranoïa chez les Juifs.
La paranoïa est un outil encore plus efficace que le patriotisme pour rassembler les Juifs car son ressort est une peur viscérale du monde extérieur et
en particulier des Goyim alors que le patriotisme fait appel à l'orgueil imbécile, qui donne un sentiment de supériorité, rarement justifié et de surcoît
peu résistant dans l'adversité.
Ainsi rassemblé, les Juifs constituent une armée défensive et offensive, remarquable contre les Goyim
La théorie du complot chez les Goyim est le résultat des manigances et des entourloupettes des Juifs pour arriver à leurs fins. En regardant tout ce
qu'on essaye de leur vendre :
les Goyim cherchent à comprendre ce qui se passe: où va-t-on ? pourquoi ? Cui bono ? Qui est derrière tout cela ?
Ayant déjà compris que la finance et les média, les deux outils majeurs du pouvoir étaient entre les mains des Juifs,
les Goyim sont à la recherche des hommes et des organisations qui ont conçu ces stratégies et qui manipulent les marionnettes mises à la tête de leurs gouvernements.
Pour ridiculiser ces Goyim qui se voudraient intelligents, les média ont inventé cette appellation "La théorie du complot" afin de ne pas avoir à
répondre aux accusations précédentes. C'était une manière de leur dire : taisez-vous crétins ! Il n'y a aucun doute, je fais partie des " crétins " et je suis atteint
d'une paranoïa semblable à celle des Juifs !
J.P. - 22/01/16
Conférence d’Alain Soral et Gilad Atzmon - Lyon, 26 mai 2014
Référence: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-juifs-et-les-autres-Conference-d-Alain-Soral-et-Gilad-Atzmon-26309.html
Je suis impressionné par l’analyse de Gilad Atzmon. J’en ai retenu 3 points :
Par une suite de mariages entre des gens d’affaires et des intellectuels, sur une période de plus de mille ans, les juifs Allemands et ceux de l’empire Autrichien ont développé une élite cognitive dépassant de loin en intelligence l’élite aristocratique européenne.
La gauche a été pervertie et au lieu de protéger les travailleurs contre cette élite aisément esclavagiste, elle s’est muée en missionnaire et s’est lancée dans des combats, qui sont en fait des écrans de fumée protégeant l’élite qui sourit et finance cette gauche stupide ou corrompue.
Cette élite cognitive est brillante et sans complexe. Elle est devenue experte dans la propagande et à ce titre a pris le contrôle des media. Ainsi par esprit de caste, seront portés au premier plan tous les leurs ayant quelques talents dans les domaines artistique, intellectuel, médecine ou autre.
Cette meilleure éducation couplée avec l'esprit de solidarité et le sentiment d'être en guerre contre le reste de l'humanité, a généré une quantité de réussites professionnelles hors norme et un esprit d'entreprise agressif et sans complexe. Mais à contrario, elle explique peut-être aussi pourquoi cette élite est esclavagiste et souhaite réduire le reste de l’humanité au niveau animal, pourquoi elle manque totalement d’humanisme et refuse d’aider les goyim à se réaliser et s’épanouir en harmonie avec la Création.
Par ailleurs, il semblerait exister entre cette élite cognitive juive issue de l’Allemagne et de l’empire Autrichien et
la mouvance juive révolutionnaire mondialiste, prêchant un Nouvel Ordre Mondial, acharnée à détruire tous les repères des goyim
( famille, sexe, religion, patrie) un fossé que je ne voudrais pas comprends.
Qui est à l’origine de ce mouvement révolutionnaire,
voire terroriste, qui devint visible avec la révolution russe, et celles qui suivirent la fin de la première guerre mondiale,
en Allemagne et en Hongrie, puis qui expédia en 1936 des hordes fanatiques en Espagne manger du curé et
qui maintenant d’une façon insolente dicte ses lois en Occident et semble vouloir nous précipiter de nouveau dans la guerre ?
Autant j’admire l’intelligence et la finesse des premiers, autant je rejette la bestialité et la laideur
spirituelle des seconds. Trop, c’est trop !!!
Je crains que le lien entre cette élite et ces terroristes soit semblable aux liens existants aujourd'hui au Moyen-Orient entre
les terroristes ( Al qaida, Daesh ou EIIL, Al nosra, etc..) et les princes Saoudiens ou Qatari et autres; d'un côté, une élite ayant sombré dans la folie
et de l'autre, une armée de fanatiques chargée de détruire l'ancien monde.
J'ai été ébloui par Alain Soral et sa vision de l'Empire qui dirige l'Occident. Je suis plus pessimiste que lui quant à l'avenir
car Je crois que l'Occident est dans l'impasse et que ceux qui contrôlent ce système sont très proches de la folie.
Je rejoins Garaudy sur la façon de réagir à ce Nouvel Ordre Mondial, en ce sens que pour moi, le moindre mal pour sortir de ce
cul de sac, réside non dans le combat armé mais dans l'art de pousser le système à la faillite. Seuls les pays à l'extérieur de l'Empire
peuvent provoquer cette faillite. Un boycott du dollar et une réduction de l'accès de l'Occident aux ressources en énergie et matières premières pourraient
bien faire l'affaire. Il en résulterait dans l'Empire, un désordre probablement suffisant pour que ses peuples se lèvent et disent:
Trop c'est trop.
L'alternative est dramatique, car les dirigeant de l'empire veulent éliminer tous ceux qui sont incapables
d'accepter le Nouvel Ordre Mondial et en même temps ils veulent réduire la population mondiale à un niveau compatible avec ses ressources
( une population inférieure à 3 milliards).
En écoutant à nouveau ce que dit Alain Soral, je comprends de moins en moins ce qu'il semble détester dans le système
bourgeois. Ce système si décrié, est une suite logique de la Renaissance où l'homme se libère du carcan de l'Eglise, il devient
industrieux et se met à exploiter les ressources de la Terre. Il redécouvre son corps dont il n'a plus honte et comme il est dit dans
"La Création" de Haydn, il marche la tête haute. Son rapport avec le Ciel n'est plus celui de l'esclave envers son maître mais
celui d'un individu qui doit s'affirmer tout en souhaitant parvenir à entrer en harmonie et en résonance avec le Ciel.
Oublions les crétins que l'on trouve dans toutes les classes de la société, il est vrai que la société bourgeoise a généré elle aussi
ses parasites et qu'en vieillissant, elle a perdu son souffle créateur et généreux. Elle a produit une élite nantie composée
de courtisans, de cyniques et de sceptiques, une élite dépourvue de toute spiritualité. Ces hommes et ces femmes souvent méprisants,
voire méchants adorent le pouvoir et l'argent et pour tromper l'ennui, ils sont à l'affût de toutes sortes d'excitants.
Ces êtres sont des trous noirs; ils absorbent tout et ne produisent rien. Ces monstres
ne sont pas la preuve que le système a été mauvais mais qu'il est aujourd'hui mourant. Ils accompagnent le passage de la République
à l'Empire avec le retour à l'esclavage.
Plus j'écoute Alain Soral et moins je peux le suivre. Il me fait penser à Thomas Moore.
Je suis en accord avec lui dans son analyse du système. Elle aide à réaliser que le monde dans lequel nous vivons est l'enfer,
le royaume du mensonge, celui où les plus pervers dirigent le système. Mais cela a toujours été le cas et on n'y changera rien.
Il est vrai qu'aujourd'hui, les fous qui managent cet empire disposent de moyens incomparables à ceux que possédaient leurs prédécesseurs.
Mais c'est une utopie de croire en un monde meilleurs et durable sur cette Terre. Ici tout se corrompt avec le temps.
En pensant à mes enfants, je souhaiterais retarder l'apocalypse en préparation mais c'est probablement encore là une faiblesse.
La sortie de l'enfer nécessite d'avoir pris conscience de l'existence de l'enfer et le désir de retrouver la lumière et avec elle,
le Créateur rayonnant dans son état christique.
Il faut se libérer de l'enfer et non le combattre. C'est en cela que je diverge de Soral.
Une fois sortie de l'enfer, on se retrouve au purgatoire pour comme la chenille produire un papillon, c'est à dire engendrer une âme
à même de communiquer avec le Ciel. Comme Ulysse, de retour à Ithaque, il faut tuer tous les faux prétendants qui veulent épouser
Pénélope, qui symbolise cette âme. Cest la Djihad, qui consiste à tuer tous les monstres que l'on a en soi. C'est le combat ultime
de cet insecte rampant qu'est l'homme, quand il veut engendrer une âme. C'est celui-là qu'il faut mener.
Sir Josiah Stamp (1880-1941) disait en 1927 :Les banquiers, ces usuriers se sont comportés comme des trafiquants de drogues en abusant de la faiblesse des hommes. La drogue qu'ils vendent est le Crédit qui est aussi dangereux que l'héroïne. Elle enchaîne leurs clients qui n'arrivent plus à se sevrer de cette drogue.
"Banking was conceived in iniquity and born in sin. The Bankers own the earth. Take it away from them, but leave them the power to create deposits, and with the flick of the pen they will create enough deposits to buy it back again. However, take away that power, and all the great fortunes like mine will disappear as they ought to in order to make this a happier and better world to live in. But, if you wish to remain the slaves of Bankers and pay the cost of your own slavery, then let them continue to create deposits."
Ce livre est l'œuvre du poète sunnite persan Farid Al-Din Attar publiée vers 1177. Farid Al-Din Attar est né à Nishapur vers 1142 et il a été tué
lors de la prise de Nishapur par les mongols de Gengis Khan. Il commença sa vie active en tant que droguiste-parfumeur, c'est d'ailleurs de là que vient
son nom d'« Attâr ». Il quitta ensuite son commerce lucratif pour embrasser la doctrine des soufis et se fit derviche.
La vision de Dieu qui se détache de ce livre me rebute. Elle me semble proche de Moloch.
Si c'était le cas, les hommes devraient s'en tenir aussi éloignés que possible. Les monstres sont à garder à distance si on ne peut pas les tuer.
Cette vision n'est pas très éloignée de celle des chrétiens ou de celle des juifs.
J'ai le sentiment qu'Attar, l'auteur de ce livre, a une conception de Dieu qui est un contresens voire un non-sens.
Dieu nous aurait créé pour nous torturer jusqu'à ce qu'on veuille se fondre et s'anéantir en lui. La victime devrait finir par adorer son bourreau!
C'est une folie monstrueuse. Je ne crois pas non plus à la pré-existence de l'âme, ni à la réincarnation pour punir les méchants, d'autant plus
qu'il n'y a eu aucun progrès spirituel dans le monde depuis qu'on en sait quelque chose.
Enfin, la notion de vie éternelle est absurde même pour Dieu.
Toutes les trois religions ont un double discours, ce qui me semble incohérent et mensonger.
D'un côté, un discours pour tous dans lequel le peuple soumis, crédule et obéissant à l'autorité religieuse peut accéder au paradis et
de l'autre, un discours élitiste dans lequel le chemin vers Dieu est extrêmement étroit et seuls quelques élus parviendront au but après de multiples
tribulations. L'un contredit l'autre. De plus, les lois ont l'air d'être faites pour le peuple. Dieu est au-dessus des lois, il peut les changer comme
bon lui semble. Il ne faut pas chercher à le comprendre car il est irrationnel d'où les miracles et la magie. Il est un illusioniste, le presdigitateur !
Seuls, la violence et le maintien des peuples dans l'obscurantisme peut expliquer le succès de ces religions.
Ces Dieux sont des extrapolations des tyrans sanguinaires et esclavagistes que nous avons connus. Ils ne sont que des outils pour exploiter
les hommes.
La huppe, qui va guider les oiseaux dans leur voyage initiatique, sent le gourou; elle sait ce que personne ne peut savoir; elle a été l'intime de Salomon et
depuis le temps qu'elle vit, elle n'a jamais entrepris ce voyage. De plus elle a besoin des autres pour l'entreprendre et peu lui importe d'en conduire des
milliers à la mort. Quand son discours devient fumeux, c'est qu'elle est en train de rouler ses auditeurs dans la farine,
qu'elle abuse de sa position et de la crédulité des fidèles, car " ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément."
En naissant l'homme semble être pourvu d'une source d'énergie explosive et d'un logiciel interne grâce auxquels il se lance bravement et joyeusement dans la vie.
L'expérience modifie son logiciel y apportant des fonctions supplémentaires et des virus. Pour moi, ce sont cette source d'énergie souvent mal contrôlée et ce
logiciel qui expliquent son comportement. Je ne considère pas que ces éléments constituent une âme, car quand on coupe le courant, tout cela s'arrête. Non,
mais celui qui peut devenir une image fractale de Dieu est pour moi, ce qu'est le papillon à la chenille, un être aérien par opposition à un être rampant
et matérialiste et qui grâce à l'intervention de l'Esprit-Saint va devenir dans le feu, cet image fractale de Dieu.
( L'Esprit-Saint est à Dieu ce que l'onde est à la particule en physique ondulatoire).
La vie est une aventure avec ses heurts heureux ou malheureux. C'est un lieu d'apprentissage, qui peut conduire certains à la recherche du Père.
Entreprendre cette recherche avant d'avoir jouer le jeu et donc vécu, est de la triche; c'est essayer de trouver un raccourci,
et refuser de comprendre le sens de sa Charité et de son sacrifice. Il faut d'abord prendre la vie à bras le corps puis se donner entièrement à l'Esprit-Saint.
Après avoir été un rapace avide et jamais rassasié, l'homme à la recherche de Dieu doit trouver la paix et l'état de charité qui lui permettent de
s'ouvrir à la venue de l'Esprit-saint. C'est lui qui déclenche la résonance entre le Père et ce chercheur qui devient alors son fils, une image fractale de son
Père, une autre image fractale du "Tout", contributant à son expansion.
Prendre ce chemin n'est pas une obligation, mais certains en ressentent l'envie, ils sont comme ces papillons attirés par la flamme de la bougie.
La grande majorité des humains ne souffre pas de cette maladie angoissante et tend à se garder de cette sorte de derviches. Elle préfère un bon gros mensonge
et un ordre établi à se lancer dans l'inconnu, ce qui est compréhensible. Le bon sens lui dit avec raison que personne n'étant jamais revenu de cette aventure,
ceux qui prétendent la conduire dans cet inconnu sont, soit des escrocs qui veulent se constituer une secte pour vivre à ses crochets, soit des
illuminés dangereux. C'est pourquoi je m'oppose à Attar et à son guru "La Huppe" que je crois plus proche de l'escroc que de l'illuminé.
De plus, il ne peut pas s'agir d'un voyage de groupe mais d'une aventure solitaire.
Je crois comprendre l'abattement éprouvé par les oiseaux qui arrivent au palais du Simorg et y trouvent porte close.
Ils étaient partis à la chasse au trésor et ils espéraient obtenir une récompense pour tout ce qu'ils avaient souffert au cours de ce voyage et la porte close leur
indique, qu'ils étaient encore dans l'erreur. Ce n'est qu'après avoir perdu l'ambition qui les avait poussés dans ce chemin et s'être débarrassé de la tension
engendrée par l'effort qu'ils peuvent trouver la paix et l'état de charité, un état où on s'ouvre non plus pour prendre mais se mettre à rayonner
et ainsi devenir à l'image du Créateur et se voir dans le Simorg.
J'aime beaucoup cette dernière idée, et donc en dépit de toutes mes critiques, assez semblables à celles que j'ai formulées sur
" l'imitation de Jésus-Christ " je trouve ces deux livres enrichissants avec un petit plus pour ce dernier livre.
J P. Avril 2016
Au milieu du 17e siècle, les calvinistes britanniques se regroupèrent autour d’Oliver Cromwell et remirent en cause la foi et la hiérarchie du régime. Après avoir renversé la monarchie anglicane, le « Lord protecteur » prétendit permettre au peuple anglais de réaliser la pureté morale nécessaire pour pouvoir traverser une tribulation de 7 ans, accueillir le retour du Christ et vivre paisiblement avec lui durant 1 000 ans (le « Millenium »). Pour ce faire, selon son interprétation de La Bible, les juifs dispersés aux confins de la terre, devaient être regroupés en Palestine et y reconstruire le temple de Salomon. Sur cette base, il instaura un régime puritain, leva en 1656 l’interdiction qui était faite aux juifs de s’installer en Angleterre et annonça que son pays s’engageait à créer en Palestine l’État d’Israël [4]
La secte de Cromwell ayant été à son tour renversée à la fin de la « Première Guerre civile anglaise », ses partisans tués ou exilés, et la monarchie anglicane ayant été rétablie, le sionisme (c’est-à-dire le projet de création d’un État pour les juifs) fut abandonné. Il ressurgit au 18e siècle avec la « Seconde Guerre civile anglaise » (selon la dénomination des manuels d’Histoire du secondaire au Royaume-Uni) que le reste du monde connaît comme la « guerre d’indépendance des États-Unis » (1775-83). Contrairement à une idée reçue, celle-ci ne fut pas entreprise au nom de l’idéal des Lumières qui anima quelques années plus tard la Révolution française, mais financée par le roi de France et conduite pour des motifs religieux au cri de « Notre Roi, c’est Jésus ! ».
George Washington, Thomas Jefferson et Benjamin Franklin, pour ne citer qu’eux, se sont présentés comme les successeurs des partisans exilés d’Oliver Cromwell.
Les États-Unis ont donc logiquement repris son projet sioniste.
En 1868, en Angleterre, la reine Victoria désigna comme Premier ministre, le juif Benjamin Disraéli. Celui-ci proposa de concéder une part de démocratie aux descendants
des partisans de Cromwell de manière à pouvoir s’appuyer sur tout le peuple pour étendre le pouvoir de la Couronne dans le monde. Surtout, il proposa de s’allier à la
diaspora juive pour conduire une politique impérialiste dont elle serait l’avant-garde. En 1878, il fit inscrire « la restauration d’Israël » à l’ordre du jour du Congrès de
Berlin sur le nouveau partage du monde.
C’est sur cette base sioniste que le Royaume-Uni rétablit ses bonnes relations avec ses anciennes colonies devenues États-Unis à l’issue de
la « Troisième Guerre civile anglaise » connue aux États-Unis comme la « guerre civile américaine » et en Europe continentale comme la « guerre de Sécession » (1861-65),
qui vit la victoire des successeurs des partisans de Cromwell, les WASP (White Anglo-Saxon Puritans) [5]. Là encore, c’est tout à fait à tort que l’on présente
ce conflit comme une lutte contre l’esclavage alors que 5 États du Nord le pratiquaient encore.
Jusqu’à la presque fin du 19e siècle, le sionisme est donc exclusivement un projet puritain anglo-saxon auquel seule une élite juive adhère.
Il est fermement condamné par les rabbins qui interprètent la Torah comme une allégorie et non pas comme un plan politique.
Parmi les conséquences actuelles de ces faits historiques, on doit admettre que si le sionisme vise à la création d’un État pour les juifs, il est aussi le fondement
des États-Unis. Dès lors, la question de savoir si les décisions politiques de l’ensemble sont prises à Washington ou à Tel-Aviv n’a plus qu’un intérêt relatif.
C’est la même idéologie qui est au pouvoir dans les deux pays. En outre, le sionisme ayant permis la réconciliation entre Londres et Washington, le remettre en cause,
c’est s’attaquer à cette alliance, la plus puissante au monde.
Dans l’Histoire officielle actuelle, il est d’usage d’ignorer la période 17e-19e siècle et de présenter Theodor Herzl
comme le fondateur du sionisme. Or, selon les publications internes de l’Organisation sioniste mondiale, ce point est également faux.
Le vrai fondateur du sionisme contemporain n’était pas juif, mais chrétien dispensationaliste. Le révérend William E. Blackstone était un prêcheur états-unien pour qui
les vrais chrétiens n’auraient pas à participer aux épreuves de la fin des temps. Il enseignait que ceux-ci seraient enlevés au ciel durant la bataille finale
(le « ravissement de l’Église », en anglais « the rapture »). À ses yeux, les juifs livreraient cette bataille et en sortiraient à la fois convertis au Christ
et victorieux.
C’est la théologie du révérend Blackstone qui a servi de base au soutien sans faille de Washington à la création d’Israël. Et ceci bien avant que l’AIPAC
(le lobby pro-Israélien) soit créé et prenne le contrôle du Congrès. En réalité, le pouvoir du lobby ne vient pas tant de son argent et de sa capacité à financer
des campagnes électorales que de cette idéologie toujours présente aux USA [6].
La théologie du ravissement pour aussi stupide qu’elle puisse paraître est aujourd’hui très puissante aux États-Unis. Elle représente un phénomène en librairie et
au cinéma (voir le film Left Behind, avec Nicolas Cage, à paraître en octobre).
Theodor Herzl était un admirateur du diamantaire Cecil Rhodes, le théoricien de l’impérialisme britannique et fondateur de l’Afrique du Sud, de la Rhodésie
(auquel il donna son nom) et de la Zambie (ex-Rhodésie du Nord). Herzl était juif, mais pas israélite et n’avait pas circoncis son fils. Athée comme beaucoup
de bourgeois européens de son époque, il préconisa d’abord d’assimiler les juifs en les convertissant au christianisme. Cependant, reprenant la théorie de
Benjamin Disraéli, il arriva à la conclusion qu’une meilleure solution était de les faire participer au colonialisme britannique en créant un État juif,
dans l’actuel Ouganda ou en Argentine. Il suivit l’exemple de Rhodes dans la manière d’acheter des terres et de créer l’Agence juive.
Blackstone parvint à convaincre Herzl de joindre les préoccupations des dispentionnalistes à celles des colonialistes. Il suffisait pour cela d’envisager de créer Israël
en Palestine et de multiplier les références bibliques. Grâce à cette idée assez simple, ils parvinrent à faire adhérer la majorité des juifs européens à leur projet.
Aujourd’hui Herzl est enterré en Israël (sur le Mont Herzl) et l’État a placé dans son cercueil La Bible annotée que Blackstone lui avait offerte.
Le sionisme n’a donc jamais eu comme objectif de « sauver le peuple juif en lui donnant une patrie », mais de faire triompher l’impérialisme anglo-saxon en y associant
les juifs. En outre, non seulement le sionisme n’est pas un produit de la culture juive, mais la majorité des sionistes n’a jamais été juive, tandis que la majorité
des juifs sionistes ne sont pas israélites. Les références bibliques, omniprésentes dans le discours officiel israélien, ne reflètent la pensée que de la partie croyante
du pays et sont avant tout destinées à convaincre la population états-unienne.
C’est à cette période que l’on créa le mythe du peuple juif. Jusque-là, les juifs se considéraient comme appartenant à une religion et admettaient que leurs membres
européens n’étaient pas des descendants des juifs de Palestine, mais de populations converties au cours de l’Histoire [7].
Blackstone et Herzl ont artificiellement fabriqué l’idée selon laquelle tous les juifs du monde seraient des descendants des juifs antiques de Palestine.
Dès lors, le mot juif s’applique non seulement à la religion israélite, mais désigne aussi une ethnie. En se fondant sur une lecture littérale de La Bible, ils sont devenus
les bénéficiaires d’une promesse divine sur la terre palestinienne.
La décision de créer un État juif en Palestine a été prise conjointement par les gouvernements britannique et états-unien. Elle a été négociée par le
premier juge juif à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, sous les auspices du révérend Blackstone et fut approuvée aussi bien par le président Woodrow Wilson
que par le Premier ministre David Llyod George, dans le sillage des accords franco-britanniques Sykes-Picot de partage du « Proche-Orient ». Cet accord
fut progressivement rendu public.
Le futur secrétaire d’État pour les Colonies, Leo Amery, fut chargé d’encadrer les anciens du « Corps des muletiers de Sion » pour créer, avec deux agents
britanniques Ze’ev Jabotinsky et Chaim Weizmann, la « Légion juive », au sein de l’armée britannique.
Le ministre des Affaires étrangères Lord Balfour adressa une lettre ouverte à Lord Walter Rotschild pour s’engager à créer un « foyer national juif » en
Palestine (2 novembre 1917). Le président Wilson inclut parmi ses buts de guerre officiels (le n°12 des 14 points présentés au Congrès le 8 janvier 1918)
la création d’Israël [8]
Par conséquent, la décision de créer Israël n’a aucun rapport avec la destruction des juifs d’Europe survenue deux décennies plus tard, durant la Seconde Guerre mondiale.
Durant la conférence de paix de Paris, l’émir Fayçal (fils du chérif de La Mecque et futur roi d’Irak britannique) signa, le 3 janvier 1919, un accord avec
l’Organisation sioniste, s’engageant à soutenir la décision anglo-saxonne.
La création de l’État d’Israël, qui s’est faite contre la population de Palestine, s’est donc aussi faite avec l’accord des monarques arabes qui furent les premiers
leaders sionistes musulmans. En outre, à l’époque, le chérif de La Mecque, Hussein ben Ali, n’interprétait pas le Coran à la manière du Hamas.
Il ne pensait pas qu’« une terre musulmane ne peut être gouvernée par des non-musulmans ».
En mai 1942, les organisations sionistes tinrent leur congrès à l’hôtel Biltmore de New York. Les participants décidèrent de transformer le « foyer national juif » de Palestine en « Commonwealth juif » (référence au Commonwealth par lequel Cromwell remplaça brièvement la monarchie britannique) et d’autoriser l’immigration massive des juifs vers la Palestine. Dans un document secret, trois objectifs étaient précisés :
La presque totalité des participants ignoraient alors que la « solution finale de la question juive » (die Endlösung der Judenfrage) venait juste
de débuter secrètement en Europe.
En définitive, alors que les Britanniques ne savaient plus comment satisfaire à la fois les juifs et les arabes, les Nations unies
(qui ne comptaient alors que 46 États membres) proposèrent un plan de partage de la Palestine à partir des indications que les Britanniques lui fournirent.
Un État binational devait être créé comprenant un État juif, un État arabe et une zone « sous régime international particulier » pour administrer les lieux saints
(Jérusalem et Bethléem). Ce projet fut adopté par la Résolution 181 de l’Assemblée générale [9].
Sans attendre la suite des négociations, le président de l’Agence juive, David Ben Gourion, proclama unilatéralement l’État d’Israël, immédiatement reconnu par les États-Unis.
Les arabes du territoire israélien furent placés sous la loi martiale, leurs déplacements furent limités et leurs passeports confisqués. Les pays arabes
nouvellement indépendants intervinrent. Mais sans armées encore constituées, ils furent rapidement battus. Au cours de cette guerre, Israël procéda à un nettoyage ethnique
et contraint au moins 700 000 arabes à fuir.
L’Onu envoya comme médiateur, le comte Folke Bernadotte, un diplomate suédois qui sauva des milliers de juifs durant la guerre. Il constata que les données
démographiques transmises par les autorités britanniques étaient fausses et exigea la pleine application du plan de partage de la Palestine.
Or, la Résolution 181 implique le retour des 700 000 arabes expulsés, la création d’un État arabe et l’internationalisation de Jérusalem.
L’envoyé spécial de l’Onu fut assassiné, le 17 septembre 1948, sur ordre du futur Premier ministre, Yitzhak Shamir.
Furieuse, l’Assemblée générale des Nations unies adopta la Résolution 194 qui réaffirme les principes de la Résolution 181 et, en outre, proclame le droit inaliénable
des Palestiniens à retourner chez eux et à être indemnisés des préjudices qu’ils viennent de subir [10].
Cependant, Israël ayant arrêté les assassins de Bernadotte, les ayant jugés et condamnés, fut accepté au sein de l’Onu sur la promesse d’en honorer les résolutions.
Or tout cela n’était que mensonges. Immédiatement après les assassins furent amnistiés et le tireur devint le garde du corps personnel du Premier ministre David Ben Gourion.
.......
[4] Sur lhistoire du sionisme, on se reportera au chapitre correspondant (« Israël et les Anglo-Saxons ») de mon livre L’Effroyable imposture 2, Manipulations et désinformations, Edition Alphée, 2007. Les lecteurs y trouveront de nombreuses références bibliographiques.
[5] The Cousins’ Wars : Religion, Politics, Civil Warfare and the Triumph of Anglo-America, par Kevin Phillips, Basic Books (1999).
[6] Voir notamment American Theocracy (2006) de Kevin Phillips, un historien exceptionnel qui fut un des conseillers de Richard Nixon.
[7] Une synthèse des travaux historiques sur ce sujet : Comment le peuple juif fut inventé, par Shlomo Sand, Fayard, 2008.
[8] La formulation du point 12 est particulièrement sibylline. Ainsi, lors de la conférence de paix de Paris, en 1919, l’émir Fayçal l’évoqua pour revendiquer le droit des peuples anciennement sous le joug ottoman à disposer d’eux-mêmes. Il s’entendit répondre qu’il avait le choix entre une Syrie placée sous un ou sous plusieurs mandats. La délégation sioniste fit valoir que Wilson s’y était engagé à soutenir le Commonwealth juif à la grande surprise de la délégation états-unienne. En définitive, Wilson confirma par écrit qu’il fallait entendre le point 12 comme un engagement de Washington pour la création d’Israël et la restauration de l’Arménie. « Les quatorze points du président Wilson », Réseau Voltaire, 8 janvier 1918.
[9] « Résolution 181 de l’Assemblée générale de l’Onu », Réseau Voltaire, 29 novembre 1947.
[10] « Résolution 194 de l’Assemblée générale de l’ONU », Réseau Voltaire, 11 décembre 1948.
[11] « Shimon Peres s’est exprimé devant le Conseil de sécurité du Golfe, fin novembre », Réseau Voltaire, 3 décembre 2013.
Gilgamesh was an historical king
of Uruk in Sumer, on the Euphrates, living around 2700 B.C.
Hammurabi and his code of law are very popular
among historians yet, the civilizations of the
Tigris-Euphrates area, among the first civilizations, focus rather on
Gilgamesh and the legends accruing around him. Many stories and myths were written about Gilgamesh, some of
which were written down about 2000 B.C. in the Sumerian language on clay
tablets which still survive; the Sumerian language, as far as we know,
bears no relation to any other human language we know about. These
Sumerian Gilgamesh stories were integrated into a longer poem, versions of
which survive not only in Akkadian (the Semitic language, related to
Hebrew, spoken by the Babylonians) but also on tablets written in Hurrian
and Hittite (an Indo-European language, a family of languages which
includes Greek and English, spoken in Asia Minor). All the above languages
were written in the script known as cuneiform, which means "wedge-shaped."
The fullest surviving version, from which the summary here is taken, is
derived from twelve stone tablets, in the Akkadian language, found in the
ruins of the library of Ashurbanipal, king of Assyria 669-633 B.C., at
Nineveh. The library was destroyed by the Persians in 612 B.C., and all
the tablets are damaged. The tablets actually name an author, which is
extremely rare in the ancient world, for this particular version of the
story: Shin-eqi-unninni. You are being introduced here to the oldest known
human author we can name by name!
This summary is derived from several
sources: translations, commentaries, and academic scholarship on the
Shin-eqi-unninni tablets. Verses are derived from several English and
French translations in consultation with the English and German language
commentaries and with the Babylonian text. For the entire text, you should
turn to The Epic of Gilgamesh , trans. by Maureen Gallery Kovacs
(Stanford: Stanford University Press, 1990), or Gilgamesh ,
translated by John Maier and John Gardner (New York: Vintage, 1981)
The one who saw all [Sha nagba imuru ]I will declare to the world,
The one who knew all I will tell about
[line missing]
He saw the great Mystery, he knew the Hidden:
He recovered the knowledge of all the times before the Flood.
He journeyed beyond the distant, he journeyed beyond exhaustion,
And then carved his story on stone. [naru : stone tablets ]
This great hero who had all knowledge
[nemequ ], Gilgamesh, built the great city of Uruk; the tablet
invites us to look around and view the greatness of this city, its high
walls, its masonwork, and here at the base of its gates, as the foundation
of the city walls, a stone of lapis lazuli on which is carved Gilgamesh's
account of his exploits, the story you are about to hear.
The account begins: Gilgamesh, two-thirds god and
one-third human, is the greatest king on earth and the strongest
super-human that ever existed; however, he is young and oppresses his
people harshly. The people call out to the sky-god Anu, the chief god of
the city, to help them. In response, Anu creates a wild man, Enkidu, out
in the harsh and wild forests surrounding Gilgamesh's lands. This brute,
Enkidu, has the strength of dozens of wild animals; he is to serve as the
subhuman rival to the superhuman Gilgamesh.
A trapper's son, while checking on traps in the
forest, discovers Enkidu running naked with the wild animals; he rushes to
his father with the news. The father advises him to go into the city and
take one of the temple harlots, Shamhat, with him to the forest; when she sees Enkidu, she is to offer herself
sexually to the wild man. If he submits to her, the trapper says, he will
lose his strength and his wildness.
Shamhat meets Enkidu at the watering-hole where all
the wild animals gather; she offers herself to him and he submits,
instantly losing his strength and wildness, but he gains understanding and
knowledge. He laments for his lost state, but the harlot offers to take
him into the city where all the joys of civilization shine in their
resplendence; she offers to show him Gilgamesh, the only man worthy of
Enkidu's friendship.
Gilgamesh meanwhile has two dreams; in the first a
meteorite falls to earth which is so great that Gilgamesh can neither lift
it nor turn it. The people gather and celebrate around the meteorite, and
Gilgamesh embraces it as he would a wife, but his mother, the goddess
Rimat-Ninsun, forces him to compete with the meteorite. In the second,
Gilgamesh dreams that an axe appears at his door, so great that he can
neither lift it nor turn it. The people gather and celebrate around the
axe, and Gilgamesh embraces it as he would a wife, but his mother, again,
forces him to compete with the axe. Gilgamesh asks his mother what these
dreams might mean; she tells him a man of great force and strength will
come into Uruk. Gilgamesh will embrace this man as he would a wife, and
this man will help Gilgamesh perform great deeds.
Enkidu is gradually introduced to
civilization by living for a time with a group of shepherds, who teach him
how to tend flocks, how to eat, how to speak properly, and how to wear
clothes. Enkidu then enters the city of Uruk during a great celebration.
Gilgamesh, as the king, claims the right to have sexual intercourse first
with every new bride on the day of her wedding; as Enkidu enters the city,
Gilgamesh is about to claim that right. Infuriated at this abuse, Enkidu
stands in front of the door of the marital chamber and blocks Gilgamesh's
way. They fight furiously until Gilgamesh wins the upper hand; Enkidu
concedes Gilgamesh's superiority and the two embrace and become devoted
friends.
Both Enkidu and Gilgamesh gradually weaken and grow
lazy living in the city, so Gilgamesh proposes a great adventure: they are
to journey to the great Cedar Forest in southern Iran and cut down all the
cedar trees. To do this, they will need to kill the Guardian of the Cedar
Forest, the great demon, Humbaba the Terrible. Enkidu knows about Humbaba
from his days running wild in the forest; he tries in vain to convince
Gilgamesh not to undertake this folly.
The elders of the city protest Gilgamesh's endeavor, but agree reluctantly. They place the life of the king in the hands of Enkidu, whom they insist shall take the forward position in the battle with Humbaba. Gilgamesh's mother laments her son's fate in a prayer to the sun-god, Shamash, asking that god why he put a restless heart in the breast of her son. Shamash promises her that he will watch out for Gilgamesh's life. Ramat-Ninsun, too, commands Enkidu to guard the life of the king and to take the forward position in the battle with Humbaba. In panic, Enkidu again tries to convince Gilgamesh not to undertake this journey, but Gilgamesh is confident of success.
Tablet four tells the story of the journey to the cedar forest. On each day of the six day journey, Gilgamesh prays to Shamash; in response to these prayers, Shamash sends Gilgamesh oracular dreams during the night. These dreams are all ominous: The first is not preserved. In the second, Gilgamesh dreams that he wrestles a great bull that splits the ground with his breath. Enkidu interprets the dream for Gilgamesh; the dream means that Shamash, the bull, will protect Gilgamesh. In the third, Gilgamesh dreams :
The skies roared with thunder and the earth heaved,
Then came darkness and a stillness like death.
Lightening smashed the ground and fires blazed out;
Death flooded from the skies.
When the heat died and the fires went out,
The plains had turned to ash.
Enkidu's interpretation is missing
here, but like the other dreams, it is assumed he puts a positive spin on
the dream. The fourth dream is missing, but Enkidu again tells Gilgamesh
that the dream portends success in the upcoming battle. The fifth dream is
also missing.
At the entrance to the Cedar Forest, Gilgamesh begins
to quake with fear; he prays to Shamash, reminding him that he had
promised Ninsun that he would be safe. Shamash calls down from heaven,
ordering him to enter the forest because Humbaba is not wearing all his
armor. The demon Humbaba wears seven coats of armor, but now he is only
wearing one so he is particularly vulnerable. Enkidu loses his courage and
turns back; Gilgamesh falls on him and they have a great fight. Hearing
the crash of their fighting, Humbaba comes stalking out of the Cedar
Forest to challenge the intruders. A large part of the tablet is missing
here. On the one part of the tablet still remaining, Gilgamesh convinces
Enkidu that they should stand together against the demon.
Gilgamesh and Enkidu enter the
gloriously beautiful Cedar Forest and begin to cut down the trees. Hearing
the sound, Humbaba comes roaring up to them and warns them off. Enkidu
shouts at Humbaba that the two of them are much stronger than the demon,
but Humbaba, who knows Gilgamesh is a king, taunts the king for taking
orders from a nobody like Enkidu. Turning his face into a hideous mask,
Humbaba begins to threaten the pair, and Gilgamesh runs and hides. Enkidu
shouts at Gilgamesh, inspiring him with courage, and Gilgamesh appears
from hiding and the two begin their epic battle with Humbaba. Shamash
intrudes on the battle, helping the pair, and Humbaba is defeated. On his
knees, with Gilgamesh's sword at his throat, Humbaba begs for his life and
offers Gilgamesh all the tress in the forest and his eternal servitude.
While Gilgamesh is thinking this over, Enkidu intervenes, telling
Gilgamesh to kill Humbaba before any of the gods arrive and stop him from
doing so. Should he kill Humbaba, he will achieve widespread fame for all
the times to come. Gilgamesh, with a great sweep of his sword, removes
Humbaba's head. But before he dies, Humbaba screams out a curse on Enkidu:
"Of you two, may Enkidu not live the longer, may Enkidu not find any peace
in this world!"
Gilgamesh and Enkidu cut down the cedar forest and in
particular the tallest of the cedar trees to make a great cedar gate for
the city of Uruk. They build a raft out of the cedar and float down the
Euphrates river to their city.
After these events, Gilgamesh, his fame widespread and his frame resplendent in his wealthy clothes, attracts the sexual attention of the goddess Ishtar, who comes to Gilgamesh and offers to become his lover. Gilgamesh refuses with insults, listing all the mortal lovers that Ishtar has had and recounting the dire fates they all met with at her hands. Deeply insulted, Ishtar returns to heaven and begs her father, the sky-god Anu, to let her have the Bull of Heaven to wreak vengeance on Gilgamesh and his city :
Father, let me have the Bull of Heaven
To kill Gilgamesh and his city.
For if you do not grant me the Bull of Heaven,
I will pull down the Gates of Hell itself,
Crush the doorposts and flatten the door,
And I will let the dead leave
And let the dead roam the earth
And they shall eat the living.
The dead will overwhelm all the living!
Anu reluctantly gives in, and the Bull of Heaven is sent down into Uruk. Each time the bull breathes, its breath is so powerful that enormous abysses are opened up in the earth and hundreds of people fall through to their deaths. Working together again, Gilgamesh and Enkidu slay the mighty bull. Ishtar is enraged, but Enkidu begins to insult her, saying that she is next, that he and Gilgamesh will kill her next, and he rips one of the thighs off the bull and hurls it into her face.
Enkidu falls ill after having a set of ominous dreams; he finds out from the priests that he has been singled out for vengeance by the gods. The Chief Gods have met and have decided that someone should be punished for the killing of Humbaba and the killing of the Bull of Heaven, so of the two heroes, they decide Enkidu should pay the penalty. Enraged at the injustice of the decision, Enkidu curses the great Cedar Gate built from the wood of the Cedar Forest, and he curses the temple harlot, Shamhat, and the trapper, for introducing him to civilization. Shamhash reminds him that, even though his life has been short, he has enjoyed the fruits of civilization and known great happiness. Enkidu then blesses the harlot and the trapper. In a dream, a great demon comes to take Enkidu and drags him to Hell, a House of Dust where all the dead end up; as he is dying, he describes Hell :
The house where the dead dwell in total darkness,
Where they drink dirt and eat stone,
Where they wear feathers like birds,
Where no light ever invades their everlasting darkness,
Where the door and the lock of Hell is coated with thick dust.
When I entered the House of Dust,
On every side the crowns of kings were heaped,
On every side the voices of the kings who wore those crowns,
Who now only served food to the gods Anu and Enlil,
Candy, meat, and water poured from skins.
I saw sitting in this House of Dust a priest and a servant,
I also saw a priest of purification and a priest of ecstasy,
I saw all the priests of the great gods.
There sat Etana and Sumukan,
There sat Ereshkigal, the queen of Hell,
Beletseri, the scribe of Hell, sitting before her.
Beletseri held a tablet and read it to Ereshkigal.
She slowly raised her head when she noticed me
She pointed at me:
"Who has sent this man?"
Enkidu commends himself to Gilgamesh, and after suffering terribly for twelve days, he finally dies.
Gilgamesh allows his life to fall apart; he does not bathe, does not shave, does not take care of himself, not so much out of grief for his friend, but because he now realizes that he too must die and the thought sends him into a panic. He decides that he can't live unless granted eternal life; he decides to undertake the most perilous journey of all: the journey to Utnapishtim and his wife, the only mortals on whom the gods had granted eternal life. Utnapishtim is the Far-Away, living at the mouth of all rivers, at the ends of the world. Utnapishtim was the great king of the world before the Flood and, with his wife, was the only mortal preserved by the gods during the Flood. After an ominous dream, Gilgamesh sets out. He arrives at Mount Mashu, which guards the rising and the setting of the sun, and encounters two large scorpions who guard the way past Mount Mashu. They try to convince him that his journey is futile and fraught with danger, but still they allow him to pass. Past Mount Mashu is the land of Night, where no light ever appears. Gilgamesh journeys eleven leagues before the light begins to glimmer, after twelve leagues he has emerged into day. He enters into a brilliant garden of gems, where every tree bears precious stones.
Gilgamesh comes to a tavern by the
ocean shore; the tavern is kept by Siduri. Frightened by Gilgamesh's
ragged appearance, Siduri locks the tavern door and refuses to let
Gilgamesh in. Gilgamesh proves his identity and asks Siduri how to find
Utnapishtim. Like the giant scorpions, she tells him that his journey is
futile and fraught with dangers. However, she directs him to Urshanabi,
the ferryman, who works for Utnapishtim. Gilgamesh approaches Urshanabi
with great arrogance and violence and in the process destroys the "stone
things" that are somehow critical for the journey to Utnapishtim. When
Gilgamesh demands to be taken to Utnapishtim, the ferryman tells him that
it is now impossible, since the "stone things" have been destroyed.
Nevertheless, he advises Gilgamesh to cut several trees down to serve as
punting poles; the waters they are to cross are the Waters of Death,
should any mortal touch the waters, that man will instantly die. With the
punting poles, Gilgamesh can push the boat and never touch the dangerous
waters.
After a long and dangerous journey, Gilgamesh arrives
at a shore and encounters another man. He tells this man that he is
looking for Utnapishtim and the secret of eternal life; the old man
advises Gilgamesh that death is a necessary fact because of the will of
the gods; all human effort is only temporary, not permanent.
At this point, Gilgamesh realizes that he is talking to Utnapishtim, the Far-Away; he hadn't expected an immortal human to be ordinary and aged. He asks Utnapishtim how he received immortality, and Utnapishtim tells him the great secret hidden from humans: In the time before the Flood, there was a city, Shuruppak, on the banks of the Euphrates. There, the counsel of the gods held a secret meeting; they all resolved to destroy the world in a great flood. All the gods were under oath not to reveal this secret to any living thing, but Ea (one of the gods that created humanity) came to Utnapishtim's house and told the secret to the walls of Utnapishtim's house, thus not technically violating his oath to the rest of the gods. He advised the walls of Utnapishtim's house to build a great boat, its length as great as its breadth, to cover the boat, and to bring all living things into the boat. Utnapishtim gets straight to work and finishes the great boat by the new year. Utnapishtim then loads the boat with gold, silver, and all the living things of the earth, and launches the boat. Ea orders him into the boat and commands him to close the door behind him. The black clouds arrive, with the thunder god Adad rumbling within them; the earth splits like an earthenware pot, and all the light turns to darkness. The Flood is so great that even the gods are frightened :
The gods shook like beaten dogs, hiding in the far corners of heaven,
Ishtar screamed and wailed:
"The days of old have turned to stone:
We have decided evil things in our Assembly!
Why did we decide those evil things in our Assembly?
Why did we decide to destroy our people?
We have only just now created our beloved humans;
We now destroy them in the sea!"
All the gods wept and wailed along with her,
All the gods sat trembling, and wept.
The Flood lasts for seven days and
seven nights, and finally light returns to the earth. Utnapishtim opens a
window and the entire earth has been turned into a flat ocean; all humans
have been turned to stone. Utnapishtim then falls to his knees and weeps.
Utnapishtim's boat comes to rest on the top of Mount
Nimush; the boat lodges firmly on the mountain peak just below the surface
of the ocean and remains there for seven days. On the seventh day :
I [Utnapishtim] released a dove from the boat,
It flew off, but circled around and returned,
For it could find no perch.
I then released a swallow from the boat,
It flew off, but circled around and returned,
For it could find no perch.
I then released a raven from the boat,
It flew off, and the waters had receded:
It eats, it scratches the ground, but it does not circle around and return.
I then sent out all the living things in every direction and sacrificed a sheep on that very spot.
The gods smell the odor of the sacrifice and begin to gather around Utnapishtim. Enlil, who had originally proposed to destroy all humans, then arrives, furious that one of the humans had survived, since they had agreed to wipe out all humans. He accuses Ea of treachery, but Ea convinces Enlil to be merciful. Enlil then seizes Utnapishtim and his wife and blesses them :
At one time Utnapishtim was mortal.
At this time let him be a god and immortal;
Let him live in the far away at the source of all the rivers.
At the end of his story, Utnapishtim offers Gilgamesh a chance at immortality. If Gilgamesh can stay awake for six days and seven nights, he, too, will become immortal. Gilgamesh accepts these conditions and sits down on the shore; the instant he sits down he falls asleep. Utnapishtim tells his wife that all men are liars, that Gilgamesh will deny having fallen asleep, so he asks his wife to bake a loaf of bread every day and lay the loaf at Gilgamesh's feet. Gilgamesh sleeps without ever waking up for six days and seven nights, at which point Utnapishtim wakes him up. Startled, Gilgamesh says, "I only just dozed off for half a second here." Utnapishtim points out the loaves of bread, showing their states of decay from the most recent, fresh bread, to the oldest, moldy, stale bread that had been laid at his feet on the very first day. Gilgamesh is distraught :
O woe! What do I do now, where do I go now?
Death has devoured my body,
Death dwells in my body,
Wherever I go, wherever I look, there stands Death!
Utnapishtim's
wife convinces the old man to have mercy on him; he offers Gilgamesh in
place of immortality a secret plant that will make Gilgamesh young again.
The plant is at the bottom of the ocean surrounding the Far-Away;
Gilgamesh ties stones to his feet, sinks to the bottom, and plucks the
magic plant. But he doesn't use it because he doesn't trust it; rather he
decides to take it back to Uruk and test it out on an old man first, to
make sure it works.
Urshanabi takes him across the Waters of Death.
Several leagues inland, Gilgamesh and Urshanabi stop to eat and sleep;
while they're sleeping, a snake slithers up and eats the magic plant
(which is why snakes shed their skin) and crawls away. Gilgamesh awakens
to find the plant gone; he falls to his knees and weeps :
For whom have I labored? For whom have I journeyed?
For whom have I suffered?
I have gained absolutely nothing for myself,
I have only profited the snake, the ground lion!
The tale ends with Gilgamesh, at the end of his journey standing before the gates of Uruk, inviting Urshanabi to look around and view the greatness of this city, its high walls, its masonwork, and here at the base of its gates, as the foundation of the city walls, a stone of lapis lazuli on which is carved Gilgamesh's account of his exploits.
Richard Hooker
It’s been said that the rich are different than you and me. What most Americans don’t know is that they’re also quite different from each other,
and that which faction is currently running the show ultimately makes a vast difference in the kind of country we are.
Right now, a lot of our problems stem directly from the fact that the wrong sort has finally gotten the upper hand;
a particularly brutal and anti-democratic strain of American aristocrat that the other elites have mostly managed to keep away from the levers
of power since the Revolution. Worse: this bunch has set a very ugly tone that’s corrupted how people with power and money behave in every corner of our culture.
Here’s what happened, and how it happened, and what it means for America now.
Michael Lind first called out the existence of this conflict in his 2006 book, Made In Texas:
George W. Bush and the Southern Takeover of American Politics. He argued that much of American history has been characterized by a struggle between two
historical factions among the American elite — and that the election of George W. Bush was a definitive sign that the wrong side was winning.
For most of our history, American economics, culture and politics have been dominated by a New England-based Yankee aristocracy
that was rooted in Puritan communitarian values, educated at the Ivies and marinated in an ethic of noblesse oblige
(the conviction that those who possess wealth and power are morally bound to use it for the betterment of society).
While they’ve done their share of damage to the notion of democracy in the name of profit (as all financial elites inevitably do), this group has,
for the most part, tempered its predatory instincts with a code that valued mass education and human rights; held up public service as both a duty and an honor;
and imbued them with the belief that once you made your nut, you had a moral duty to do something positive with it for the betterment of mankind.
Your own legacy depended on this.
Among the presidents, this strain gave us both Roosevelts, Woodrow Wilson, John F. Kennedy, and Poppy Bush — nerdy, wonky intellectuals who,
for all their faults, at least took the business of good government seriously. Among financial elites, Bill Gates and Warren Buffet still both partake
strongly of this traditional view of wealth as power to be used for good. Even if we don’t like their specific choices, the core impulse to improve the world
is a good one — and one that’s been conspicuously absent in other aristocratic cultures.
Which brings us to that other great historical American nobility — the plantation aristocracy of the lowland South, which has been notable throughout
its 400-year history for its utter lack of civic interest, its hostility to the very ideas of democracy and human rights, its love of hierarchy,
its fear of technology and progress, its reliance on brutality and violence to maintain “order,” and its outright celebration of inequality
as an order divinely ordained by God.
As described by Colin Woodard in American Nations: The Eleven Rival Regional Cultures of North America, the elites of the Deep South are descended mainly
from the owners of sugar, rum and cotton plantations from Barbados — the younger sons of the British nobility who’d farmed up the Caribbean islands, and then
came ashore to the southern coasts seeking more land. Woodward described the culture they created in the crescent stretching from Charleston, SC around
to New Orleans this way:
It was a near-carbon copy of the West Indian slave state these Barbadians had left behind, a place notorious even then for its inhumanity….From the outset, Deep Southern culture was based on radical disparities in wealth and power, with a tiny elite commanding total obedience and enforcing it with state-sponsored terror. Its expansionist ambitions would put it on a collision course with its Yankee rivals, triggering military, social, and political conflicts that continue to plague the United States to this day.
David Hackett Fischer, whose Albion’s Seed: Four British Folkways In Americain forms both Lind’s and Woodard’s work, described just how deeply
undemocratic the Southern aristocracy was, and still is. He documents how these elites have always feared and opposed universal literacy, public schools and
libraries, and a free press. (Lind adds that they have historically been profoundly anti-technology as well, far preferring solutions that involve finding
more serfs and throwing them at a problem whenever possible. Why buy a bulldozer when 150 convicts on a chain gang can grade your road instead?)
Unlike the Puritan elites, who wore their wealth modestly and dedicated themselves to the common good, Southern elites sank their money into ostentatious
homes and clothing and the pursuit of pleasure — including lavish parties, games of fortune, predatory sexual conquests, and blood sports involving ritualized
animal abuse spectacles.
But perhaps the most destructive piece of the Southern elites’ worldview is the extremely anti-democratic way it defined the very idea of liberty.
In Yankee Puritan culture, both liberty and authority resided mostly with the community, and not so much with individuals. Communities had both the freedom
and the duty to govern themselves as they wished (through town meetings and so on), to invest in their collective good, and to favor or punish individuals
whose behavior enhanced or threatened the whole (historically, through community rewards such as elevation to positions of public authority and trust;
or community punishments like shaming, shunning or banishing).
Individuals were expected to balance their personal needs and desires against the greater good of the collective — and, occasionally, to make sacrifices
for the betterment of everyone. (This is why the Puritan wealthy tended to dutifully pay their taxes, tithe in their churches and donate generously to create
hospitals, parks and universities.) In return, the community had a solemn and inescapable moral duty to care for its sick, educate its young and provide for
its needy — the kind of support that maximizes each person’s liberty to live in dignity and achieve his or her potential. A Yankee community that failed
to provide such support brought shame upon itself. To this day, our progressive politics are deeply informed by this Puritan view of ordered liberty.
In the old South, on the other hand, the degree of liberty you enjoyed was a direct function of your God-given place in the social hierarchy.
The higher your status, the more authority you had, and the more “liberty” you could exercise — which meant, in practical terms, that you had the right
to take more “liberties” with the lives, rights and property of other people. Like an English lord unfettered from the Magna Carta, nobody had the authority
to tell a Southern gentleman what to do with resources under his control. In this model, that’s what liberty is. If you don’t have the freedom to rape, beat,
torture, kill, enslave, or exploit your underlings (including your wife and children) with impunity — or abuse the land, or enforce rules on others that
you will never have to answer to yourself — then you can’t really call yourself a free man.
When a Southern conservative talks about “losing his liberty,” the loss of this absolute domination over the people and property under his control — and,
worse, the loss of status and the resulting risk of being held accountable for laws that he was once exempt from — is what he’s really talking about.
In this view, freedom is a zero-sum game. Anything that gives more freedom and rights to lower-status people can’t help but put serious limits on the freedom
of the upper classes to use those people as they please. It cannot be any other way. So they find Yankee-style rights expansions absolutely intolerable,
to the point where they’re willing to fight and die to preserve their divine right to rule.
Once we understand the two different definitions of “liberty” at work here, a lot of other things suddenly make much more sense.
We can understand the traditional Southern antipathy to education, progress, public investment, unionization, equal opportunity, and civil rights.
The fervent belief among these elites that they should completely escape any legal or social accountability for any harm they cause.
Their obsessive attention to where they fall in the status hierarchies. And, most of all — the unremitting and unapologetic brutality with which they’ve defended
these “liberties” across the length of their history.
When Southerners quote Patrick Henry — “Give me liberty or give me death” — what they’re really demanding is the unquestioned, unrestrained right to turn
their fellow citizens into supplicants and subjects. The Yankee elites have always known this — and feared what would happen if that kind of aristocracy
took control of the country. And that tension between these two very different views of what it means to be “elite” has inflected our history for over 400 years.
Since shortly after the Revolution, the Yankee elites have worked hard to keep the upper hand on America’s culture, economy and politics —
and much of our success as a nation rests on their success at keeping plantation culture sequestered in the South, and its scions largely away from the levers
of power. If we have to have an elite — and there’s never been a society as complex as ours that didn’t have some kind of upper class maintaining social order —
we’re far better off in the hands of one that’s essentially meritocratic, civic-minded and generally believes that it will do better when everybody
else does better, too.
The Civil War was, at its core, a military battle between these two elites for the soul of the country.
It pitted the more communalist, democratic and industrialized Northern vision of the American future against the hierarchical, aristocratic, agrarian Southern one.
Though the Union won the war, the fundamental conflict at its root still hasn’t been resolved to this day. (The current conservative culture war is the Civil
War still being re-fought by other means.) After the war, the rise of Northern industrialists and the dominance of Northern universities and media ensured
that subsequent generations of the American power elite continued to subscribe to the Northern worldview — even when the individual leaders came from
other parts of the country.
Ironically, though: it was that old Yankee commitment to national betterment that ultimately gave the Southern aristocracy its big chance to break out and
go national. According to Lind, it was easy for the Northeast to hold onto cultural, political and economic power as long as all the country’s major banks,
businesses, universities, and industries were headquartered there. But the New Deal — and, especially, the post-war interstate highways, dams, power grids,
and other infrastructure investments that gave rise to the Sun Belt — fatally loosened the Yankees’ stranglehold on national power. The gleaming new cities
of the South and West shifted the American population centers westward, unleashing new political and economic forces with real power to challenge
the Yankee consensus. And because a vast number of these westward migrants came out of the South, the elites that rose along with these cities tended
to hew to the old Southern code, and either tacitly or openly resist the moral imperatives of the Yankee canon. The soaring postwar fortunes of cities
like Los Angeles, Las Vegas, Phoenix, Houston, Dallas, and Atlanta fed that ancient Barbadian slaveholder model of power with plenty of room and resources
to launch a fresh and unexpected 20th-century revival.
According to historian Darren Dochuk, the author of From Bible Belt to Sunbelt: Plain-Folk Religion, Grassroots Politics, and the Rise of Evangelical
Conservatism, these post-war Southerners and Westerners drew their power from the new wealth provided by the defense, energy, real estate, and other
economic booms in their regions. They also had a profound evangelical conviction, brought with them out of the South, that God wanted them to take
America back from the Yankee liberals — a conviction that expressed itself simultaneously in both the formation of the vast post-war evangelical
churches (which were major disseminators of Southern culture around the country); and in their takeover of the GOP, starting with Barry Goldwater’s campaign
in 1964 and culminating with Ronald Reagan’s election in 1980.
They countered Yankee hegemony by building their own universities, grooming their own leaders and creating their own media.
By the 1990s, they were staging the RINO hunts that drove the last Republican moderates (almost all of them Yankees, by either geography or cultural background)
and the meritocratic order they represented to total extinction within the GOP. A decade later, the Tea Party became the voice of the unleashed id of
the old Southern order, bringing it forward into the 21st century with its full measure of selfishness, racism, superstition, and brutality intact.
From its origins in the fever swamps of the lowland south, the worldview of the old Southern aristocracy can now be found nationwide.
Buttressed by the arguments of Ayn Rand — who updated the ancient slaveholder ethic for the modern age — it has been exported to every corner of the culture,
infected most of our other elite communities and killed off all but the very last vestiges of noblesse oblige.
It’s not an overstatement to say that we’re now living in Plantation America. As Lind points out: to the horror of his Yankee father, George W. Bush
proceeded to run the country exactly like Woodard’s description of a Barbadian slavelord. And Barack Obama has done almost nothing to roll this victory back.
We’re now living in an America where rampant inequality is accepted, and even celebrated.
Torture and extrajudicial killing have been reinstated, with no due process required.
The wealthy and powerful are free to abuse employees, break laws, destroy the commons, and crash the economy — without ever being held to account.
The rich flaunt their ostentatious wealth without even the pretense of humility, modesty, generosity, or gratitude.
The military — always a Southern-dominated institution — sucks down 60% of our federal discretionary spending, and is undergoing a rapid evangelical
takeover as well.
Our police are being given paramilitary training and powers that are completely out of line with their duty to serve and protect, but much more
in keeping with a mission to subdue and suppress. Even liberal cities like Seattle are now home to the kind of local justice that used to be
the hallmark of small-town Alabama sheriffs.
Segregation is increasing everywhere. The rights of women and people of color are under assault. Violence against leaders who agitate for progressive
change is up. Racist organizations are undergoing a renaissance nationwide.
We are withdrawing government investments in public education, libraries, infrastructure, health care, and technological innovation — in many areas,
to the point where we are falling behind the standards that prevail in every other developed country.
Elites who dare to argue for increased investment in the common good, and believe that we should lay the groundwork for a better future, are regarded
as not just silly and soft-headed, but also inviting underclass revolt. The Yankees thought that government’s job was to better the lot of the lower classes.
The Southern aristocrats know that its real purpose is to deprive them of all possible means of rising up against their betters.
The rich are different now because the elites who spent four centuries sucking the South dry and turning it into an economic and political backwater have
now vanquished the more forward-thinking, democratic Northern elites. Their attitudes towards freedom, authority, community, government, and the social contract
aren’t just confined to the country clubs of the Gulf Coast; they can now be found on the ground from Hollywood and Silicon Valley to Wall Street.
And because of that quiet coup, the entire US is now turning into the global equivalent of a Deep South state.
As long as America runs according to the rules of Southern politics, economics and culture, we’re no longer free citizens exercising our rights to life,
liberty and the pursuit of happiness as we’ve always understood them. Instead, we’re being treated like serfs on Massa’s plantation — and increasingly,
we’re being granted our liberties only at Massa’s pleasure. Welcome to Plantation America.
By Sara Robinson, Alternet on monday, Jul 2, 2012
Sara Robinson is a trained social futurist and the editor of AlterNet's Vision page.
Of course, you do resent us. It is no good telling me you don't. So
let us not waste any time on denials and alibis. You know you do, and I know it,
and we understand each other. To be sure, some of your best friends are Jews,
and all that. I have heard that before once or twice, I think. And I know, too,
that you do not include me personally—"me" being any particular individual
Jew—when you fling out at us in your wholesale fashion, because I am, well, so
different, don't you know, almost as good as one of yourselves. That little
exemption does not, somehow, move me to gratitude; but never mind that now. It
is the aggressive, climbing, pushing, materialistic sort you dislike—those, in a
word, who remind you so much of your own up-and-coming brethren. We understand
each other perfectly. I don't hold it against you.
Bless my soul, I do not blame anybody for disliking anybody. The thing that
intrigues me about this anti-Jewish business, as you play at it, is your total
lack of grit. You are so indirect and roundabout with it, you make such
fantastic and transparent excuses, you seem to be suffering from
self-consciousness so horribly, that if the performance were not grotesque it
would be irritating.
It is not as if you were amateurs: you have been at it for over fifteen
centuries. Yet watching you and hearing your childish pretexts, one might get
the impression that you did not know yourselves what it is all about. You resent
us, but you cannot clearly say why. You think up a new excuse—a "reason" is what
you call it—every other day. You have been piling up justifications for
yourselves these many hundreds of years and each new invention is more laughable
than the last and each new excuse contradicts and annihilates the last.
Not so many years ago I used to hear that we were money-grubbers and
commercial materialists; now the complaint is being whispered around that no art
and no profession is safe against Jewish invasion.
We are, if you are to be believed, at once clannish and exclusive and
unassimilable because we won't intermarry with you, and we are also climbers and
pushers and a menace to your racial integrity.
Our standard of living is so low that we create your slums and sweated
industries, and so high that we crowd you out of your best residential
sections.
We shirk our patriotic duty in wartime because we are pacifists by nature and
tradition, and we are the arch-plotters of universal wars and the chief
beneficiaries of those wars (see the late "Dearborn Independent," passim,
and "The Protocols of the Elders of Zion").
We are at once the founders and leading adherents of capitalism and the chief
perpetrators of the rebellion against capitalism.
Surely, history has nothing like us for versatility!
And, oh! I almost forgot the reason of reasons. We are the stiff-necked
people who never accepted Christianity, and we are the criminal people who
crucified its founder.
But I tell you, you are self-deceivers. You lack either the self-knowledge or
the mettle to face the facts squarely and own up to the truth. You resent the
Jew not because, as some of you seem to think, he crucified Jesus but because he
gave him birth. Your real quarrel with us is not that we have rejected
Christianity but that we have imposed it upon you !
Your loose, contradictory charges against us are not a patch on the blackness
of our proved historic offense. You accuse us of stirring up revolution in
Moscow. Suppose we admit the charge. What of it? Compared with what Paul the Jew
of Tarsus accomplished in Rome, the Russian upheaval is a mere street brawl.
You make much noise and fury about the undue Jewish influence in your
theaters and movie palaces. Very good; granted your complaint is well-founded.
But what is that compared to our staggering influence in your churches, your
schools, your laws and your governments, and the very thoughts you think every
day?
A clumsy Russian forges a set of papers and publishes them in a book called
"The Protocols of the Elders of Zion," which shows that we plotted to bring on
the late World War. You believe that book: All right. For the sake of argument
we will underwrite every word of it. It is genuine and authentic. But what is
that beside the unquestionable historical conspiracy which we have carried out,
which we have never denied because you never had the courage to charge us with
it, and of which the full record is extant for anybody to read ?
If you really are serious when you talk of Jewish plots, may I not direct
your attention to one worth talking about? What use is it wasting words on the
alleged control of your public opinion by Jewish financiers, newspaper owners
and movie magnates, when you might as well justly accuse us of the proved
control of your whole civilization by the Jewish Gospels?
You have not begun to appreciate the real depth of our guilt. We are
intruders. We are disturbers. We are subverters. We have taken
your natural world, your ideals, your destiny, and played havoc with them. We
have been at the bottom not merely of the latest great war but of nearly all
your wars, not only of the Russian but of every other major revolution in your
history. We have brought discord and confusion and frustration into your
personal and public life. We are still doing it. No one can tell how long we
shall go on doing it.
Look back a little and see what has happened. Nineteen hundred years ago you
were an innocent, carefree, pagan race. You worshipped countless gods and
goddesses, the spirits of the air, of the running streams and of the woodland.
You took unblushing pride in the glory of your naked bodies. You carved images
of your gods and of the tantalizing human figure. You delighted in the combats
of the field, the arena and the battle-ground. War and slavery were fixed
institutions in your systems. Disporting yourselves on the hillsides and in the
valleys of the great outdoors, you took to speculating on the wonder and mystery
of life and laid the foundations of natural science and philosophy. Yours was a
noble, sensual culture, unirked by the prickings of a social conscience or by
any sentimental questionings about human equality. Who knows what great and
glorious destiny might have been yours if we had left you alone.
But we did not leave you alone. We took you in hand and pulled down the
beautiful and generous structure you had reared, and changed the whole course of
your history. We conquered you as no empire of yours ever subjugated Africa or
Asia. And we did it all without armies, without bullets, without blood or
turmoil, without force of any kind. We did it solely by the irresistible might
of our spirit, with ideas, with propaganda.
We made you the willing and unconscious bearers of our mission to the whole
world, to the barbarous races of the earth, to the countless unborn generations.
Without fully understanding what we were doing to you, you became the agents at
large of our racial tradition, carrying our gospel to the unexplored ends of the
earth.
Our tribal customs have become the core of your moral code. Our tribal laws
have furnished the basic groundwork of all your august constitutions and legal
systems. Our legends and our folk-tales are the sacred lore which you croon to
your infants. Our poets have filled your hymnals and your prayer-books. Our
national history has become an indispensable part of the learning of your
pastors and priests and scholars. Our kings, our statesmen, our prophets, our
warriors are your heroes. Our ancient little country is your Holy Land. Our
national literature is your Holy Bible. What our people thought and taught has
become inextricably woven into your very speech and tradition, until no one
among you can be called educated who is not familiar with our racial
heritage.
Jewish artisans and Jewish fishermen are your teachers and your saints, with
countless statues carved in their image and innumerable cathedrals raised to
their memories. A Jewish maiden is your ideal of motherhood and womanhood. A
Jewish rebel-prophet is the central figure in your religious worship. We have
pulled down your idols, cast aside your racial inheritance, and substituted for
them our God and our traditions. No conquest in history can even remotely
compare with this clean sweep of our conquest over you.
How did we do it? Almost by accident. Two thousand years ago nearly, in
far-off Palestine, our religion had fallen into decay and materialism.
Money-changers were in possession of the temple. Degenerate, selfish priests
mulcted our people and grew fat. Then a young patriot-idealist arose and went
about the land calling for a revival of faith. He had no thought of setting up a
new church. Like all the prophets before him, his only aim was to purify and
revitalize the old creed. He attacked the priests and drove the money-changers
from the temple. This brought him into conflict with the established order and
its supporting pillars. The Roman authorities, who were in occupation of the
country, fearing his revolutionary agitation as a political effort to oust them,
arrested him, tried him and condemned him to death by crucifixion, a common form
of execution at that time.
The followers of Jesus of Nazareth, mainly slaves and poor workmen, in their
bereavement and disappointment, turned away from the world and formed themselves
into a brotherhood of pacifist non-resisters, sharing the memory of their
crucified leader and living together communistically. They were merely a new
sect in Judea, without power or consequence, neither the first nor the last.
Only after the destruction of Jerusalem by the Romans did the new creed come
into prominence. Then a patriotic Jew named Paul or Saul conceived the idea of
humbling the Roman power by destroying the morale of its soldiery with the
doctrines of love and non-resistance preached by the little sect of Jewish
Christians. He became the Apostle to the Gentiles, he who hitherto had been one
of the most active persecutors of the band. And so well did Paul do his work
that within four centuries the great empire which had subjugated Palestine along
with half of the world, was a heap of ruins. And the law which went forth from
Zion became the official religion of Rome.
This was the beginning of our dominance in your world. But it was only a
beginning. From this time forth your history is little more than a struggle for
mastery between your own old pagan spirit and our Jewish spirit. Half your wars,
great and little, are religious wars, fought over the interpretation of one
thing or another in our teachings. You no sooner broke free from your primitive
religious simplicity and attempted the practice of the pagan Roman learning than
Luther armed with our gospels arose to down you and re-enthrone our heritage.
Take the three principal revolutions in modern times—the French, the American
and the Russian. What are they but the triumph of the Jewish idea of social,
political and economic justice?
And the end is still a long way off. We still dominate you. At this very
moment your churches are torn asunder by a civil war between Fundamentalists and
Modernists, that is to say between those who cling to our teachings and
traditions literally and those who are striving by slow steps to dispossess us.
In Dayton, Tennessee, a Bible-bred community forbids the teaching of your
science because it conflicts with our ancient Jewish account of the origin of
life; and Mr. Bryan, the leader of the anti-Jewish Ku Klux Klan in the
Democratic National Convention, makes the supreme fight of his life in our
behalf, without noticing the contradiction. Again and again the Puritan heritage
of Judea breaks out in waves of stage censorship, Sunday blue laws and national
prohibition acts. And while these things are happening you twaddle about Jewish
influence in the movies!
Is it any wonder you resent us? We have put a clog upon your progress. We
have imposed upon you an alien book and an alien faith which you cannot swallow
or digest, which is at cross-purposes with your native spirit, which keeps you
ever-lastingly ill-at-ease, and which you lack the spirit either to reject or to
accept in full.
In full, of course, you never have accepted our Christian teachings. In your
hearts you still are pagans. You still love war and graven images and strife.
You still take pride in the glory of the nude human figure. Your social
conscience, in spite of all democracy and all your social revolutions, is still
a pitifully imperfect thing. We have merely divided your soul, confused your
impulses, paralyzed your desires. In the midst of battle you are obliged to
kneel down to him who commanded you to turn the other cheek, who said "Resist
not evil" and "Blessed are the peace-makers." In your lust for gain you are
suddenly disturbed by a memory from your Sunday-school days about taking no
thought for the morrow. In your industrial struggles, when you would smash a
strike without compunction, you are suddenly reminded that the poor are blessed
and that men are brothers in the Fatherhood of the Lord. And as you are about to
yield to temptation, your Jewish training puts a deterrent hand on your shoulder
and dashes the brimming cup from your lips. You Christians have never become
Christianized. To that extent we have failed with you. But we have forever
spoiled the fun of paganism for you.
So why should you not resent us? If we were in your place we should probably
dislike you more cordially than you do us. But we should make no bones about
telling you why. We should not resort to subterfuges and transparent pretexts.
With millions of painfully respectable Jewish shopkeepers all about us we should
not insult your intelligence and our own honesty by talking about communism as a
Jewish philosophy. And with millions of hard-working impecunious Jewish peddlers
and laborers we should not make ourselves ridiculous by talking about
international capitalism as a Jewish monopoly. No, we should go straight to the
point. We should contemplate this confused, ineffectual muddle which we call
civilization, this half-Christian half-pagan medley, and—were our places
reversed—we should say to you point-blank: "For this mess thanks to you, to your
prophets and to your Bible."
You Christians worry and complain about the
Jew's influence in your civilization. We are, you say, an international people,
a compact minority in your midst, with traditions, interests, aspirations and
objectives distinct from your own. And you declare that this state of affairs is
a menace to your orderly development; it confuses your impulses; it defeats your
purposes; it muddles up your destiny. I do not altogether see the danger. Your
world has always been ruled by minorities; and it seems to me a matter of
indifference what the remote origin and professed creed of the governing clique
is. The influence, on the other hand, is certainly there, and it is vastly
greater and more insidious than you appear to realize.
That is what puzzles and amuses and sometimes exasperates us about your game
of Jew-baiting. It sounds so portentous. You go about whispering terrifyingly of
the hand of the Jew in this and that and the other thing. It makes us quake. We
are conscious of the injury we did you when we imposed upon you our alien faith
and traditions. Suppose, we say tremblingly, you should wake up to the fact that
your religion, your education, your morals, your social, governmental and legal
systems, are fundamentally of our making ! And then you specify, and talk vaguely
of Jewish financiers and Jewish motion-picture promoters, and our terror
dissolves in laughter. The goi, we see with relief, will never know the real
blackness of our crimes.
We cannot make it out. Either you do not know or you have not the courage to
charge us with those deeds for which there is at least a shadow of evidence and
which an intelligent judge and jury could examine without impatience. Why bandy
about unconvincing trifles when you might so easily indict us for serious and
provable offenses ? Why throw up to us a patent and clumsy forgery such as the
Protocols of the Elders of Zion when you might as well confront us with the
Revelation of St. John ? Why talk about Marx and Trotski when you have Jesus of
Nazareth and Paul of Tarsus to confound us with ?
You call us subverters, agitators, revolution-mongers. It is the truth, and I
cower at your discovery. It could be shown with only the slightest straining and
juggling of the facts that we have been at the bottom of all the major
revolutions in your history. We undoubtedly had a sizable finger in the Lutheran
Rebellion, and it is simply a fact that we were the prime movers in the
bourgeois democratic revolutions of the century before the last, both in France
and America. If we were not, we did not know our own interests. But do you point
your accusing finger us and charge us with these heinous and recorded crimes?
Not at all! You fantastically lay at our door the recent great War and the
upheaval in Russia, which have done not only the most injury to the Jews
themselves but which a school-boy could have foreseen would have that result.
But even these plots and revolutions are as nothing compared with the great
conspiracy which we engineered at the beginning of this era and which was
destined to make the creed of a Jewish sect the religion of the Western world.
The Reformation was not designed in malice purely. It squared us with an ancient
enemy and restored our Bible to its place of honor in Christendom. The
Republican revolutions of the eighteenth century freed us of our age-long
political and social disabilities. They benefited us, but they did you no harm.
On the contrary, they prospered and expanded you. You owe your preeminence in
the world to them. But the upheaval which brought Christianity into Europe
was or at least may easily be shown to have been planned and executed by Jews as
an act of revenge against a great Gentile state. And when you talk about Jewish
conspiracies I cannot for the world understand why you do not mention the
destruction of Rome and the whole civilization of antiquity concentrated under
her banners, at the hands of Jewish Christianity.
It is unbelievable, but you Christians do not seem to know where your
religion came from, nor how, nor why. Your historians, with one great exception,
do not tell you. The documents in the case, which are part of your Bible, you
chant over but do not read. We have done our work too thoroughly; you believe
our propaganda too implicitly. The coming of Christianity is to you not an
ordinary historical event growing out of other events of the time; it is the
fulfilment of a divine Jewish prophecy with suitable amendments of your own. It
did not, as you see it, destroy a great Gentile civilization and a great Gentile
empire with which Jewry was at war; it did not plunge mankind into barbarism and
darkness for a thousand years; it came to bring salvation to the Gentile
world !
Yet here, if ever, was a great subversive movement, hatched in Palestine,
spread by Jewish agitators, financed by Jewish money, taught in Jewish pamphlets
and broadsides, at a time when Jewry and Rome were in a death-struggle, and
ending in the collapse of the great Gentile empire. You do not even see it,
though an intelligent child, unbefuddled by theological magic, could tell you
what it is all about after a hasty reading of the simple record. And then you go
on prattling of Jewish conspiracies and cite as instances the Great War and the
Russian Revolution! Can you wonder that we Jews have always taken your
anti-Semites rather lightly, as long as they did not resort to violence ?
And, mind you, no less an authority than Gibbon long ago tried to enlighten
you. It is now a century and a half since "The Decline and Fall of the Roman
Empire" let the cat out of the bag. Gibbon, not being a parson dabbling in
history, did not try to account for the end of a great era by inventing fatuous
nonsense about the vice and degradation of Rome, about the decay of morals and
faith in an empire which was at that very time in the midst of its most glorious
creative period. How could he? He was living in the Augustan Age in London
which in spite of nearly two thousand years since the coming of Christian
salvation was as good a replica of Augustan Rome in the matter of refined
lewdness as the foggy islanders could make it. No, Gibbon was a race-conscious
Gentile and an admirer of the culture of the pagan West, as well as a historian
with brains and eyes. Therefore he had no difficulty laying his finger on the
malady that had rotted and wasted away the noble edifice of antique
civilization. He put Christianity down the law which went forth from Zion and
the word of God from Jerusalem as the central cause of the decline and fall of
Rome and all she represented.
So far so good. But Gibbon did not go far enough. He was born and died, you
see, a century before the invention of scientific anti-Semitism. He left wholly
out of account the element of deliberation. He saw an alien creed sweeping out
of the East and overwhelming the fair lands of the West. It never occurred to
him that it was precisely to this destructive end that the whole scheme of
salvation was dedicated. Yet the facts are as plain as you please.
Let me in very brief recount the tale, unembroidered by miracle, prophecy or
magic.
For a good perspective, I shall have to go back a space. The action
conveniently falls into four parts, rising to a climax in the third. The time,
when the first curtain rises, is roughly 65 B.C. Dramatis personæ are, minor
parts aside, Judea and Rome. Judea is a tiny kingdom off the Eastern
Mediterranean. For five centuries it has been hardly more than a geographical
expression. Again and again it has been overrun and destroyed and its population
carried into exile or slavery by its powerful neighbors. Nominally independent,
it is now as unstable as ever and on the edge of civil war. The empire of the
West, with her nucleus in the City Republic of Rome, while not yet mistress of
the world, is speedily heading that way. She is acknowledged the one great
military power of the time as well as the heir of Greece and the center of
civilization.
Up to the present the two states have had little or no contact with one
another. Then without solicitation on her part Rome was suddenly asked to take a
hand in Judean affairs. A dispute had arisen between two brothers over the
succession to the petty throne, and the Roman general Pompey, who happened to be
in Damascus winding up bigger matters, was called upon to arbitrate between the
claimants. With the simple directness of a republican soldier, Pompey exiled one
of the brothers, tossed the chief priesthood to his rival, and abolished the
kingly dignity altogether. Not to put too fine a point on it, Pompey's mediation
amounted in effect to making Judea a Roman dependency. The Jews, not unnaturally
perhaps, objected; and Rome, to conciliate them and to conform to local
prejudice, restored the royal office. She appointed, that is, a king of her own
choosing. He was the son of an excise-man, an Idumean by race, named Herod. But
the Jews were not placated, and continued making trouble. Rome thought it very
ungrateful of them.
All this is merely a prelude, and is introduced into the action to make clear
what follows. Jewish discontent grew to disaffection and open revolt when their
Gentile masters began importing into Jerusalem the blessings of Western culture.
Graven images, athletic games, Greek drama, and gladiatorial shows were not to
the Jewish taste. The pious resented them as an offense in the nostrils of
Jehovah, even though the resident officials patiently explained they were meant
for the entertainment and edification of the non-Jewish garrison. The Judeans
resisted with especial strenuousness the advent of the efficient Roman
tax-gatherer. Above all, they wanted back a king of their own race and their own
royal line.
Among the masses the rebellion took the form of a revival of the old belief
in a Messiah, a divinely appointed savior who was to redeem his people from the
foreign yoke and make Judea supreme among the nations. Claimants to the mission
were not wanting. In Galilee, one Judas led a rather formidable insurrection,
which enlisted much popular support. John, called the Baptist, operated in the
Jordan country. He was followed by another north-country man, Jesus of Nazareth.
All three were masters of the technique of couching incendiary political
sedition in harmless theological phrases. All three used the same signal of
revolt " The time is at hand." And all three were speedily apprehended and
executed, both Galileans by crucifixion.
Personal qualities aside, Jesus of Nazareth was, like his predecessors, a
political agitator engaged in liberating his country from the foreign oppressor.
There is even considerable evidence that he entertained an ambition to become
king of an independent Judea. He claimed, or his biographers later claimed for
him, descent from the ancient royal line of David. But his paternity is somewhat
confused. The same writers who traced the origin of his mother's husband back to
the psalmist-king also pictured Jesus as the son of Jehovah, and admitted that
Joseph was not his father.
It seems, however, that Jesus before long realized the hopelessness of his
political mission and turned his oratorical gifts and his great popularity with
the masses in quite another direction. He began preaching a primitive form of
populism, socialism and pacifism. The effect of this change in his program was
to gain him the hostility of the substantial, propertied classes, the priests
and patriots generally, and to reduce his following to the poor, the laboring
mass and the slaves.
After his death these lowly disciples formed themselves into a communistic
brotherhood. A sermon their late leader had once delivered upon a hillside
summed up for them the essence of his teachings, and they made it their rule of
life. It was a philosophy calculated to appeal profoundly to humble people. It
comforted those who suffered here on earth with promised rewards beyond the
grave. It made virtues of the necessities of the weak. Men without hope in the
future were admonished to take no thought for the morrow. Men too helpless to
resent insult or injury were taught to resist not evil. Men condemned to
lifelong drudgery and indigence were assured of the dignity of labor and of
poverty. The meek, the despised, the disinherited, the downtrodden, were in the
hereafter to be the elect and favored of God. The worldly, the ambitious, the
rich and powerful, were to be denied admission to heaven.
The upshot, then, of Jesus' mission was a new sect in Judea. It was neither
the first nor the last. Judea, like modern America, was a fertile soil for
strange creeds. The Ebionim the paupers, as they called themselves did not
regard their beliefs as a new religion. Jews they had been born, and Jews they
remained. The teachings of their master were rather in the nature of a social
philosophy, an ethic of conduct, a way of life. To modern Christians, who never
tire of asking why the Jews did not accept Jesus and his teachings, I can only
answer that for a long time none but Jews did. To be surprised that the whole
Jewish people did not turn Ebionim is about as intelligent as to expect all
Americans to join the Unitarians or the Baptists or the Christian
Scientists.
In ordinary times little attention would have been paid to the ragged
brotherhood. Slaves and laborers for the most part, their meekness might even
have been encouraged by the solider classes. But with the country in the midst
of a struggle with a foreign foe, the unworldly philosophy took on a dangerous
aspect. It was a creed of disillusion, resignation and defeat. It threatened to
undermine the morale of the nation's fighting men in time of war. This blessing
of the peacemakers, this turning of the other cheek, this non-resistance, this
love your enemy, looked like a deliberate attempt to paralyze the national will
in a crisis and assure victory to the foe.
So it is not surprising that the Jewish authorities began persecuting the
Ebionim. Their meetings were invaded and dispersed, their leaders were clapped
into jail, their doctrines were proscribed. It looked for awhile as if the sect
would be speedily wiped out. Then, unexpectedly, the curtain rose on act three,
and events took a sudden new turn.
Perhaps the bitterest foe of the sectaries was one Saul, a maker of tents. A
native of Tarsus and thus a man of some education in Greek culture, he despised
the new teachings for their unworldliness and their remoteness from life. A
patriotic Jew, he dreaded their effect on the national cause. A traveled man,
versed in several languages, he was ideally suited for the task of going about
among the scattered Jewish communities to counteract the spread of their
socialistic pacifistic doctrines. The leaders in Jerusalem appointed him chief
persecutor to the Ebionim.
He was on his way to Damascus one day to arrest a group of the sectaries when
a novel idea came to him. In the quaint phrase of the Book of Acts he saw a
vision. He saw as a matter of fact, two. He perceived, to begin with, how
utterly hopeless were the chances of little Judea winning out in an armed
conflict against the greatest military power in the world. Second, and more
important, it came to him that the vagabond creed which he had been repressing
might be forged into an irresistible weapon against the formidable foe.
Pacifism, non-resistance, resignation, love, were dangerous teachings at home.
Spread among the enemy's legions, they might break down their discipline and
thus yet bring victory to Jerusalem. Saul, in a word, was probably the first man
to see the possibilities of conducting war by propaganda.
He journeyed on to Damascus, and there to the amazement alike of his friends
and of those he had gone to suppress, he announced his conversion to the faith
and applied for admission to the brotherhood. On his return to Jerusalem he laid
his new strategy before the startled Elders of Zion. After much debate and
searching of souls, it was adopted. More resistance was offered by the leaders
of the Ebionim of the capital. They were mistrustful of his motives, and they
feared that his proposal to strip the faith of its ancient Jewish observances
and practices so as to make it acceptable to Gentiles would fill the fraternity
with alien half-converts, and dilute its strength. But in the end he won them
over, too. And so Saul, the fiercest persecutor of Jesus' followers, became
Paul, the Apostle to the Gentiles. And so, incidentally, began the spread into
the pagan lands of the West, an entirely new Oriental religion.
Unfortunately for Paul's plan, the new strategy worked much too well. His
revamped and rather alluring theology made converts faster than he had dared
hope, or than he even wished. His idea it should be kept in mind, was at this
stage purely defensive. He had as yet no thought of evangelizing the world; he
only hoped to discourage the enemy. With that accomplished, and the Roman
garrisons out of Palestine, he was prepared to call a truce. But the slaves and
oppressed of the Empire, the wretched conscripts, and the starving proletariat
of the capital itself, found as much solace in the adapted Pauline version of
the creed as the poor Jews before them had found in the original teachings of
their crucified master. The result of this unforseen success was to open the
enemy's eyes to what was going on. Disturbing reports of insubordination among
the troops began pouring into Rome from the army chiefs in Palestine and
elsewhere. Instead of giving the imperial authorities pause, the new tactics
only stiffened their determination. Rome swooped down upon Jerusalem with fire
and sword, and after a fierce siege which lasted four years, she destroyed the
nest of the agitation (70 A.D.). At least she thought she had destroyed it.
The historians of the time leave us in no doubt as to the aims of Rome. They
tell us that Nero sent Vespasian and his son Titus with definite and explicit
orders to annihilate Palestine and Christianity together. To the Romans,
Christianity meant nothing more than Judaism militant, anyhow, an interpretation
which does not seem far from the facts. As to Nero's wish, he had at least half
of it realized for him. Palestine was so thoroughly annihilated that it has
remained a political ruin to this day. But Christianity was not so easily
destroyed.
Indeed, it was only after the fall of Jerusalem that Paul's program developed
to the full. Hitherto, as I have said, his tactic had been merely to frighten
off the conqueror, in the manner of Moses plaguing the Pharaohs. He had gone
along cautiously and hesitantly, taking care not to arouse the powerful foe. He
was willing to dangle his novel weapon before the foe's nose, and let him feel
its edge, but he shrank from thrusting it in full force. Now that the worst had
happened and Judea had nothing further to lose, he flung scruples to the wind
and carried the war into the enemy's country. The goal now was nothing less than
to humble Rome as she had hutnbled Jerusalem, to wipe her off the map as she had
wiped out Judea.
If Paul's own writings fail to convince you of this interpretation of his
activities, I invite your attention to his more candid associate John. Where
Paul, operating within the shadow of the imperial palace and half the time a
prisoner in Roman jails, is obliged to deal in parable and veiled hints, John,
addressing himself to disaffected Asiatics, can afford the luxury of plain
speaking. At any rate, his pamphlet entitled "Revelation" is, in truth, a
revelation of what the whole astonishing business is about.
Rome, fancifully called Babylon, is minutely described in the language of
sputtering hate, as the mother of harlots and abominations of the earth, as the
woman drunken with the blood of saints (Christians and Jews), as the oppressor
of "peoples and multitudes and nations and tongues" and to remove all doubt of
her identity as "that great city which reigneth over the kings of the earth." An
angel triumphantly cries, "Babylon the great is fallen, is fallen." Then follows
an orgiastic picture of ruin. Commerce and industry and maritime trade are at an
end. Art and music and "the voice of the bridegroom and of the bride" are
silenced. Darkness and desolation lie like a pall upon the scene. The gentle
Christian conquerors wallow in blood up to the bridles of their horses. "Rejoice
over her, thou heaven, and ye holy apostles and prophets; for God hath avenged
you on her."
And what is the end and purpose of all this chaos and devastation? John is
not too reticent to tell us. For he closes his pious prophecy with a vision of
the glories of the new that is, the restored Jerusalem: not any allegorical
fantasy, I pray you, but literally Jerusalem, the capital of a great reunited
kingdom of "the twelve tribes of the children of Israel."
Could anyone ask for anything plainer ?
Of course, no civilization could forever hold out against this kind of
assault. By the year 200 the efforts of Paul and John and their successors had
made such headway among all classes of Roman society that Christianity had
become the dominant cult throughout the empire. Meantime, as Paul had shrewdly
foreseen, Roman morale and discipline had quite broken down, so that more and
more the imperial legions, once the terror of the world and the backbone of
Western culture, went down to defeat before barbarian invaders. In the year 326
the emperor Constantine, hoping to check the insidious malady, submitted to
conversion and proclaimed Christianity the official religion. It was too late.
After him the emperor Julian tried to resort once more to suppression. But
neither resistance nor concession were of any use. The Roman body politic had
become thoroughly wormeaten with Palestinian propaganda. Paul had triumphed.
This at least is how, were I an anti-Semite in search of a credible sample of
subversive Jewish conspiracy, I would interpret the advent of a modified Jewish
creed into the Western world.
Prof. Ze'ev Herzog teaches in the Department of Archaeology and Ancient Near Eastern Studies at Tel Aviv University. He took part in the excavations of Hazor and Megiddo with Yigael Yadin and in the digs at Tel Arad and Tel Be'er Sheva with Yohanan Aharoni. He has conducted digs at Tel Michal and Tel Gerisa and has recently begun digging at Tel Yaffo. He is the author of books on the city gate in Palestine and its neighbors and on two excavations, and has written a book summing up the archaeology of the ancient city.
Following 70 years of intensive excavations in the Land of Israel, archaeologists have found out:
The patriarchs' acts are legendary, the Israelites did not sojourn in Egypt or make an exodus, they did not conquer the land. Neither is there any mention of the empire of David and Solomon, nor of the source of belief in the God of Israel. These facts have been known for years, but Israel is a stubborn people and nobody wants to hear about it.
This is what archaeologists have learned from their excavations in the Land of Israel: the Israelites were never in Egypt, did not wander in the desert, did not conquer the land in a military campaign and did not pass it on to the 12 tribes of Israel. Perhaps even harder to swallow is the fact that the united monarchy of David and Solomon, which is described by the Bible as a regional power, was at most a small tribal kingdom. And it will come as an unpleasant shock to many that the God of Israel, Jehovah, had a female consort and that the early Israelite religion adopted monotheism only in the waning period of the monarchy and not at Mount Sinai. Most of those who are engaged in scientific work in the interlocking spheres of the Bible, archaeology and the history of the Jewish people - and who once went into the field looking for proof to corroborate the Bible story - now agree that the historic events relating to the stages of the Jewish people's emergence are radically different from what that story tells.
What follows is a short account of the brief history of archaeology, with the emphasis on the crises and the big bang, so to speak, of the past decade. The critical question of this archaeological revolution has not yet trickled down into public consciousness, but it cannot be ignored.
The archaeology of Palestine developed as a science at a relatively late date, in the late 19th and early 20th century, in tandem with the archaeology of the imperial cultures of Egypt, Mesopotamia, Greece and Rome. Those resource-intensive powers were the first target of the researchers, who were looking for impressive evidence from the past, usually in the service of the big museums in London, Paris and Berlin. That stage effectively passed over Palestine, with its fragmented geographical diversity. The conditions in ancient Palestine were inhospitable for the development of an extensive kingdom, and certainly no showcase projects such as the Egyptian shrines or the Mesopotamian palaces could have been established there. In fact, the archaeology of Palestine was not engendered at the initiative of museums but sprang from religious motives.
The main push behind archaeological research in Palestine was the country's relationship with the Holy Scriptures. The first excavators in Jericho and Shechem (Nablus) were biblical researchers who were looking for the remains of the cities cited in the Bible. Archaeology assumed momentum with the activity of William Foxwell Albright, who mastered the archeology, history and linguistics of the Land of Israel and the ancient Near East. Albright, an American whose father was a priest of Chilean descent, began excavating in Palestine in the 1920s. His declared approach was that archaeology was the principal scientific means to refute the critical claims against the historical veracity of the Bible stories, particularly those of the Wellhausen school in Germany.
The school of biblical criticism that developed in Germany beginning in the second half of the 19th century, of which Julian Wellhausen was a leading figure, challenged the historicity of the Bible stories and claimed that biblical historiography was formulated, and in large measure actually "invented," during the Babylonian exile. Bible scholars, the Germans in particular, claimed that the history of the Hebrews, as a consecutive series of events beginning with Abraham, Isaac and Jacob, and proceeding through the move to Egypt, the enslavement and the exodus, and ending with the conquest of the land and the settlement of the tribes of Israel, was no more than a later reconstruction of events with a theological purpose.
Albright believed that the Bible is a historical document, which, although it had gone through several editing stages, nevertheless basically reflected the ancient reality. He was convinced that if the ancient remains of Palestine were uncovered, they would furnish unequivocal proof of the historical truth of the events relating to the Jewish people in its land.
The biblical archaeology that developed from Albright and his pupils brought about a series of extensive digs at the important biblical tells: Megiddo, Lachish, Gezer, Shechem(Nablus), Jericho, Jerusalem, Ai, Giveon, Beit She'an, Beit Shemesh, Hazor, Ta'anach and others. The way was straight and clear: every finding that was uncovered would contribute to the building of a harmonious picture of the past. The archaeologists, who enthusiastically adopted the biblical approach, set out on a quest to unearth the "biblical period": the period of the patriarchs, the Canaanite cities that were destroyed by the Israelites as they conquered the land, the boundaries of the 12 tribes, the sites of the settlement period, characterized by "settlement pottery," the "gates of Solomon" at Hazor, Megiddo and Gezer, "Solomon's stables" (or Ahab's), "King Solomon's mines" at Timna - and there are some who are still hard at work and have found Mount Sinai (at Mount Karkoum in the Negev) or Joshua's altar at Mount Ebal.
Slowly, cracks began to appear in the picture. Paradoxically, a situation was created in which the glut of findings began to undermine the historical credibility of the biblical descriptions instead of reinforcing them. A crisis stage is reached when the theories within the framework of the general thesis are unable to solve an increasingly large number of anomalies. The explanations become ponderous and inelegant, and the pieces do not lock together smoothly. Here are a few examples of how the harmonious picture collapsed.
Patriarchal Age: The researchers found it difficult to reach agreement on which archaeological period matched the Patriarchal Age. When did Abraham, Isaac and Jacob live? When was the Cave of Machpelah (Tomb of the Patriarchs in Hebron) bought in order to serve as the burial place for the patriarchs and the matriarchs? According to the biblical chronology, Solomon built the Temple 480 years after the exodus from Egypt (1 Kings 6:1). To that we have to add 430 years of the stay in Egypt (Exodus 12:40) and the vast lifetimes of the patriarchs, producing a date in the 21th century BCE for Abraham's move to Canaan.
However, no evidence has been unearthed that can sustain this chronology. Albright argued in the early 1960s in favor of assigning the wanderings of Abraham to the Middle Bronze Age (22nd-20th centuries BCE). However, Benjamin Mazar, the father of the Israeli branch of biblical archaeology, proposed identifying the historic background of the Patriarchal Age a thousand years later, in the 11th century BCE - which would place it in the "settlement period." Others rejected the historicity of the stories and viewed them as ancestral legends that were told in the period of the Kingdom of Judea. In any event, the consensus began to break down.
The exodus from Egypt, the wanderings in the desert and Mount Sinai: The many Egyptian documents that we have make no mention of the Israelites' presence in Egypt and are also silent about the events of the exodus. Many documents do mention the custom of nomadic shepherds to enter Egypt during periods of drought and hunger and to camp at the edges of the Nile Delta. However, this was not a solitary phenomenon: such events occurred frequently across thousands of years and were hardly exceptional.
Generations of researchers tried to locate Mount Sinai and the stations of the tribes in the desert. Despite these
intensive efforts, not even one site has been found that can match the biblical account.
The potency of tradition has now led some researchers to "discover" Mount Sinai in the northern Hijaz or, as alreadymentioned, at Mount Karkoum in the Negev.
These central events in the history of the Israelites are not corroborated in documents external to the Bible or in archaeological findings.
Most historians today agree that at best, the stay in Egypt and the exodous occurred in a few families and that their private story was expanded and
"nationalized" to fit the needs of theological ideology.
The conquest: One of the shaping events of the people of Israel in biblical historiography is the story of how the land was conquered from the Canaanites.
Yet extremely serious difficulties have cropped up precisely in the attempts to locate the archaeological evidence for this story.
Repeated excavations by various expeditions at Jericho and Ai, the two cities whose conquest is described in the greatest detail in the Book of Joshua,
have proved very disappointing. Despite the excavators' efforts, it emerged that in the late part of the 13th century BCE, at the end of the Late Bronze Age,
which is the agreed period for the conquest, there were no cities in either tell, and of course no walls that could have been toppled. Naturally,
explanations were offered for these anomalies. Some claimed that the walls around Jericho were washed away by rain, while others suggested that earlier walls
had been used; and, as for Ai, it was claimed that the original story actually referred to the conquest of nearby Beit El and was transferred to Ai
by later redactors.
Biblical scholars suggested a quarter of a century ago that the conquest stories be viewed as etiological legends and no more. But as more and more sites were uncovered and it emerged that the places in question died out or were simply abandoned at different times, the conclusion was bolstered that there is no factual basis for the biblical story about the conquest by Israelite tribes in a military campaign led by Joshua.
The Canaanite cities: The Bible magnifies the strength and the fortifications of the Canaanite cities that were conquered by the Israelites: "great cities with walls sky-high" (Deuteronomy 9:1). In practice, all the sites that have been uncovered turned up remains of unfortified settlements, which in most cases consisted of a few structures or the ruler's palace rather than a genuine city. The urban culture of Palestine in the Late Bronze Age disintegrated in a process that lasted hundreds of years and did not stem from military conquest. Moreover, the biblical description is inconsistent with the geopolitical reality in Palestine. Palestine was under Egyptian rule until the middle of the 12th century BCE. The Egyptians' administrative centers were located in Gaza, Yaffo and Beit She'an. Egyptian findings have also been discovered in many locations on both sides of the Jordan River. This striking presence is not mentioned in the biblical account, and it is clear that it was unknown to the author and his editors.
The archaeological findings blatantly contradict the biblical picture: the Canaanite cities were not "great," were not
fortified and did not have "sky-high walls." The heroism of the conquerors, the few versus the many and the assistance of the God who fought
for his people are a theological reconstruction lacking any factual basis.
Origin of the Israelites: The fusion of the conclusions drawn from the episodes relating to the stages in which the people
of Israel emerged gave rise to a discussion of the bedrock question: the identity of the Israelites. If there is no evidence
for the exodus from Egypt and the desert journey, and if the story of the military conquest of fortified cities has been
refuted by archaeology, who, then, were these Israelites? The archaeological findings did corroborate one important fact:
in the early Iron Age (beginning some time after 1200 BCE), the stage that is identified with the "settlement period," hundreds of small settlements were
established in the area of the central hill region of the Land of Israel, inhabited by farmers who worked the land or raised sheep.
If they did not come from Egypt, what is the origin of these settlers? Israel Finkelstein, professor of archaeology at Tel
Aviv University, has proposed that these settlers were the pastoral shepherds who wandered in this hill area throughout the Late Bronze Age
(graves of these people have been found, without settlements). According to his reconstruction, in the Late Bronze Age (which preceded the
Iron Age) the shepherds maintained a barter economy of meat in exchange for grains with the inhabitants of the valleys. With the disintegration of the urban
and agricultural system in the lowland, the nomads were forced to produce their own grains, and hence the incentive for fixed settlements arose.
The name "Israel" is mentioned in a single Egyptian document from the period of Merneptah, king of Egypt, dating from 1208 BCE: "Plundered is Canaan with every evil, Ascalon is taken, Gezer is seized, Yenoam has become as though it never was, Israel is desolated, its seed is not." Merneptah refers to the country by its Canaanite name and mentions several cities of the kingdom, along with a non-urban ethnic group. According to this evidence, the term "Israel" was given to one of the population groups that resided in Canaan toward the end of the Late Bronze Age, apparently in the central hill region, in the area where the Kingdom of Israel would later be established.
The united monarchy: Archaeology was also the source that brought about the shift regarding the reconstruction of the reality in the period
known as the "united monarchy" of David and Solomon. The Bible describes this period as the zenith of the political, military and economic power of the
people of Israel in ancient times. In the wake of David's conquests, the empire of David and Solomon stretched from the Euprates River to Gaza
("For he controlled the whole region west of the Euphrates, from Tiphsah to Gaza, all the kings west of the Euphrates," 1 Kings 5:4). The
archaeological findings at many sites show that the construction projects attributed to this period were meager in scope and power.
The three cities of Hazor, Megiddo and Gezer, which are mentioned among Solomon's construction enterprises, have been excavated extensively at the
appropriate layers. Only about half of Hazor's upper section was fortified, covering an area of only 30 dunams (7.5 acres), out of a total area of 700 dunams
which was settled in the Bronze Age. At Gezer there was apparently only a citadel surrounded by a casematewall covering a small area, while
Megiddo was not fortified with a wall.
The picture becomes even more complicated in the light of the excavations conducted in Jerusalem, the capital of the united monarchy.
Large sections of the city have been excavated over the past 150 years. The digs have turned up impressive remnants of the cities from the Middle
Bronze Age and from Iron Age II (the period of the Kingdom of Judea). No remains of buildings have been found from the period of the united monarchy
(even according to the agreed chronology), only a few pottery shards. Given the preservation of the remains from earlier and later periods, it
is clear that Jerusalem in the time of David and Solomon was a small city, perhaps with a small citadel for the king, but in any event it was not the capital
of an empire as described in the Bible. This small chiefdom is the source of the "Beth David" title mentioned in later Aramean and Moabite inscriptions.
The authors of the biblical account knew Jerusalem in the 8th century BCE, with its wall and the rich culture of which remains have been found in
various parts of the city, and projected this picture back to the age of the united monarchy. Presumably Jerusalem acquired its central status after
the destruction of Samaria, its northern rival, in 722 BCE.
The archaeological findings dovetail well with the conclusions of the critical school of biblical scholarship. David and Solomon were the rulers of tribal kingdoms that controlled small areas: the former in Hebron and the latter in Jerusalem. Concurrently, a separate kingdom began to form in the Samaria hills, which finds expression in the stories about Saul's kingdom. Israel and Judea were from the outset two separate, independent kingdoms, and at times were in an adversarial relationship. Thus, the great united monarchy is an imaginary historiosophic creation, which was composed during the period of the Kingdom of Judea at the earliest. Perhaps the most decisive proof of this is the fact that we do not know the name of this kingdom.
Jehovah and his consort: How many gods, exactly, did Israel have? Together with the historical and political aspects, there are also doubts as to the credibility of the information about belief and worship. The question about the date at which monotheism was adopted by the kingdoms of Israel and Judea arose with the discovery of inscriptions in ancient Hebrew that mention a pair of gods: Jehovah and his Asherah. At two sites, Kuntiliet Ajrud in the southwestern part of the Negev hill region, and at Khirbet el-Kom in the Judea piedmont, Hebrew inscriptions have been found that mention "Jehovah and his Asherah," "Jehovah Shomron and his Asherah, "Jehovah Teman and his Asherah." The authors were familiar with a pair of gods, Jehovah and his consort Asherah, and send blessings in the couple's name. These inscriptions, from the 8th century BCE, raise the possibility that monotheism, as a state religion, is actually an innovation of the period of the Kingdom of Judea, following the destruction of the Kingdom of Israel.
The archaeology of the Land of Israel is completing a process that amounts to a scientific revolution in its field. It is ready to confront
the findings of biblical scholarship and of ancient history. But at the same time, we are witnessing a fascinating phenomenon in which all this is simply
ignored by the Israeli public. Many of the findings mentioned here have been known for decades. The professional literature in the spheres of archaeology,
Bible and the history of the Jewish people has addressed them in dozens of books and hundreds of articles. Even if not all the scholars accept the
individual arguments that inform the examples I cited, the majority have adopted their main points.
Nevertheless, these revolutionary views are not penetrating the public consciousness. About a year ago, my colleague, the historian Prof. Nadav Ne'eman,
published an article in the Culture and Literature section of Ha'aretz entitled "To Remove the Bible from the Jewish Bookshelf," but there
was no public outcry. Any attempt to question the reliability of the biblical descriptions is perceived as an attempt to undermine "our historic right
to the land" and as shattering the myth of the nation that is renewing the ancient Kingdom of Israel. These symbolic elements constitute such a critical
component of the construction of the Israeli identity that any attempt to call their veracity into question encounters hostility or silence.
It is of some interest that such tendencies within the Israeli secular society go hand-in-hand with the outlook among educated Christian groups.
I have found a similar hostility in reaction to lectures I have delivered abroad to groups of Christian bible lovers, though what upset them was
the challenge to the foundations of their fundamentalist religious belief.
It turns out that part of Israeli society is ready to recognize the injustice that was done to the Arab inhabitants of the country and is willing to
accept the principle of equal rights for women - but is not up to adopting the archaeological facts that shatter the biblical myth. The blow to the mythical
foundations of the Israeli identity is apparently too threatening, and it is more convenient to turn a blind eye.
The fundamental myth of Zionism is the return of the Jewish people to its land. The sovereign people was conquered, and exiled far and wide, but remained aloof and united, inspired by the memory of its ancient sovereignty. In the late 19th century the people began its return, which culminated in the dramatic establishment of the state of Israel in 1948, fulfilling two millennia of longing. Tel Aviv University historian Shlomo Sand, in his remarkable book The Invention of the Jewish People, marshals past and present academic work to refute the Zionist historiography underlying this myth, and tells instead a story of a religious minority and its creed, waxing and waning through proselytizing and conversion, subject to the same social forces as any other religious minority.
Inspired by Zionist myth, Israeli Jews
“know for a certainty that a Jewish nation has been in existence since Moses received the tablets of the law on Mount Sinai, and that they are its direct and exclusive descendants (except for the ten tribes, which are yet to be located). They are convinced that this nation “came out” of Egypt; conquered and settled the “Land of Israel”…They are also convinced that this nation was exiled, not once but twice, after its period of glory—after the fall of the First Temple in the sixth century BCE, and again after the fall of the Second Temple, in 70 CE…
“They believe that these people—their “nation,” which must be the most ancient—wandered in exile for nearly two thousand years and yet, despite this prolonged stay among the gentiles, managed to avoid integration with, or assimilation into, them…
“Then, at the end of the nineteenth century, they contend, rare circumstances combined to wake the ancient people from its long slumber and to prepare it for rejuvenation and return to its ancient homeland. And so the nation began to return, joyfully …
“…Some uninvited guests had, it is true, settled in this homeland, but since “the people kept faith with it throughout their Dispersion” for two millenia, the land belonged only to that people, and not to that handful without history who had merely stumbled upon it. Therefore the wars waged by the wandering nation in its conquest of the country were justified; the violent resistance of the local population was criminal; and it was only the (highly unbiblical) charity of the Jews that permitted these strangers to remain and dwell among and beside the nation, which had returned to its biblical language and wondrous land.”
Sand notes the reactionary purpose served by the myth.
“Dominated by Zionism’s particular concept of nationality, the State of Israel still refuses, sixty years after its establishment, to see itself as a republic that serves its citizens…The excuse for this grave violation of a principle of modern democracy, and for the preservation of an unbridled ethnocracy that grossly discriminates against certain of its citizens, rests on the active myth of an eternal nation that must ultimately forgather in its ancestral land.”
The absence of evidence for expulsion and the counter-mythical prevalence of conversion and proselytizing show that Jews and Judaism were like any religious minority and its creed. The Babylonians did deport the elite when they conquered the kingdom of Judah in 6th c. BCE. Yet the Babylonians and Assyrians did not deport whole populations. The Temple was rebuilt and Jerusalem devastated by the Romans in suppressing the Zealot rebellion in 70 CE, yet “ nowhere in the abundant Roman documentation is there any mention of a deportation from Judea.” Nor did the Bar Kochba revolt result in expulsion. “Captive fighters were probably taken away, and others must have fled…but the Judean masses were not exiled in 135 CE.”
The nationalist historians (Heinrich Graetz, mid-19th c., Simon Dubnow, late 19th-early 20th, Salo Baron, mid-20th) did not link exile and destruction. Graetz and Dubnow echoed Flavius Josephus’s dramatic account of destruction; Baron was more scholarly, but sought above all “to avoid a connection between the end of Judea as a political entity and the disappearance of the Jewish ‘ethnic nation’” “which ‘never completely fitted into the general patterns of national divisions.’ The Jews, then, are a people with an extraordinary past unlike any other people.” The Zionist historians (Yitzhak Baer and Ben-Zion Dinur, Hebrew University, mid-20th) did not claim expulsion in 70 CE, but post-dated it to the Arab conquest in the seventh c. CE, as discussed below.
The rapid growth of the Jewish population around the eastern Mediterranean before 70 CE posed another problem for the nationalist historians. The Zionist view lists, in descending order of importance, deportations, emigration from hardship, voluntary emigration, and finally, a proselytizing and conversion movement that climaxed in the first century CE. Sand argues that the last factor was by far the most important, despite the conventional view that Judaism is a non-proselytizing, aloof religion. A heterodox 1965 dissertation at the Hebrew University by Uriel Rapaport stated flatly: “‘Given its great scale, the expansion of Judaism in the ancient world cannot be accounted for by natural increase, by migration from the homeland, or by any other explanation that does not include outsiders joining it.’” “Rapaport joined a (non-Jewish) historiographic tradition that included the great scholars of ancient history” which “asserted, to use the sharp words of Theodor Mommsen, that ‘ancient Judaism was not exclusive at all; it was, rather, as keen to propagate itself as Christianity and Islam would be in the future.’” The dissertation “was well received at the Hebrew University” in 1965, “before the war of 1967, before the hardening of ethnocentrism in Israel, and then in Jewish communities in the Western world.”
Expansion by conversion was the chief practice of the Hasmonean dynasty, founded in 165 BCE. Zionist historiography, “presented Judaism as opposed to Hellenism, and described the Hellenization of the urban elites as treason.” Yet “what the Maccabees drove out of Judea was not Hellenism but polytheism…The Hasmoneans and their power structures were both uncompromisingly monotheistic and typically Hellenistic.” “Hellenism injected Judaism with the vital element of anti-tribal universalism, which in turn strengthened the rulers’ appetite for propagating their religion…The Hasmoneans did not claim descent from the House of David, and saw no reason to emulate the story of Joshua, the mythological conqueror of Canaan.” The Hasmoneans conquered central and southern Palestine and forcibly converted its inhabitants, and later did the same to the Galilee. A Greek translation of the bible was undertaken in Alexandria, starting in the third c. BCE; Judaism was “turning into a multilingual religion.” “It would not be an exaggeration to say that, but for the symbiosis between Judaism and Hellenism, which, more than anything, turned the former into a dynamic, propagative religion for more than three hundred years, the number of Jews in the today’s world would be roughly the same as the number of Samaritans.” “The Mishnah, Talmud and the many commentaries are full of statements and debates designed to persuade the Jewish public to accept the proselytes and treat them as equals.” Part of Christianity’s competition with Judaism in the first centuries CE was the “mythology about the Jews being exiled in punishment for their rejection and crucifixion of Jesus,” dating from the writings of Justin the Martyr in the second century, which were echoed by other Christian writers.
When Christianity became the Byzantine state religion under Constantine I, “the legal status of Jews was not drastically altered,” but repressive edicts contributed to Judaism’s decline. Moreover, “Jewish believers…began to adopt the notion of exile as divine punishment.” “The concept of exile came to shape the definitions of rabbinical Judaism vis-a-vis Christianity’s growing might.” The “future that would annul [exile] was wholly messianic and totally outside the power of the humbled Jews.” The Jewish population began to decline, as proselytizing gains became losses by conversion to Christianity.
For Zionist historians, it “was still necessary to have a forced exile, otherwise it would be impossible to understand the ‘organic’ history of the ‘wandering’ Jewish people…The start of the ‘exile-without-expulsion’…began only with the Arab conquest.” This helped “reduce the time in exile to a minimum so as to maximize the national proprietary claim over the country.” “According to Dinur, it was only because ‘the ceaseless penetration of desert people into the country, their amalgamation with its alien (Syrio-Aramean) elements, the capture of the agriculture by the new conquerors and their seizure of Jewish lands,’ that the country changed hands.” Yet an “embarrassing lack of material is cited by Dinur in his effort to substantiate his thesis” on a Muslim expulsion of Jews. The sharp reduction of the Jewish population “following the Muslim conquest in the seventh century…was not due to the uprooting of Jews from the country, for which there is not a shred of evidence in the historical record.”
Any land seizures were minimal, because the conquering army was relatively small, and left for other campaigns after its victory. The conquerors also had a “relatively liberal attitude toward the religions of the defeated people—provided they were monotheists, of course.” Christians and Jews were required only to pay a poll tax. Absent other evidence it “is reasonable to assume that a slow, moderate pace of conversion took place in Palestine/Land of Israel, and accounted for the disappearance of the Jewish majority in the country.”
Outflanked in the Mediterranean, Judaism expanded on the margins of Christianity. The powerful Himyar tribe and kingdom which ruled today’s Yemen converted to Judaism in 378, and a Jewish dynasty ruled until the first quarter of the sixth c. The Himyars may have been the source of the Falasha tribe of Ethiopian Jews. In 525 the Himyar kingdom was conquered by the Christian kingdom of Axum, across the Red Sea in modern Ethiopia. In 570 the area was conquered by the Persians, halting its Christianization, but it did not convert to Zoroastrianism. Arriving in 629, the Islamic armies found a Christian and Jewish population, and “the prophet warned them in a letter not to force the local populations to convert to Islam.”
The Himyarite Jews were the basis of historic Yemeni Jewry. Baron wrote “several pages about ‘the ancestors of the Jewry of the Yemen,’ and sought in various ways to justify their harsh treatment of the Christians,” such as the massacre by Himyar King Dhu Nuwas of 20,000 who refused to convert. The massacre was discussed in a BBC program on the Himyars and prompted protests from the Board of Deputies of British Jews, whose spokesman dismissed Dhu Nuwas as a “renegade convert.” “It is widely known that Judaism is not a proselytising religion.” The BBC was supported by Israeli historians, one of whom stated: “He [the king] did massacre many Christians. The volume of knowledge on the subject is growing. The tribe did convert at the end of the fourth century and Judaism was considered missionary in those days. It’s a sensitive matter from a Jewish [Zionist!] point of view.” The Himyars disappeared from Zionist historiography.
“Dinur’s monumental compilation Israel in Exile opens with ‘the Jewish people going into exile’ in the seventh century CE, and so the earlier Jewish kingdom in southern Arabia disappears. Some Israeli scholars questioned the Jewishness of the Himyarites, which was probably not entirely rabbinical; others simply passed over this troublesome historical chapter. School textbooks issued after the 1950s made no mention of the proselytized southern kingdom.”
Haim Ze’ev Hirschberg, an Israeli scholar of Arab Jewry, asserted that “‘the Jews who had come from the Land of Israel…were the living soul of the Jewish community in the Yemen…they decided every issue.’” Sand argues that “Hirschberg had not the slightest evidence concerning the number, if any, of ‘born Jews’ in the different classes of Himyarite society, nor about the origins of those who clung to the Jewish faith. But the ethnocentric imperative was stronger than his historical training, and demanded that he conclude his work with the ‘call of the blood’.” Yemeni historians, in contrast, “insist that the Jews of Yemen are ‘an inseparable part of the Yemeni people. These people converted and adopted the Jewish religion in their homeland, which was then religiously tolerant.’”
North Africa was another successful chapter in Jewish proselytizing, probably beginning with the Phoenician survivors of the Roman sack of Carthage. There is substantial archaeological and epigraphic evidence of Jewish religious life. The years 115-17 saw a “large-scale, messianic, anti-pagan revolt,” led by a Jewish Hellenistic king. The Severan Roman emperors of 2nd-3rd c. originated in North Africa and had a philo-Semitic policy. North African Christian writers Tertullian and Augustine acknowledged the strength of Judaism.
A Jewish Berber queen, Dihya al-Kahina, rallied tribes in eastern Algeria and defeated the Umayyad general Hassan ibn al-Numan in 689. Five years later his forces killed her in battle, and her sons converted to Islam and joined the conquerors. Ibn Khaldun in the 14th c. recounted her reign, and described Jewish Berber tribes from the region of modern Tripoli to Fez in Morocco.
“[T]hese tribal areas roughly correspond to the sites where Jewish communities persisted until modern times.” In Sand’s account, Hirschberg dismissed this history, including the Jewish Berber queen, and evidence of Jewish Berber ancestry. “His constant effort to prove that the Jews were a nation-race that had been torn from its ancient homeland…met the imperative of mainstream Zionist historiography…[which] constituted the ‘scientific source’” for the “standard history textbooks of the Israeli educational system.”
Discarding this history leaves a “great conundrum in the history textbooks in Israel…the existence of such a large Jewish community in Spain. ” Linguistic evidence suggests that “‘the Sephardic Jews are primarily descendants of Arabs, Berbers and Europeans who converted to Judaism.’” Moreover, “Hebrew and Aramaic made their appearance in [European] Jewish texts only in the tenth century CE, and were not a product of an earlier autochthonous linguistic development. This means that exiles or emigres from Judea had not settled in Spain in the first century CE or introduced their original language.” The Iberian Jews welcomed their conquerors as a respite from Visigothic Christianity, and the Berber influx and further proselytizing swelled Jewish ranks, until conversion to Islam set in. This was offset substantially by the “immigration of Jews from all over southern Europe and even more from North Africa” due to the “admirable symbiosis between [Judaism] and the tolerant Arabism of the kingdom of Al-Andalus and the principalities that succeeded it.”
The Himyar and Berber proselytes are overshadowed by the Khazars, who ruled from the fourth century, along the Volga, and in the eastern Ukraine, the Crimean peninsula and modern Georgia. The Silk Road and the Don and Volga gave the kingdom a rich and flourishing trade, and means for a powerful army. While the “spoken Khazar language consisted of Hunnic-Bulgarian dialects with others from the Turkic family,” “[t]here is no doubt…that the Khazars’ sacred tongue and written communication was Hebrew.” The Khazars converted over time between the mid-eighth and mid-ninth centuries, and for the same reason “that accounted for Himyar’s conversion… the desire to remain independent in the face of mighty, grasping empires…Had the Khazars adopted Islam…they would have become subjects of the caliph. Had they remained pagan, they would have been marked for annihilation by the Muslims…Christianity, of course, would have subjected them to the Eastern Empire.” Conversion began with the elite and included the larger population over time. Khazar Judaism was substantially rabbinical, though Kairate Judaism, a Protestant-like sect which regards the Hebrew Bible as solely authoritative, may have flourished also.
Like Andalusia, “the Khazar power sheltered Jews, Muslims, Christians and pagans.” In the late 10th and early 11th centuries, Kiev, until then a Khazar vassal territory, allied with Byzantium and defeated the Khazar kingdom. Evidence of Judaism in the towns, steppes and mountains remained, to be swept away in the Mongol conquest of the 13th century, save for traces in the mountains. The Khazar empire was too well attested “by Arabic, Persian, Byzantine, Russian, Armenian, Hebrew, and even Chinese sources” to ignore, but Graetz, Dubnow, Baron and Dinur dismissed it as a passing phenomenon, a puzzle, or the result of a massive migration from the “Land of Israel.” The only Israeli study of the Khazars, by Abraham Polak, last published in 1951, assured its readers that “‘a large Jewish community grew there, of which the proselyte Khazars were only a part.’” Sand suggests that in the 1950s and 1960s “the Israeli memory-merchants” were anxious “about the legitimacy of the Zionist project, should it become widely known that the settling Jewish masses were not the direct descendants of the ‘Children of Israel.’” “The conquest of the ‘City of David’ in 1967 had to be achieved by the direct descendants of the House of David—not, perish the thought, by the offspring of tough horsemen from the Volga-Don steppes, the deserts of southern Arabia, or the coast of North Africa.”
Sand also considers the argument popularized by Arthur Koestler in The Thirteenth Tribe, that migration by the Khazars was the basis of east European Jewry, against the standard Zionist view that those Jews emigrated from western Germany (via Rome and the “Land of Israel.”). “Khazaria collapsed some time before the presence of Jews in Eastern Europe, and it is difficult not to connect the two.” The Khazars were studied extensively by credible Russian, Polish and Soviet scholars, Jewish and non-, from the early 19th c., and were commonly seen as the source of east European Jewry. Polak, and after him Baron and Dinur, acknowledged the Khazars as the source of eastern Jewry, even if they all deprecated the Khazars’ proselyte origins.
Perhaps the most persuasive source cited by Sand on the proselyte origins of Ashkenazi Jewry is Tel Aviv University linguist Paul Wexler, author of The Ashkenazic Jews: A Slavo-Turkic People in Search of a Jewish Identity (and of The Non-Jewish Origins of the Sephardic Jews). Wexler argues that “the language known as Yiddish…developed in the bilingual Germano-Slavic lands in the 9th century as a Judaized form of Sorbian.” Sorbian is a Slavic language spoken today by about 50,000 people in southeast Brandenburg. “Yiddish is not a ‘form of German.’” The “tiny Jewish communities in the monolingual western German lands” cannot have been the basis of the millions of east European Jews. “Judeo-Sorbian underwent ‘re-lexification’…beginning with the 9th-10th centuries, but at the latest by the early 13th century.” “The result was…the grafting of [eastern] High German vocabulary…onto a Judeo-Sorbian syntax, phonology, phonotactics, and to some extent, morphotactics. Thus, despite its ‘German look,’ Yiddish remains a west Slavic language.” Modern Hebrew is also a Slavic language, not a “rebirth” of Old Semitic Hebrew, which is “impossible…because there are no native speakers to provide a native norm.” “Modern Hebrew simply embodies the syntax and sound system of the Eastern Yiddish language spoken by the first Modern Hebrew language planners in Ottoman Palestine, while its lexicon…was systematically replaced by Biblical and Mishnaic Hebrew vocabulary.”
Wexler argues from linguistic and other evidence “that the Ashkenazic Jews must have consisted of a mix of Greek, Balkan Romance and Balkan Slavic, Germano-Slavic and Turkic (Khazar, Avar) converts to Judaism and their descendants and only a minority of ethnic Jews—many of whom in all probability came from other parts of Europe rather than Palestine itself.” Wexler rejects the Khazar mass migration hypothesis on linguistic grounds, arguing that there was more conversion in place than migration. “Hence, contemporary Judaism is best defined not as the continuation of the Judaism which served as an antecedent of Christianity and Islam, but as a newly Judaized variant of European (mainly Slavic) paganism and Christianity…most of the features of Old Palestinian Judaism and Semitic Hebrew to be found in Ashkenazic ‘Judaism’ and Medieval Ashkenazic/Modern Israeli ‘Hebrew’ were latter borrowings rather than original inheritance [original emphasis].” This thesis has been obscured by philo-German and anti-Slavic chauvinism among scholars, Jewish and non-, of Ashkenazi Jewry, by disciplinary blinders, and by inertia.
Sand also considers Zionist racialism, from proto-Zionist Moses Hess, who “needed a good deal of racial theory to dream up the Jewish people,” to kibbutz godfather Arthur Ruppin’s “ideas about the Darwinist struggle of the ‘Jewish race’,” including consultations with “experts” in Nazi Germany, to the discreet attempt of Israeli genetics after 1948 “to discover a biological homogeneity among the Jews in the world” while investigating Jewish diseases, which revealed east European carriers of Tay-Sachs, but also Yemeni and Iraqi carriers of favism. “Israel’s rule since 1967 over a growing non-Jewish population,” and concomitant need to “find an enclosing ethnobiological boundary” which highlights “the basic genetic similarities…and the small proportion of ‘alien’ genes in the genetic stock characteristic of Jews” led to “new findings” which “corroborated the literature about the dispersal and wanderings of the Jews from ancient times to the present. At last, biology confirmed history,” in the current pseudo-science of “Jewish genetics.”
Israel “became a world leader in the ‘investigation of the origins of populations’” even as “Israeli researchers…regularly blended historical mythologies and sociological assumptions with dubious and scanty genetic findings.” These included mitochondrial DNA purportedly showing that “40 per cent of all Ashkenazis in the world descend from four matriarchs (as in the Bible),” and a haplotype carried by 50 per cent of men named Cohen, which “proved” that “the Jewish priesthood was was indeed founded by a common ancestor thirty-three centuries ago.” This dreck appeared in publications such as Nature and the American Journal of Human Genetics, and was respectfully reported in Haaretz and elsewhere, but rarely skepticism or contrary findings. “Yet so far, no research had found unique and unifying characteristics of Jewish heredity based on a random sampling of genetic material whose ethnic origin is not known in advance…after all the costly ‘scientific’ endeavors, a Jewish individual cannot be defined by any biological criteria whatsoever.”
Sand’s account of Judaism, from exclusive Israelite genealogy, to Hellenic proselytizing, to proselytizing and conversion on the margins of Christianity, in Arabia, North Africa, Spain, and among the Khazars and the Slavs, to defensive introversion amidst the final triumph of Christianity, is the interesting and compelling story of a religious minority subject to normal historical forces.
The contrary view of the unitary Jewish people expelled from its homeland, and wandering aloof in exile for two thousand years, until beginning its return in the late 19th c., is a reactionary myth which Zionism has deployed to conquer Palestine and compel support for it. The myth prevails unchecked today not only in Israel but worldwide. Nothing “has challenged the fundamental concepts that were formed in the late nineteenth and early twentieth centuries. ” Advances in the study of nations and nationalism have not “affected the departments of the ‘History of the People of Israel’ (aka Jewish history) in Israeli universities.
Nor, amazingly, have they left their imprint on the ample output of Jewish studies departments in American or European universities.” The Zionist myth expresses a virulently racialized Jewish consciousness. In the canonical liberal view “anyone who argued that all Jews belong to a nation of alien origin would have been classified at once as an anti-Semite. Nowadays, anyone who dares to suggest that the people known in the world as Jews (as distinct from today’s Jewish Israelis) have never been, and are still not, a people or a nation is immediately denounced as a Jew-hater.”
Sand states in closing that “the mood at the end of this book. . .is more pessimistic than hopeful.” His final paragraph asks:
“In the final account, if it was possible to change the historical imaginary so profoundly, why not put forth a similarly lavish effort of the imagination to create a different tomorrow? If the nation’s history was mainly a dream, why not dream afresh, before it becomes a nightmare?”
" If Abraham, Isaac, Jacob, Moses, and David aren't proven, how am I supposed
to live with that ? "
The agonized question came from the crowded back row of an
auditorium at Ben-Gurion University, during a conference titled " Has the
Biblical Period Disappeared ? " It expressed the shiver that went down Israel's
collective spine at the end of last year, as puzzled scholars saw Israel's lay
population jerked into awareness of the last two decades of biblical
archaeological and historical research.
Just as Israelis have had to reconsider their recent past, in light of
revisionist historical works, they also are finding themselves facing the myths
of their antiquity with unprecedented intensity. Unlike the historians of modern
times, much of whose work is based on new revelations from previously closed
archives and papers, the archaeologists who have given the Israeli public its
latest cold shower are presenting established scholarship, some of it dating
from the past two or three decades, and some of it dating back a century.
But like some of the revisionist historians, they are presenting their
research in a provocative -- some would say even incendiary -- way, explicitly
aimed at revising the nature of Israeli identity.
The chill that produced the question at Ben-Gurion University was set off by
one of Israeli archaeology's leading biblical minimalists -- a label attached by
their colleagues to those who think that very little in the Bible's historical
sections is true. The Tel Aviv University archaeologist Ze'ev Herzog began the
flurry with a cover story in the weekend magazine of the October 29, 1999, issue
of Ha'aretz, the national daily newspaper.
"This is what archaeologists have learned from their excavations in the Land
of Israel: the Israelites were never in Egypt, did not wander in the desert, did
not conquer the land in a military campaign and did not pass it on to the 12
tribes of Israel. Perhaps even harder to swallow is the fact that the united
monarchy of David and Solomon, which is described by the Bible as a regional
power, was at most a small tribal kingdom," he wrote.
Why does that make Israelis shiver ? It is not, primarily, a religious issue.
The questioner at Ben-Gurion University was not an Orthodox Jew. He was an older
man, by his appearance and mode of speech a representative of Israel's founding
generation, one of those who had fought to establish a modern Jewish state in
1948 after 2,000 years of exile. For such Israelis, the Bible is not a religious
document. Rather, it fills the place held by the Declaration of Independence in
the United States : It is the defining document of Jewish nationhood.
Despite being aware that both textual and historical scholarship have shown
that the Bible was written by multiple authors and put in its final form long
after the events it describes, the average secular Israeli, who studies the
Bible in school as part of the required curriculum, has grown up with a vague
impression that the archaeological finds, from the beginning of biblical
archaeology at the start of this century to the present time, have provided a
consistent stream of evidence for the fundamental truth of the biblical
historical narrative.
But what if the artifacts turned up in the field over the last century -- the
pottery, the ancient buildings and cities, the inscriptions and documents --
instead fail to provide evidence that much of the biblical story ever happened,
or actually contradict it ? That is precisely Mr. Herzog's position.
He ended his article by expressing puzzlement that his conclusions,
representing, he claimed, the consensus of biblical archaeological and
historical scholarship for the last 15 years or so, had failed to penetrate the
public consciousness, despite the fact that his was hardly the first newspaper
article to explain them to the general public. The quotes from public figures
that Ha'aretz gathered and printed in a box alongside the article seemed
to bear that out. No less a personage than Yossi Sarid, Israel's minister of
education and the leader of the left-wing, secularist Meretz Party, expressed
surprise and said he had been unaware of the claims presented by Mr. Herzog.
Among academics, there is a broad consensus on some basic facts but
differences of opinion about many details. That was clear from the Ben-Gurion
University conference and another conference held last month at the Herzog
Teacher Training College, an institution located in an Israeli settlement in the
West Bank and associated with the country's religious Zionist community.
None of the scholars speaking at either conference believe that the Bible's
historical sections can be accepted as literal, accurate descriptions of
historical events. They also agree that the extra-biblical evidence for events
described in the Bible dwindles the farther back in time one goes. King Ahab of
Israel is well-documented in other inscriptions from elsewhere in the Middle
East; the united monarchy of David and Solomon is not. Evidence exists of the
rise of the new Israelite nation in the Palestinian highlands during the late
Bronze Age -- the age of the Judges -- but it can be interpreted in different
ways. There is no external evidence at all for the patriarchs and, in fact, the
biblical description contains contradictions and anachronisms that, scholars
generally agree, seem to place the patriarchs in the age of the Judges rather
than several generations earlier, as the Bible has it.
Mr. Herzog concludes from such findings that the Bible simply should not be
used as a historical source. The archaeological practice begun by William
Foxwell Albright, who founded the discipline of biblical archaeology in the
early part of the 20th century, was that findings in the field should be
interpreted in the light of the biblical text. Mr. Herzog's new paradigm is that
the Bible should be set aside and the findings interpreted in their own right.
"The demand to verify the Bible has coerced archaeology to interpret findings
in a particular way," he says. "The result has been that the quantity of excuses
exceeds the quantity of facts. Our interpretation has been skewed by this
system. Now we're undergoing a revolution. Archaeology is becoming a science."
"If we didn't have the Bible, we wouldn't have dreamed of reconstructing the
history of the period the way we have," Mr. Herzog adds, referring to the work
of what he terms the "traditionalist old school" of archaeologists. And since
the Bible itself is not a contemporary account of the events it describes but
rather, he argues, a much later work whose purpose was to create a unifying
mythological past for the Israelites, it should be set aside when it comes to
reconstructing the place and period it ostensibly depicts.
That position is rejected by other scholars. While agreeing that the biblical
text cannot be taken literally and that it is problematic in many ways,
Mordechai Cogan, a Hebrew University historian of the biblical period, insisted
at the Ben-Gurion conference that, while the Bible was put in its present form
at a later date, it is based on older historical chronicles and can thus provide
important historical information.
"It is indeed possible to write history from the Bible," he declared. "It
contains primary sources. The lack of evidence in the ground is not sufficient
to negate evidence in writing, and the archaeologists need to be reminded of
that morning, afternoon, and night."
That position is not held just by historians: Many archaeologists agree. One
of those is Amihai Mazar of the Hebrew University of Jerusalem. "Herzog," he
says politely, "got a little too carried away. True, there's general concurrence
that when it comes to the protohistory of the Israelites, archaeology can say
very little." He points out that the patriarchs and their societies, given their
nomadic culture, would not have left much for archaeologists to find.
"In any case," Mr. Mazar continues, "the archaeology of the land of Israel is
very narrow. If we take a general look at the cultures of the Middle East in
that time, we get a broad and very interesting background against which it is
possible to understand the source of the biblical stories."
Take, for example, "the period of settlement" -- the period parallel to the
biblical Book of Judges, when the Israelite nation took shape in the land of
Canaan, an event that the archaeologists and historians place in 1200 to 1000
B.C. All agree that excavations have shown that in this period hundreds of small
settlements were established in the central mountainous region of the country.
That is the same region in which the stories of the Book of Judges take place,
and there is general consensus that the inhabitants of those simple villages and
homesteads were the forebears of the people who would later identify themselves
as Israelite.
But where did they come from? Mr. Herzog emphasizes aspects of the finds in
those settlements that do not fit with a mass settlement by new arrivals from
Egypt. For example, the ceramics the settlers used were in the Canaanite style,
and their language was apparently very close, if not identical, to the language
spoken by the Canaanites.
"To a large extent, the artifacts continue the Canaanite tradition that
preceded these settlements. There's no evidence of mass migration," he insists.
He cites a theory propounded by his Tel Aviv colleague Israel Finkelstein that
the settlements were established by shepherds who left the valleys and coastal
plains when political, economic, and climatic crises forced them to start
growing their own grain. In other words, the Israelites were Canaanites --
locals rather than new arrivals from Egypt.
Mr. Mazar, who excavated one of those small settlements that now is
surrounded by the outlying Jerusalem neighborhood of Gilo, firmly disagrees.
"True, the ceramics are similar. But there are types of Canaanite ceramics that
are absent," he explains. In his mind, that absence suggests that the ceramics
were not locally produced but purchased from the Canaanites.
More telling, he believes, is the design of the settlements and the
individual homes, which were very different from Canaanite designs. "Where did
this population come from? There's debate about that. But there's no
contradiction here -- these people developed into something new. It's really
exceptional confirmation of the biblical scenario," he maintains. Not a
confirmation of its literal truth, he allows, for the new arrivals did not
number in the millions as the Bible has it. But it may well be that a small
group that indeed escaped slavery in Egypt arrived and merged with other
migrants and local groups and forged a new identity and religion.
To Mr. Mazar and others of his persuasion, Mr. Herzog and scholars like him
-- including a group of archaeologists and historians outside Israel often
called the Copenhagen School because of their strong presence at the University
of Copenhagen -- are minimalists and nihilists ready to hit the Bible over the
head with every available potsherd. The epithet "post-Zionist" was also bandied
about a great deal at the Herzog college conference.
Ze'ev Herzog invited such a comparison by concluding his Ha'aretz article
with an explicit linkage to modern Israeli history: "It turns out that part of
Israeli society is ready to recognize the injustice that was done to the Arab
inhabitants of the country and is willing to accept the principle of equal
rights for women -- but is not up to adopting the archaeological facts that
shatter the biblical myth. The blow to the mythical foundations of the Israeli
identity is apparently too threatening, and it is more convenient to turn a
blind eye," he wrote.
"This is all a debate between Zionism and post-Zionism," charged Rabbi Yoel
Ben-Nun, a member of the Herzog college's faculty and a leader of the Israeli
settlement movement in the West Bank, "and it's no coincidence that it is
happening now. The attack on the Bible is part and parcel of the general attack
on Zionist values that is exemplified by the current Israeli government's
willingness, in the framework of the peace process, to hand over parts of the
biblical land of Israel to the Palestinians."
Mr. Herzog sees it differently. It is precisely because Israel is firmly
established and no longer in danger of being wiped out, he says, that he and
other scholars can ask questions that were unaskable before. "The Jews in Israel
no longer need the Bible to justify their presence in the Middle East. We're
here because we're here. We no longer need excuses -- we're natives," he
insists.
There is another kind of biblical scholar in Israel, however, who is not
concerned with whether the Bible is history -- the scholar who plumbs the text
for its literary complexity and its values. Such scholars have observed the
recent Bible-as-history debate from the sidelines with some bemusement. As far
as they're concerned, the whole polemic misses the point.
"It's just not important," declares Yair Zakovitch, professor of Bible at the
Hebrew University of Jerusalem and also the university's dean of humanities. Mr.
Zakovitch, who describes himself as not religious, at least not in the
conventional way, argues that the Bible's authors and redactors did not intend
it to be a book of history. "The Bible is for teaching. Its characters, its
history are only tools for getting across ideas. The main thing in the Bible is
not if there was an event, but the ideas and ideology that it represents. The
authors of the Bible knew that history can be reshaped to express ideas."
Much of Mr. Zakovitch's scholarly writing is on how different biblical
narratives are interrelated. He sees the book as a web of stories and literary
works that comment on, interpret, and mirror each other. "The Jewish sages said
that every generation of our nation has to see itself as if it itself
participated in the exodus from Egypt. So in our collective memory, we came out
of Egypt," he explains.
"The Bible," he continues, "is the foundation of my nation's culture. It is
perhaps the only common denominator for all Jews. We are all involved in a
dialogue with the Bible."
Indeed, that was exactly what was going on in the conference room at
Ben-Gurion University when that agonizing question was asked of the panel of
lecturers.
"This is a psychological problem. I can't help you. That is, I could help
you, but not in my capacity as a historian," replied Maynard Maidman of York
University of Ontario to the questioner.
The troubled participant sat back in his chair and muttered:
"They didn't answer my question."
L' Enfer est né juste sous les murs de Jérusalem, dans la Vallée de Ben Hinnom. Le prophète Jérémie la surnomma "La Vallée du Massacre" (Jérémie 19:6) parce que de nombreux enfants furent immolés là dans un trou profond appelé le Tophet, "Place de l'holocauste." Même les rois de Juda ont brûlé leurs fils et leurs filles sur ce Tophet. Un jour, ces sacrifices ont cessé mais ils ont marqué les mémoires et la Vallée de Ben Hinnom est devenue la Géhenne, le mot hébreu pour l'Enfer où les pêcheurs souffrent éternellement le supplice du feu.
Ayant entendu tant de choses sur l'Enfer à l'école catholique et ayant vu ces images effrayantes d'enfants se consumant dans les flammes, j'ai voulu voir l'endroit précis où cet horrible concept a été crée. Je pensais que la "Vallée du Massacre" serait un lieu épouvantable et j'ai été surpris par sa beauté, des ravins profonds et des jardins d'oliviers verdoyants, juste au pied du mur blanc, avec des tourelles de la vieille ville de Jérusalem. Cela ressemblait plus au paradis qu'à l'enfer. "Si c'est l'enfer, alors l'enfer est un endroit plutôt charmant" me disait l'archéologue Gabriel Barkay. Barkay, un professeur à l'université de Tel-Aviv, admire la vallée pour sa topographie et pour son passé riche d'histoires. "La vallée a hérité de ce mauvais nom en raison de ceux qui ont été brûlés la sur le Tophet" dit-il. " Jérémie identifie ce lieu au genre d'activités qui ont lieu dans l'enfer, des corps qui brûlent éternellement, mais vous devez vous souvenir que ceux qui pratiquaient ces sacrifices les faisaient en toute bonne conscience. "
La BibleIl y a des témoignages directs dans la Bible que les sacrifices d'enfants se sont poursuivis au Tophet dans la vallée de Ben Hinnom, jusqu'au septième siècle avant Jésus-Christ. Le prophète Jérémie dit, " ils ont fait un autel de sacrifice du Tophet dans la vallée de Ben Hinnom, sur lequel ils ont brûlé leurs fils et leurs filles " (Jérémie 7:31). Le roi Ahaz de Juda " fit fumer l'encens dans la vallée de Ben Hinnom et brûla ses fils par le feu, selon les abominations des nations qu'avait dépossédées Yahvé devant les fils d'Israël " (2 Chroniques 28:3- 4). Le roi Manassé de même " fit passer son fils par le feu " (2 Rois 21:6). Selon la plupart des traductions de la Bible, ces enfants sont sacrifiés au terrible dieu Moloch. Bien que Moloch soit devenu un des grands démons de la littérature judéo-chrétienne, Il semble à peu près certain que Moloch ne soit pas un démon mais simplement le nom de ces sacrifices d'enfants dédiés à Yahvé. Les colonies phéniciennes de Sicile et d' Afrique du nord où on a exhumé des Tophets comme celui de la vallée de Ben Hinnom nous confortent dans cette nouvelle interprétation du mot Moloch. Les phéniciens étaient proches des Hébreux. La Bible fait référence aux peuples de la côte phénicienne sous le nom de Cananéens. Hébreux et Cananéens se comprenaient mutuellement et l'alphabet hébreu, comme tous le alphabets modernes du monde occidental viennent de phéniciens. Il en est de même de ces holocaustes du Tophet de Jérusalem. |
CathageLa curiosité liée à ces holocaustes dédiés à Yahvé, conduit à Carthage, près de Tunis en Afrique du nord. Là il y a un jardin agréable envahi par la végétation, où les grenadiers et les figuiers apportent l'ombre, qui dans le temps, a servi de Tophet aux carthaginois et fut le lieu dans lequel on a identifié le plus grand nombre de sacrifices d'enfants de l'antiquité . La croissance sauvage de l'herbe rivalise avec l'abondance des stèles qui commémorent les sacrifices et qui jaillissent partout avec leurs représentations de Baal Hammon et Tanit-Ashtart. Une équipe d'archéologues de l' UNESCO a mis à jours des centaines d'urnes contenant des cendres d'os d'enfants et d'animaux sacrifiés, souvent mélangées avec des graines et des amulettes. Nombre de ces jarres étaient enterrées sous des stèles d'argile avec leurs dédicaces à Tanit et Baal-Hammon. Une des stèles montre un prête dans une robe longue et flottante tenant un enfant qu'il est en train de sacrifié. Le Tophet de Carthage a de nombreux étages, celui du bas date de 750 B.C. À cette époque, les sacrifices d'animaux étaient plus fréquents que par la suite, bien qu'ils n'aient jamais constitué ici plus d'un tiers de tous ces meurtres rituels. Les urnes et les stèles primitives montrent une grande variété de couleur et de dessin. Plus tard, à mesure que le nombre de sacrifices humains a augmenté, allant de pair avec la population de Carthage, les urnes s'uniformisent de couleur orange et les stèles deviennent d'un modèle standard. On a trouvé environ 20 000 urnes en tout. Les archéologues Lawrence Stager et Samuel Wolff considèrent que le Tophet de Carthage est " le plus grand cimetière de sacrifices humains jamais découvert." Mais en dépit de nombreux écrits, qui rapportent les sacrifices d'enfants à Carthage et des preuves physiques, certains érudits n'admettent pas l'existence de ces sacrifices humains. Le lien entre les Tophets de Carthage et Jérusalem est ce qui rend le sujet épineux. Une preuve déconcertante est un épigraphe sur lequel on peut lire que les sacrifices humains à Carthage s'appelaient "mulk " offrandes. Il n'existait pas de dieu Moloch à Carthage ou dans n'importe quelle colonies phéniciennes. Cela tendrait à montrer que la traduction du mot de la Bible mlk (Moloch) devrait être "sacrifice humain" et non un dieu Moloch. (L'hébreu ancien n'avait pas de voyelles ce qui rend les traductions difficiles) . Si on accepte cette traduction, comme le font bons nombres de spécialistes de la Bible aujourd'hui, cela signifie que de semblables meurtres rituels d'enfants dédiés à Yahvé, ont fait part de l'orthodoxie juive avant le septième siècle avant Jésus-Christ. Cela met en colère de nombreux étudiants de la Bible qui refusent de voir les cadavres dans les placards de la religion judéo-chrétienne, comme le fait remarquer un anthropologue qui a exhumé le Tophet de Carthage. |
IsaïeMais le cadavre devient bien vivant et en extase fait une danse de la mort dans un des plus grands poèmes d'Isaïe, un chant religieux pour accompagner les sacrifices humains au Tophet de Jérusalem. Isaïe a commencé à prêcher dans le pays de Juda au même moment où les premières urnes contenants les sacrifices étaient mises en terre dans le Tophet de Carthage. " Vous chanterez alors comme dans la nuit où se célèbre la Fête, avec la joie au cœur, comme lorsqu'on marche au son de la flûte pour aller à la montagne de Yahvé, vers le Rocher d'Israël. Yahvé fera entendre sa voix majestueuse, et il montrera son bras qui s'abat, dans la fureur de sa colère, dans la flamme d'un feu dévorant, dans l'ouragan, l'orage et les grêlons. Car Assur s'effraiera à la voix de Yahvé qui frappera du bâton, et chaque fois que passera le gourdin vengeur que Yahvé fera tomber sur lui, c'est au son des tambourins et des lyres, dans des combats, la main brandie, qu'il combattra contre lui. Car dès longtemps Tophet est préparé, il est prêt aussi pour Mélek ; On a fait un bûcher profond et large, feu et bois sont en abondance, le souffle de Yahvé, comme un torrent de soufre, l'embrasera. " - Isaïe 30:29- 33 Ce qui est surprenant dans ce chant d'Isaïe est son contenu explicite d'un rituel dans lequel Yahvé est celui d'une manière indéniable, qui torture et immole sa victime assyrienne, qui est probablement le grand roi assyrien Sennachérib. Les assyriens menaçaient alors l'existence du royaume de Juda et ils avaient détruit celui de la Samarie (Israël proprement-dit). Ces vers constituent le centre de la thèse de Ph.D de Paul Mosca à Harvard en 1975, "Les sacrifices d'enfants dans les religions israélites et cananéennes." Peut-être que Mosca a raison en suggérant qu'Isaïe a fait délibérément un jeu de mot, car dans ce rituel nocturne, la victime (molek) est le roi d' Assyrie (melek). Selon l'analyse de Mosca, "nous commençons par le feu, l'éclair et l'orage; signes de la manifestation de Yahvé et terminons par le feu du sacrifice rituel. " Toute les pouvoirs atmosphériques sur les éclairs, le tonnerre, la grêle, la pluie et le vent du dieu de la montagne deviennent les armes par lesquelles Yahvé capture Sennachérib et le sacrifie. Ainsi les rôles du dieu de la tempête, du guerrier et du sacrificateur convergent dans ce portrait effrayant de Yahvé tout comme dans les mythologies des dieux des Andes. On peut prétendre qu'Isaïe parle de manière allégorique et que ces vers ne sont qu'un chant de guerre. Mais étant donné le parallèle entre ce chant et le rituel connu des sacrifices humains des cananéens, ce serait une allégorie que les assyriens aurait prise littéralement. Chez Isaïe, le Tophet du sacrifice a lieu la nuit autour des flammes d'un bûcher profond au son de la musique, tout comme dans les rites phéniciens. La seule différence entre le Tophet rituel d'Isaïe et celui des phéniciens est que dans le premier cas, la victime sacrifiée est offerte à Yahvé et dans le second, à Tanit et Baal. Il est significatif qu'Isaïe n'ait pas critiqué ses contemporains comme les rois Ahaz or Manassé, qui tous les deux ont sacrifié leurs enfants au Tophet de Jérusalem. Paul Mosca conclut de son étude de vers d'Isaïe 30:27- 33 que le rite du Tophet de Jérusalem, bien que rétrospectivement considéré comme non-orthodoxe dans le Deutéronome et idolâtre par Jérémie et Ézéchiel, était en fait une partie intégrante du culte de Yahvé pour laquelle Isaïe n'avait aucune objection. |
JosiasLa vision d'Isaïe à propos du Tophet et de ceux qui y pratiquaient les sacrifices contraste fortement à celle des auteurs tardifs des Chroniques et des Rois qui voient Ahaz suivre "des pratiques abominables. " La différence entre Isaïe et Jérémie est encore plus grande. Tandis qu'Isaïe glorifie le Tophet comme l'arme de Yahvé pour se libérer des assyriens, Jérémie blâme le Tophet pour la chute de Jérusalem, qu'il attribue à la colère de Yahvé devant ces sacrifices humains idolâtres. Entre le temps du ministère d'Isaïe au début du septième siècle B.C. et les prêches de Jérémie un siècle plus tard, les penseurs juifs ont redéfini totalement la religion juive et ils ont supprimé les sacrifices humains. Jusque là Yahvé avait été adoré par des prophètes shamans sur toutes les hautes collines d'Israël. Mais le roi Josias de Juda décida de détruire tous les sanctuaires des collines dans la réforme religieuse la plus radicale de l'histoire. " Il fit venir des villes de Juda tous les prêtres et il profana les hauts lieux où ces prêtres avaient sacrifié, depuis Guèba jusqu'à Bersabée. Il démolit le sanctuaire des démons, qui était à la porte de Josué.....". "Il profana le Tophet de la vallée de Ben Hinnom pour que personne ne fit plus passer son fils ou sa fille par le feu en l'honneur de Molech" (2 Rois 23:8- 10). Josias aussi détruisit le sanctuaire de Bethel érigé par Abraham, puis il vint en Samarie où "Tous les prêtres des hauts lieux qui étaient là furent immolés par lui sur les autels et il y brûla des ossements humains."(2 Rois 23:20). Apparemment, ce renversement de coutumes très anciennes causa
une grande consternation. Quand au paravent le roi Ézéchias avait
essayé de supprimer quelques sanctuaires sur les collines, il avait été
accusé de détruire les lieux légitimes pour adorer Yahvé. Même le roi
Sennachérib ironise à ce sujet "Vous me direz peut-être: c'est en Yahvé
notre dieu que nous avons confiance, mais n'est-ce pas lui dont Ézéchias a
supprimé les hauts lieux et les autels ". (Isaïe 36:7)
Personne n'avait jamais entendu parler de ce livre de Moïse avant, aussi Josias alla consulter une prophétesse sur l'authenticité du livre. Sagement, elle confirma l'origine divine du livre récemment découvert. Sans surprise, le livre des lois de Moïse, découvert par le grand prêtre, (peut-être le Deutéronome) supportait les réformes de Josias à la lettre. Un des anachronismes les plus choquants de ces nouvelles lois était la demande de supprimer tous les hauts lieux en dehors de Jérusalem. Moïse en avait lui-même construit et avait donné des instruction à Josué pour en construire d'autres. Une autre anomalie se trouve dans les attaques répétées de Moïse contre les sacrifices humains alors que Moïse a tenté de sacrifier son fils et s'est même offert en sacrifice. Selon le nouveau livre de Moïse, l'ancien Moïse était hérétique. Avec le nouveau livre de Moïse, le rite des sacrifices humains, qui avait été le degré le plus élevé dans la piété, était devenu une abomination. La vallée de Ben Hinnom où se trouvait le Tophet de Jérusalem devenait le synonyme de l'enfer "Géhenne" , un mot qui a fait son chemin dans plusieurs langues. |
L'EnferLes méthodes de Josias furent radicales mais efficaces. Avec l'aide d'Hilqiyya, Jérémie, et d'autres réformateurs, il réussit à supprimer les sacrifices humains pour, peut-être, la première fois dans l'histoire. Le sacrifice des animaux continua mais en un seul lieu, le grand Temple sur le Mont Moriah. Bien que, cela centralisa le pouvoir dans les mains des prêtres de Jérusalem, cela eut l'effet de réduire les sacrifices sanguinaires hors du grand Temple. Une nouvelle race de rabbins et de docteurs de la loi vit le jour. Dans leurs synagogues, ils créèrent le concept d'un dieu éthique, un dieu autant lié par son alliance que les juifs envers lui. Et en un temps assez court, six ou sept siècles, le Yahvé terrible d'Isaïe, un dieu tempétueux brûlant du désir de vengeance et de sacrifices humains, est devenu le dieu d'Hillel, dont la maxime était "Ce qui est détestable pour toi, ne le fais pas à tes compagnons." Ainsi se résume en entier cette nouvelle loi, le reste est du commentaire. Un sacrifice humain était inconcevable pour le dieu d'Hillel. Ainsi, on a une précieuse image d'une évolution culturelle en train de se faire : un nouveau livre est écrit et attribué à Moïse, et un nouveau chemin de la pensée religieuse s'ouvre. La Bible fait une description de la pensée sacrificielle à différents niveaux de développement. Comme les Aztèques et les Incas qui ont fait évolué le culte solaire pour inclure les dieux des montagnes locales, les hébreux ont retravaillé la mythologie du sacrifice en adaptant consciemment de vieux rituels aux circonstances du moment. Aucune société n'a jamais existé sans une forme quelconque de mythe et de rituel du sacrifice. Mais là où les Incas et les Aztèques ont développé les sacrifices humains à leur paroxysme, les juifs ont fait de la décision unique d'abolir les sacrifices humains, la pièce centrale de leur culture. Les romains, les grecs et les hindous ont réduit les sacrifices humains en les rendant progressivement symboliques mais sans les supprimer totalement alors que les juifs ont développé un système dans lequel le concept de sacrifice humain était une abomination. Mais ces réformes remarquables se firent au prix d'un interdit terrible, source d'une peur immense, une sorte de sacrifice intérieur. Quiconque désobéissait à la nouvelle loi irait dans le Géhenne, l'enfer où il brûlerait pour l'éternité, comme ceux que l'on avait brûlés au Tophet de Jérusalem. Le prophète Jérémie décrit avec entrain le feu éternel de l'enfer, qui devint une part de la religion populaire. Apparemment, seul un interdit radical comme celui-ci pouvait libérer les gens de leur dépendance vis à vis des sacrifices humains. Ironiquement, les moyens pour se libérer furent la vieille méthode même du rituel de la mort projeté dans le cauchemar : ce que les hommes avaient pratiqué depuis le début des temps, devint une punition infligée pour l'éternité par Dieu. La Géhenne et les flammes furent associées avec le démon Moloch. Ce grand démon est né aussi avec ce changement d'attitude envers le bûcher du Tophet, puisqu'à l'origine molek était juste une pieuse offrande sous la forme d'un sacrifice humain. "Ainsi, entre la réforme de Josias et l'ère qui précède le christianisme, on peut apercevoir un évènement des plus rares, la naissance d'un dieu démoniaque, un dieu dont le culte avait été abandonné heureusement depuis longtemps. " |
Le SerpentLa Géhenne est aussi entrée dans les évangiles chrétiens
:"Et si ton œil est pour toi une occasion de pêché, arrache-le ; mieux
vaut pour toi entrer borgne dans le royaume de Dieu que d'être jeté avec tes
deux yeux dans la géhenne où leur ver ne meurt point et où le feu ne
s'éteint point. " (Marc 9:47- 48). Ici nous voyons le Tophet lié au
serpent, que Jésus appelle le "ver dévorant". Coïncidence curieuse, à côté de Carthage, au cinquième siècle après Jésus-Christ , Saint Augustin et les évêques africains qui le soutenaient, déclenchèrent une bataille théologique à propos de l'enfer, cette invention de Josias. Avec ses collègues, ils imposèrent une nouvelle doctrine par laquelle tout enfant mort sans avoir été baptisé allait directement en enfer. Cet enseignement avait pour but d'effrayer les parents païens qui continuaient à dédier leurs nouveaux-nés à Tanit, qui s'appelait maintenant la Déesse des cieux, au lieu de les faire baptiser chrétiennement. Ces dédicaces à Tanit étaient symboliques bien que le père de l'église Tertullien prétendit que les sacrifices d'enfants aient continué secrètement en Afrique du nord encore longtemps pendant l'ère chrétienne. Julian d' Eclanam, un évêque italien ridiculisa la doctrine sur l'enfer de Saint Augustin, en lui demandant : " Dites-moi alors, dites-moi : qui est cette personne qui inflige une telle punition à des créatures innocentes... Vous répondez : Dieu. Dieu, vous dites ! Dieu ! Lui qui a donné son amour, qui nous a aimé, qui n'a pas épargné son propre fils pour nous... Il est le tortionnaire des nouveaux-nés; il est celui qui envoie de petits bébés dans les flammes éternelles." La question de Julian est sérieuse. Est-ce que Dieu envoie des bébés en enfer ? Où le dieu de Saint Augustin est-il, comme le suggère Julian, un démon déguisé ? Peter Brown, un des biographe de Saint Augustin dit que " Augustin avait toujours cru dans l'immense pouvoir du Diable: Dieu avait montré son omnipotence en limitant cette créature sur-humaine." Julian, cependant suspectait qu'Augustin attribuait au diable des pouvoir tels que Satan était plus ou moins l'égal de Dieu. A l'origine, Satan était le messager de Dieu, un messager avec la tache déplaisante de tester les serviteurs dévoués de Dieu, ainsi Satan vient tester Job par exemple. Mais le nouveau rôle de Satan comme Moloch, roi du royaume éternel de l'enfer, qui reçoit les enfants qui brûlent, usurpe l'ancienne position de Yahvé comme prêtre guerrier qui présidait au Tophet de Jérusalem et aux sacrifices des enfants. Sans surprise, Satan prend alors possession des attributs magiques, les cornes, les serpents, etc.. qui étaient ceux de Yahvé, le dieu tempétueux du Mont Sinaï. Le démon, résultat de cette distorsion de la mythologie est ainsi un descendant direct de Yahvé, le dieu terrible du Mont Sinaï. Et comme Satan capture toutes les âmes non baptisés dans la Géhenne ainsi que de nombreuse âmes de chrétiens, ses légions et son pouvoir augmentent constamment. Il acquiert ainsi des proportions fantastiques dans la religion populaire et dans la théologie. Julian d' Eclanum accusait Augustin d'être un manichéen, croyant en un univers divisé où les puissances de ténèbres dépassaient celle de la lumière. Julian oppose le dieu "qui n'a pas épargné son propre fils pour nous " avec celui qui envoie les petits enfants dans les flammes comme deux images irréconciliables, en opposition l'une avec l'autre. Mais ce Dieux qui accepte de sacrifier son propre fils et de le voir subir l'agonie de la crucifixion semble bien être le même qui jette les enfants des autres dans le feu de l'enfer. Tous les deux agissent comme les Seigneurs du sacrifice, qui détiennent leur énorme pouvoir de ces meurtres rituels d'enfants. Dieu le père, qui sacrifie Jésus est à l'image du roi Ahaz immolant son fils au Tophet de Jérusalem. Ce type de sacrifice d'enfants, qui a été mis hors la loi par Josias quelque siècles plutôt, est devenu la pièce centrale de la foi chrétienne. |
Laurence Vance has coined the word “warvangelical” to describe so-called evangelical Christians who are obsessed with supporting all of the state’s wars
and all of the death, destruction, and mayhem that they entail. They ignore the ancient just war tradition of St. Thomas Aquinas, among others, and simply support
all war and all military aggression – as long as the U.S. government is the aggressor.
These are the people who booed at Ron Paul when he reminded them at one of their conventions that Jesus is known as “the Prince of Peace.”
These are the people who became quite hysterical (and hateful) when Ron Paul quoted the Biblical admonition, “live by the sword, die by the sword”
in response to a question about a U.S. Army sniper who had written a book boasting of murdering hundreds of Iraqis after he was murdered after returning
to civilian life.
These are the people whose churches are littered with gigantic American flags that dwarf any Christian icons; who routinely ask anyone who owns a military
uniform to wear it to church; who sing the state’s war anthems at their services; who divert their Sunday offerings away from the poor and needy in their
communities so that the money can be sent to grossly-overpaid military bureaucrats; and who can never stop thanking, thanking, thanking, and thanking “soldiers”
for their “service” in murdering foreigners and bombing and destroying their cities – if not their entire societies – in the state’s aggressive, non-defensive,
foreign wars.
Where did this very un-Christian “religion” of violence come from? The answer to this question is that it first developed as a part of New England’s neo-Puritanical
“Yankees” in the early and mid-nineteenth century. It reached its zenith in the 1860s when, finally in control of the entire federal government,
the New England Yankees waged total war on the civilian population of a large part of their own country, mass murdering fellow Americans by the hundreds of thousands,
and then singing a “religious” song that described it all as “the glory of the coming of the Lord.”
As Murray Rothbard described them in his essay, “Just War”:
The North’s driving force, the ‘Yankees’ – that ethnocultural group who either lived in New England or migrated from there to upstate New York, northern and eastern Ohio,
northern Indiana, and northern Illinois – had been swept by . . . a fanatical and emotional neo-Puritanism driven by a fervent ‘postmillenialism’ which held
that as a precondition of the Second Advent of Jesus Christ, man must set up a thousand-year-Kingdom of God on Earth. The Kingdom is to be a perfect society.
In order to be perfect, of course, this Kingdom must be free of sin . . . . If you didn’t stamp out sin by force you yourself would not be saved.
This is why “the Northern war against slavery partook of a fanatical millenialist fervor, of a cheerful willingness to uproot institutions, to commit mayhem
and mass murder, to plunder and loot and destroy, all in the name of high moral principle,” wrote Rothbard. They were “humanitarians with the guillotine,”
the “Jacobins, the Bolsheviks of their era.”
Clyde Wilson described these neo-Puritanical zealots in a similar manner in his essay, “The Yankee Problem in America”:
Abolitionism, despite what has been said later, was not based on sympathy for the black people nor on an ideal of natural rights. It was based on the hysterical
conviction that Southern slaveholders were evil sinners who stood in the way of fulfillment of America’s driving mission to establish Heaven on Earth . . . .
[M]any abolitionists expected that evil Southern whites and Blacks would disappear and the land repopulated by virtuous Yankees” (emphasis added).
Indeed, the New England Yankee literary icon Ralph Waldo Emerson once predicted that black people, being an “inferior” race, would soon die off and “go the way
of the Dodo bird.”
The renowned historian and novelist Thomas Fleming, the author of more than fifty books, supports Rothbard and Wilson in his latest book, A Disease in the Public Mind.
The main reason why there was a “Civil War,” and why America was the only country to NOT end slavery peacefully in the nineteenth century, writes Fleming,
is twofold: First, there was an extreme “malevolent envy” of Southerners on the part of the New England Yankees, who had always believed that they were God’s chosen
people and should therefore dominate the U.S. government, if not the world. Second, several dozen of the wealthiest and most influential abolitionists had
abandoned Christianity, condemned Jesus Christ, and adopted a bizarre “religion” of violence based on the words and deeds of their idol and mentor,
the mentally-deranged, self-described communist and mass murderer, John Brown, whom they claimed was their real “savior.”
John Brown “descended from Puritans,” writes Fleming, and was “the personification of a Puritan.” He became a “god” to influential New England Yankees like
Ralph Waldo Emerson, who called Brown “that new saint” who “would make the gallows as glorious as the cross.” Emerson praised Brown for having murdered a man
and his two sons in front of their mother in Kansas. The men were not slave owners; Brown said he wanted to “strike terror into the hearts of the proslavery people”
by committing the murders. He went to Harper’s Ferry intending to repeat the crime in spades.
Henry David Thoreau wrote that “Brown was Jesus” and “the bravest and humanist man in the country” (in language that would earn any middle school English student
a grade of F). William Lloyd Garrison was another John Brown idolater, as was his abolitionist compatriot Henry C. Wright, who declared Jesus Christ to be
a “dead failure” and that “John Brown would be a power far more efficient than Christ.”
These literary “giants,” and many other New England Yankee pamphleteers, waged a decades-long campaign of hatred against all Southerners that were so outrageous
that Fleming compares them to the previous New England Puritanical crusades such as the Salem, Massachusetts witch trials (and murders).
It is little wonder, then, that Southerners in 1861 no longer desired to be in a union of states with the likes of Massachusetts and its “witch”-burning,
violence-worshipping, Christ-condemning, neo-Puritanical nuts who, to boot, were hell-bent on plundering them with high protective tariffs.
The glorification of war, violence, and mass killing in the name of “religion” was very prevalent in New England’s newspapers on the eve and on the beginning of
the War to Prevent Southern Independence. It is all eerily similar to today’s worshipping of all things military by the warvangelicals
(and the neocon connivers who use the warvangelicals’ sons and daughters as cannon fodder in their aggressive, non-defensive wars).
For example, on April 26, 1861, the Providence (Rhode Island) Daily Journal editorialized that “At no period in this country’s history, save in the revolution . . .
has it been so glorious and joyful to have a life to give.” The editorial referred to the invasion of the Southern states “the solemn but glorious duty to
which Heaven now calls.” Young men should be “proud” to “die in the holy cause that asks for your services,” wrote the old men at the Rhode Island newspaper,
demonstrating that Dick Cheney, Rush Limbaugh, Sean Hannity, and William Kristol were not the first “chickenhawks” in America. No mention at all was made
of slavery being any part of the reason for the invasion of the Southern states.
On April 27, 1861 the Buffalo Daily Courier wrote that “We do not believe there can be a man . . . who does not thank God that he has lived to see this day.”
The war, said the Buffalo, New York newspaper, was being waged for the purpose of preserving “the sacredness of government” (emphasis added)
And, “the Christianity of the land is vitalized in the prayer that rises from a common altar to the God of battles . . .” Again, there was no pretense that
the war had anything to do with freeing any slaves.
On April 29, 1861, the New York Herald intoned that “without war society would become stagnant and corrupt.” The paper lamented the fact that “For half a
century there has been no war on this soil” and praised “the statesmen of Europe” for instigating wars more frequently than Americans had done.
The chief cause of the war, said the New York Herald, was too much prosperity. “The chief cause of the present war is excessive prosperity.” Americans
were “too happy and too well off,” said the neo-Puritanical, happiness-hating New Yorkers. War would hopefully reverse that situation, they said.
The Philadelphia North American and United States Gazette chimed in on May 6, 1861, that war supposedly “raises the standard of national character, purifies
the moral atmosphere, and dispels the gathering corruption, meanness, and want of principle which long peace and prosperity are apt to engender.”
The war will finally establish the superiority of the Yankee over the Southerner, declared the paper in the City of Brotherly Love:
“When this war terminates the northern man will be recognized for what he is – the true founder of our national glory and greatness.”
(Again, no mention of slaves or slavery, only of empire and “national greatness”).
The pulpit of the Northern states “has almost unanimously been in favor of a vigorous prosecution of the present war,” the Boston Evening Transcript declared
on May 10, 1861. Pretending to speak for the Northern “pulpit,” the Boston editorialists proclaimed that “there is not a word in the New Testament which
forbids” the formation of an army of a hundred thousand men “to annihilate Jefferson Davis and his rascal crew.”
Such a campaign of mass murder would be justified, said the Bostonians, by the Biblical admonition, “Render unto Caesar the things that are Caesar’s, and unto
God the things that are God’s,” the modern-day warvangelicals’ rallying cry. “This necessarily implies the use of force,” they said. And, moreover,
“ by rendering unto Abraham Lincoln, who is our Caesar, the things that are Abraham Lincoln’s, we obey a Divine Command ” (emphasis added).
No mention of slavery here either.
The Springfield (Mass.) Daily Republican was just as bloodthirsty when it wrote on May 27, 1861, that “We can imagine nothing more sublime than a great people moving
unitedly to war.” The paper denounced the peace movement led by the Quakers as “dumb,” and declared the motivation for the invasion of the South to
be “this spirit of noble Christian devotion to the country’s flag,” which the paper called “the sacred national flag” (emphasis added). No mention of slavery,
only the “sacredness” of the state’s symbols as the cause of the war.
The Dubuque (Iowa) Daily Times informed its readers on May 28, 1861 that Southerners were not a religious people (“We suspect that the traitors have precious
few religious meetings”) and warned Southerners of the perils of opposing “an army of men full of christian (sic) courage, with
God and the Right as their watchwords . . .” No mention of slavery there, either.
The real purpose of the war, the Albany (New York) Evening Journal announced on June 1, 1861, was to warn the rest of “Christendom” of the coming
dominance of the American empire. “If we shall succeed in convincing the world that we have a Government strong enough, vigorous enough,
determined enough, to overcome all combinations and attacks, whether from conspiracies within or invasions from without; if we shall be able
to impress Christendom with the conviction that our Western Empire is built upon a rock, which no convulsion can shake, and no tempests undermine –
if we shall be able to do this, and do it effectively, the war, no matter how long or how desperately waged, will be the cheapest enterprise upon
which the nation has ever embarked.” Moroever, “every drop of blood that has been shed” and “every dollar that has been expended”
will “fructify into future blessings.” No mention of slavery. (All of these editorials can be found in Howard Cecil Perkins, editor,
Northern Editorials on Secession (Glouchester, Mass: Peter Smith, 1964), pp. 1063-1097).
Lincoln himself never became a Christian according to the two people who were closest to him – his wife and his long-time law partner William Herndon.
But the old Illinois machine politician who H.L. Mencken likened to a Tammany pol nevertheless was very slick, if not masterful, in his use of religious rhetoric
in his political speeches. As Charles Adams wrote in When in the Course of Human Events, “Lincoln’s Jehovah complex gave the war a psychopathic Calvanistic fatalism,
with God [supposedly] directing the whole affair and punishing both North and South for tolerating slavery.” (Lincoln never attempted to explain why God
did not also punish the British, French, Spanish, Danes, Dutch, Portuguese, and Swedes for slavery. Or free black slave owners in the U.S. for that matter).
The slaughter of hundreds of thousands of young men, the gruesome killing of civilian women, children, and old men, the massive theft of private property
in the South, and the bombing and burning of entire cities and towns would continue, said Lincoln, until God decided otherwise.
“Not even the maddest of religious fanatics ever uttered words to equal Lincoln’s second inaugural address,” wrote Adams.
(Lincoln’s second inaugural address is where he exonerated himself from all responsibility for the war and pinned the blame on God.
The war just “came,” he said, out of nowhere and without his knowledge or participation).
It is worth mentioning that all of this editorializing about the war being waged over the “sacredness” of “the flag” is consistent with what Lincoln cultist
James McPherson wrote in his book, What They Fought For: 1861-1865. After reading hundreds of letters home and diaries of “Civil War” soldiers on both sides
of the conflict, McPherson concluded that the average Yankee soldier believe he was fighting for “the flag,” whereas the average Confederate grunt believed
that he was fighting against a tyrannical government that had invaded his country, bombed his town, and threatened to harm his family.
Having conquered the “sins” of secessionism, federalism, states’ rights, and Jeffersonianism, the early-twentieth-century generation of American humanitarians
with a guillotine set about to use the coercive powers of government to (supposedly) stamp out even more “sin”in the world, especially Catholicism
and alcohol consumption. They viewed American participation in World War I as a grand demonstration project of how Heaven on Earth can be achieved through
Big Government. As Murray Rothbard wrote in his essay, “World War I as Fulfillment: Power and the Intellectuals,” the “religious” warmongers of
the World War I generation were animated by “a postmillennial pietist Protestantism that had conquered ‘Yankee’ areas of Northern Protestantism by
the 1830s and had impelled the pietists to use local, state, and finally federal governments to stamp out “sin,” to make America and eventually
the world holy, and thereby to bring about the Kingdom of God on earth.” They were “dedicated, messianic postmillennial pietists or else former pietists,
born in a deeply pietist home, who . . . possessed an intense messianic believe in national and world salvation through Big Government.”
An illustration of this crazed, murderous philosophy that is offered by Rothbard is a congratulatory letter to Woodrow Wilson from his son-in-law,
fellow pietist “progressive” William Gibbs McAdoo, the Secretary of the Treasury, for having plunged America into the European War.
“You have done a great job nobly!“, wrote McAdoo. I firmly believe that it is God’s will that America should do this transcendent service for humanity
throughout the world and that you are His chosen instrument.” There were more than sixteen million deaths in World War I, including some 7 million civilians.
Such “religious” fanaticism provided a moral cover of sorts for the armaments industry and others who supported (and support) war for monetary reasons only.
Some things never change.
L'histoire de Fabian
L'histoire de la monnaie et du pouvoir racontée comme un conte de fées
Auteur : Larry Hannigan 1971, Australia www.wheylite.com.au
Fabian était excité en répétant le discours préparé pour la foule certainement présente le lendemain. Il avait toujours désiré le prestige et le pouvoir et maintenant, son rêve allait devenir réalité. Il était un artisan travaillant l'argent et l'or, faisant des bijoux et des ornements, mais travailler pour gagner sa vie ne le satisfaisait pas. Il avait besoin d'excitation et d'un défi, et maintenant son plan était prêt à démarrer.
Pendant des génération, les gens avaient utilisé le système du troc. Un homme supportait sa famille en subvenant à l'ensemble de ses besoins ou il se spécialisait dans un commerce particulier. Le surplus de sa production, il le troquait contre le surplus des autres. Les jours de marché étaient toujours bruyants et poussiéreux, cependant les gens recherchaient ces cris, ces gesticulations et en particulier la camaraderie. Cela avait été un lieu de joies, mais aujourd'hui il y avait trop de monde, trop de marchandages et plus le temps de bavarder. Un meilleur système devenait nécessaire.
D'une manière générale, les gens avaient été heureux et ils jouissaient du fruit de leur travail. Dans chaque communauté, un gouvernement simple avait été créé pour garantir les libertés et les droits de chaque citoyen et qu'aucun homme ne soit contraint d'agir contre sa volonté par un autre homme ou un groupe quelconque. C'était le seul et unique but du gouvernement et chaque gouverneur était soutenu par la population locale, qui l'élisait.
Cependant les jours de marché posait un problème qu'ils ne savaient pas résoudre. Est-ce qu'un couteau valait un ou deux paniers de maïs ? Est-ce qu'une vache valait plus qu'un chariot et ainsi de suite. Personne n'arrivait à concevoir un meilleur système. Fabian avait annoncé, "J'ai une solution à votre problème de troc, et j'invite chacun à une réunion publique demain."
Le jour suivant, il y eut foule sur la place de la ville et Fabian expliqua tout sur le nouveau système, qu'il baptisa "monnaie". Cela semblait bien et les gens demandèrent : "comment démarrons nous ?" "L'or que je transforme en bijoux et ornements est un métal excellent. Il ne se ternit ni ne s'oxyde et il dure très longtemps. Avec cet or, je vais frapper des pièces, que nous appellerons dollar." Il expliqua comment grâce à ces dollars, il était possible de valoriser chaque chose et que la "monnaie" constituait donc un outil d'échange - améliorant nettement le système du troc.
Un des gouverneurs demanda, "Des gens peuvent trouver de l'or et frapper des pièces ?" Fabien avait une réponse toute prête : "Ce serait des plus injustes." Seules les pièces approuvées par le gouvernement et qui porteront une marque spéciale seront des dollars. Cela sembla raisonnable et il fut proposer que chacun reçoive le même nombre de pièces. "Mais j'en mérite plus" dit le marchand de chandelles. "Tout le monde utilise mes chandelles". "Non" dit le fermier, "sans nourriture, il n'y a pas de vie, sûrement est-ce moi, qui devrait en avoir le plus." Et le chamaillerie se poursuivit.
Fabian les laissa se disputer puis, il dit, "Puisque vous ne pouvez pas vous mettre d'accord, je suggère que vous obteniez le nombre de pièces que vous souhaitez de moi. Il n'y a pas de limite, si ce n'est, celle de pouvoir me les rembourser. Plus vous en prenez et plus vous devez en rembourser à la fin de l'année. " Et qu'est-ce vous recevrez en échange ?" demandèrent les gens. "Comme je vous apporte un service en procurant la monnaie, j'ai le droit à être payé pour mon travail. Disons que pour 100 pièces obtenues, vous devrez m'en rembourser 105 à la fin de l'année. Ces 5 pièces seront mon coût et je l'appellerai ce coût, l'intérêt."
Il ne semblait pas qu'il exista une autre solution et de plus 5% semblait être un coût assez faible. " Reviens vendredi prochain et nous commencerons." Fabian ne perdit pas de temps. Il frappa des pièces nuits et jours, et à la fin de la semaine, il était prêt. Les gens faisaient la queue devant son échoppe et après que les pièces eussent été inspectées et approuvées par les gouverneurs, le système commença.
Quelque uns n'empruntèrent que quelques pièces pour essayer le système. Ils trouvèrent la monnaie merveilleuse, et rapidement ils évaluèrent chaque chose en pièces d'or ou dollars. Cette valorisation des choses fut appelée le prix de celles-ci et elle dépendait essentiellement de la quantité de travail nécessaire à les produire.
Dans une ville vivait Alan, qui était le seul horloger. Ses prix étaient très chers car ses clients voulaient avoir une de ses montres. Puis vint un autre horloger, qui offrit des montres moins chères pour stimuler ses ventes. Alan fut forcer de baisser ses prix et les deux hommes durent se battre pour offrir la meilleure qualité au prix les plus attractif. C'était une compétition à l'état pure.
Il en fut de même avec les bâtisseurs, les transporteurs, les comptables, les fermiers et dans les entreprises. Les clients choisissaient la meilleure offre et il avaient la liberté de choisir. Il n'y avait pas de protections artificielles telles que des permis, des tarifs pour empêcher que des nouveaux venus se lancent dans la compétition. Le niveau de vie monta, et bientôt les gens se demandèrent comment ils avaient pu faire sans monnaie.
À la fin de l'année, Fabian quitta son échoppe et il alla rendre visite à tous ceux qui lui devaient de la monnaie. Certains avaient plus qu'ils n'avaient emprunté, mais cela signifiait que d'autres en avaient moins, car il n'y avait été émis qu'un nombre donné de pièces au départ. Ceux qui avaient plus remboursèrent ce qu'ils avaient emprunté plus les intérêts, mais ils durent continuer à en emprunter pour poursuivre leurs affaires. Les autres découvrirent pour la première fois, qu'ils avaient des dettes et Fabian avant de leur prêter plus de monnaie prit une hypothèque sur leur capital. Et la vie continua, chacun s'efforçant de gagner les dollars empruntés et ces fameux 5% d'intérêts si difficiles à trouver.
Personne ne réalisa, que le pays dans son ensemble ne pourrait jamais s'affranchir de la dette car même après avoir remboursé toutes les pièces empruntées, il faudrait encore trouver celles correspondantes au 5% d'intérêt, qui n'avaient jamais été émises. Personne en dehors de Fabian n'avait compris qu'il était impossible de payer ces intérêts puisque la monnaie correspondante n'avait jamais été émise. Il est vrai que Fabian dépensait lui aussi de l'argent mais cela ne pouvait pas atteindre les 5% de tout l'argent prêté à l'ensemble du pays. De plus il demeurait orfèvre et gagnait par là aussi fort bien sa vie..
Derrière son échoppe, Fabian avait une chambre forte et les gens trouvèrent pratique de laisser, en sécurité, chez lui une partie de leurs pièces. Fabian prélevait un petit pourcentage sur l'argent déposé, qui variait en fonction de la durée du dépôt. Fabian donna aux propriétaires des reçus pour leur dépôt.
Quand une personne allait faire des courses, il n'emportait plus avec lui beaucoup de pièces d'or et il utilisait couramment les reçus de Fabian pour payer ses achats. Le commerçant reconnaissant l'authenticité de ces reçus, les acceptait comme paiement avec l'idée d'aller chercher plus tard chez Fabian le nombre de pièces d'or correspondant. Les reçus au lieu des pièces d'or physiques, passaient ainsi de mains en mains. Les gens avaient une grande confiance en ces reçus et ils les acceptaient au même titre que l'or.
Bien vite, Fabian s'aperçut qu'il était rare que ses clients viennent collecter leurs pièces d'or. Il se mit à réfléchir, "Là, je suis en possession de tout cet or et je suis toujours un artisan qui travaille dur. Cela n'a pas de sens, quand il y a des dizaines de gens qui seraient prêts à me verser des intérêts pour utiliser cet or qui dort là et que l'on vient rarement chercher. Il est vrai que cet or ne m'appartient pas mais il est en ma possession et c'est ce qui compte. Je n'ai même pas à battre plus de pièces, je n'ai à utiliser que celles qui dorment dans les coffres."
Au début, il fut très prudent ne prêtant que peu à la fois et sur de sérieuses garanties. Puis il devint plus audacieux et il se mit à prêter de larges sommes. Un jour qu'un client demandait un prêt important, Fabian suggéra à celui-ci, "au lieu de transporter toutes ces pièces d'or, nous pourrions réaliser un dépôt équivalent à votre nom et je vous donnerai des reçus équivalents." L'emprunteur accepta et il repartit avec son tas de reçus. Après son départ, Fabian se mit à sourire, il avait trouver le moyen d'avoir le beurre et l'argent du beurre. Il pouvait prêter de l'or et néanmoins en conserver la possession.
Des amis, des étrangers et même des ennemis avaient besoin de fonds pour mener leurs affaires et dans la mesure où ils pouvait présenter des garanties, ils pouvaient emprunter tout ce dont ils avaient besoin. Par le simple jeu d'écriture de reçus, Fabian pouvait ainsi prêter plusieurs fois la valeur totale de tout l'or conservé dans ses coffres et dont il n'était même pas le propriétaire. Tout allait parfaitement pour autant que les propriétaires réels ne venaient pas chercher leur or et que les gens lui faisaient confiance. Il maintenait un livre de compte avec les débits et les crédits de chacun. Ce négoce de prêts se révélait être très lucratif. Son niveau social dans la communauté augmentait aussi vite que sa richesse. Il était devenu un homme important, qui commandait le respect. En matière de finance, sa parole avait la valeur d'un dogme.
Les orfèvres des autres villes devinrent curieux des ses activités et ils vinrent lui rendre visite. Fabian leur expliqua ce qu'il faisait mais il insista sur la nécessité du secret. Si le plan était divulgué, la combine s'effondrerait et ils se mirent tous d'accord pour constituer une alliance secrète. Puis chacun retourna dans sa ville et commença à agir comme Fabian le leur avait appris.
Maintenant les gens acceptaient les reçus au même titre que l'or et bien des reçus étaient eux-mêmes déposés dans les coffres comme les pièces d'or. De plus quand un marchand devait payer quelqu'un pour sa marchandise, il écrivait un simple billet à ordre demandant à Fabian de transférer la somme de son compte sur celui de son fournisseur, ce qui prenait quelques instants à Fabian pour ajuster les comptes. Ce nouveau système devint très populaire et ces billets à ordre furent appelés "chèques".
Un soir tard, les orfèvres eurent une autre réunion secrète et Fabian leur révéla un nouveau plan. Le lendemain, ils organisèrent une réunion avec tous les gouverneurs et Fabian prit la parole. " Les reçus que nous émettons sont devenus très populaires. Sans aucun doute, la plupart de vous, gouverneurs, les utilise et les trouve très pratiques. " Ils acquiescèrent et demandèrent quel était le problème. "Bien", il continua, "certains reçus ont été contrefaits par des faussaires. Il faut faire cesser cette pratique." Les gouverneurs s'alarmèrent. "Que pouvons-nous faire ?" demandèrent-ils.
Fabian répondit, " Ma suggestion est :"
" Tout d'abord, que ce soit de la responsabilité du gouvernement
d'imprimer de nouveaux billets sur un papier spécial avec un dessin
compliqué et que chaque billet soit signé par le chef des gouverneurs.
Nous, les orfèvres seront heureux de payer le coût d'impression de ces
billets, car nous économiserons le temps nécessaire pour émettre les
reçus."
Les gouverneurs réfléchirent, "bien, c'est notre responsabilité de
protéger le peuple contre les faussaires et votre conseil semble être une
bonne idée." Donc, ils acceptèrent d'imprimer les billets.
"Deuxièmement," Fabian dit, "certains prospecteurs d'or se sont mis à battre leurs propres pièces. Je suggère que vous établissiez une loi, par laquelle toute personne, qui trouve une pépite, doit l'apporter. Bien entendu, elle sera payée avec des billets et des pièces."
L'idée semblait bonne et sans y réfléchir plus avant, ils imprimèrent une grande quantité de nouveaux billets craquants. Chaque billet avait sa valeur imprimée dessus - $1, $2, $5, $10 etc. Le faible coût d'impression était payé par les orfèvres. Ces billets étaient beaucoup plus faciles à transporter et ils furent rapidement acceptés par les gens. Cependant en dépit de leur popularité, ces nouveaux billets et les pièces n'étaient utilisés que pour 10% des transactions, les 90% restant se faisant avec les chèques.
La partie suivante du plan de Fabian pouvait commencer. Jusqu'à présent, les gens payaient Fabian pour garder leur argent. Pour attirer plus d'argent dans ses coffres, Fabian offrit de payer 3% d'intérêts sur les dépôts. La plupart des gens pensait bien que Fabian re-prêtait leur argent à 5% et faisait ainsi un bénéfice de 2% mais recevoir 3% d'intérêts sur ses dépôts, était bien mieux que d'avoir à payer la garde de ses dépôts.
Le volume de l'épargne augmenta et avec tout cet argent dans ses coffres, Fabian fut à même de prêter $200, $300, $400 et parfois même $900 pour chaque $100 en billets et pièces déposés. Il devait faire attention à ne pas dépasser ce ratio de neuf, car une personne sur dix venait chercher des billets et des pièces pour ses besoins.
Les gens devenaient suspicieux s'il n'y avait pas assez d'argent, pour satisfaire leur demande, d'autant plus que leur compte de dépôt se montrait créditeur. Néanmoins, sur les $900, dans les livres, que Fabian avait prêtés en écrivant des chèques, il était à même de demander $45 en intérêt, i.e. 5% sur $900. Quand le prêt était remboursé, i.e. $945, les $900 était annulés dans la colonne débit et Fabian conservait $45 correspondant aux intérêts. Il était donc très content de payer $3 en intérêt sur les $100 déposés à l'origine et qui n'avaient jamais quitté les coffres. Cela signifiait que pour chaque $100, qu'il détenait en dépôt, il était possible de faire un profit de 42% , quand la plupart des gens pensait qu'il faisait seulement un profit de 2%. Les autres orfèvres faisaient de même. Ils créaient de la monnaie à partir de rien, un simple jeu d'écriture et en plus, il prenaient des intérêts dessus.
C'est vrai, les orfèvres ne frappaient pas la monnaie, le gouvernement imprimait les billets et battait la monnaie pour les orfèvres, qui avaient la charge de les distribuer. La seule dépense de Fabian et de ses confrères était le coût de fabrication . Mais ainsi, ils créaient une monnaie, le crédit, à partir de rien, sur lequel ils chargeaient un intérêt. La plupart des gens croyaient que la fourniture de la monnaie était l'œuvre du gouvernement. Ils croyaient aussi que l'argent prêté par Fabian avait été déposé par quelqu'un d'autre, mais il était très bizarre qu'aucun dépôt ne baissât quand un emprunt était accordé. Si tout un chacun avait essayé de retirer son dépôt en même temps, la supercherie aurait été découverte.
Quand un emprunt était exigé en billets et pièces, cela ne posait pas de problème. Fabian expliquait seulement au gouvernement que l'augmentation de la population demandait plus de billets et il les obtenait pour le faible coût d'impression.
Un jour, un homme de réflexion vint voir Fabian. "Cette charge d'intérêt est une erreur", dit-il. "Car pour chaque $100 émis, vous demandez $105 en retour. Ces $5 en plus ne peuvent pas être payés, car il n'existe pas. Les fermiers produisent la nourriture, l'industrie manufacture des biens, mais vous seul produisait la monnaie. Supposons qu'il y ait seulement deux hommes d'affaires dans tout le pays, qui emploient tout le monde. Chacun emprunte $100. Chacun dépense en salaire et autres postes $90 et s'octroie une marge de $10 (son profit). Cela signifie que le pouvoir d'achat total du pays est égal à deux fois $90 + $10, i.e. $200. Mais pour vous rembourser, il faudrait que l'ensemble des ventes atteigne $210. Si un des deux entrepreneurs réussit à vendre sa production pour $105, l'autre ne peut pas espérer en vendre plus que pour $95, car il ne restera plus d'argent pour aller au-delà. il vous devra donc $10 et sera contraint de vous emprunter plus d'argent pour tenter de vous rembourser. Ce système est impossible." L'homme continua "Il est évident que vous devriez émettre $105, i.e. $100 pour votre client et $5 pour vos dépenses. De cette façon, il y aurait $105 en circulation, et la dette pourrait être remboursée."
Fabian l'écouta calmement puis il dit, "L'économie financière est un sujet profond, mon garçon, qui demande des années d'études. Laissez moi le souci de ces affaires et occupez vous des votre. Il vous faut devenir plus performant, augmenter votre production, diminuer vos coûts et devenir un meilleur homme d'affaires. Je suis toujours volontaire pour aider dans ces domaines. "
L'homme s'en alla peu convaincu. Il y avait quelque chose de faux dans les opérations de Fabian et il pensait que sa question avait été éludée. Mais la plupart des gens respectait les paroles de Fabian, " Il est l'expert, les autres ont tort. Regardez comment le pays s'est développé, combien la production s'est accrue - nous allons bien mieux."
Pour couvrir les intérêts sur l'argent emprunté, les marchands étaient obligés de monter leurs prix. Les salariés trouvaient les salaires insuffisants. Les employeurs refusaient d'augmenter les salaires, craignant d'être ruinés. Les fermiers n'obtenaient pas un prix raisonnable pour leurs produits. Les maîtresses de maisons se plaignaient que la nourriture fut trop chère. Finalement, des gens se mirent en grève, une chose dont on n'avait jamais entendu parler. D'autres tombèrent dans la misère et leur famille et leurs amis ne pouvaient se permettre de les secourir. La plupart avait oublié ce qu'était la vrai richesse : un sol fertile, des grandes forêts, des minéraux et du bétail. Elle ne pensait qu'à l'argent qui semblait toujours être si rare. Elle ne questionnait jamais le système, qu'elle imaginait être dirigé par le gouvernement.
Quelques uns mirent en communs leurs économies et créèrent des sociétés de prêts et de financements. Ils pouvaient gagner ainsi 6% et plus, ce qui était mieux que les 3% payés par Fabian sur leurs dépôts, mais ils ne pouvaient prêter que l'argent qu'ils avaient. Ils n'avaient pas cet étrange pouvoir de créer de l'argent à partir de rien par un simple jeu d'écriture. Ces sociétés inquiétèrent Fabian et ses amis. Aussi rapidement, ils mirent en place des sociétés semblables qui rachetèrent tous ces trouble-fêtes.
La situation économique s'aggrava. Les salariés étaient convaincus que leurs patrons faisaient des profits exorbitants. Les patrons disaient que leurs ouvriers étaient trop paresseux et qu'ils ne faisaient pas honnêtement leur travail, et chacun blâmait l'autre. Les gouverneurs ne voyaient pas de solutions et de plus le problème immédiat, semblait être comment aider les gens frappés par la misère.
Ils initièrent des programmes d'actions sociales et firent des lois obligeants les gens à contribuer au coût de ces aides, ce qui créa des mécontents, car pour beaucoup, la charité n'avait de sens et de valeur, que si elle était volontaire. "Ces lois ne sont rien d'autre que la légalisation du vol. Prendre quelque chose à quelqu'un contre sa volonté, quels qu'en soient les motifs, n'est pas autre chose que du vol." Mais chacun se sentait démuni et craignait de se retrouver en prison s'il refusait de payer. Ces aides sociales apportèrent un peu de répit, mais avant longtemps, le problème resurgit et il fallut plus d'argent. Le coût de ces programmes se mit à augmenter sans cesse de même que la taille du gouvernement. La plupart des gouverneurs étaient des hommes sincères, essayant de faire au mieux. Ils n'aimaient pas demander toujours plus d'argent à leurs concitoyens et à la fin, ils n'eurent pas de choix autre que celui d'emprunter de l'argent à Fabian et ses amis. Ils ne savaient pas comment ils rembourseraient ces dettes.
Les Parents ne pouvaient plus payer les professeurs de leurs enfants, ni les docteurs. Et les compagnies de transport faisaient faillite. Une par une, le gouvernement fut forcé de prendre en charge ces opérations. Les professeurs, les médecins et bien d'autres devinrent ainsi des fonctionnaires. Peu était satisfait de leur travail. Ils avaient de quoi vivre mais ils avaient perdu leur identité. Ils étaient devenus des petits rouages dans une immense machine. Il n'y avait plus de place pour l'initiative personnelle, pas de reconnaissance du mérite, leur revenu était fixé et la promotion nécessitait la retraite ou la mort d'un supérieur.
Au désespoir, les gouverneurs décidèrent de demander conseil à Fabian. Ils le considéraient comme un sage, qui semblait savoir résoudre les problèmes d'argent. Fabian écouta les gouverneurs expliquer tous leurs problèmes et à la fin il dit, "Plein de gens sont incapables de résoudre leurs propres problèmes, ils ont besoin de quelqu'un pour cela. Bien sûr, vous serez d'accord que les gens ont le droit au bonheur et à recevoir ce qui est essentiel pour vivre. Une de nos grandes idées est ' tous les hommes sont égaux' n'est-ce pas ? Bien, la seule façon d'équilibrer ces choses est de prendre les excédents de richesses des riches et de les donner aux pauvres. Introduisez un système de taxes. Plus un homme possède, plus il doit payer. Prélevez ces taxes selon les possibilités de chacun et distribuez les selon les besoins de chacun. L'école et l'hôpital devraient être gratuits pour ce qui ne peuvent pas payer."
Il fit un long discours sur les hautes valeurs morales et termina, "Oh, en fait, n'oubliez pas que vous me devez de l'argent, que vous m'empruntez depuis un bon bout de temps. Le moins que je peux peux faire pour aider est de vous demander de me payer seulement les intérêts. Laissons le principal de la dette courir, payez moi juste les intérêts."
Les gouverneurs s'en allèrent et sans réfléchir plus avant à tout cela, ils introduisirent un impôt progressif sur les revenus - plus vous gagnez et plus grand est le pourcentage payé. Personne n'aima cela mais il fallait payer ou aller en prison. Les marchands furent forcés de montés leurs prix, une fois de plus. Les salariés demandèrent des augmentations, qui amenèrent les employeurs à remplacer les hommes par des machines ou à délocaliser leurs activités, ce qui causa du chômage et poussa le gouvernement à introduire d'autres mesures d'aides sociales. Des tarifs et des mesures de protections furent introduites pour faire survivre des entreprises et éviter des licenciements. Puis comme les choses se détérioraient, on se mit à contrôler les prix, les salaires et tout un tas de choses. Le gouvernement essaya de trouver plus d'argent avec des taxes sur les ventes, sur les salaires et toutes sortes de taxes. Quelqu'un nota qu'entre le fermier et son blé, et la maîtresse de maison avec son pain, il y avait 50 taxes. Des "Experts" surgirent et furent nommés au gouvernement, mais après chaque réunion annuelle, on pouvait constater que rien n'avait été accompli, qu'on annonçait une nouvelle réforme des impôts, et qu'en résumé, le montant total des impôts allait augmenter.
Fabian demandait le paiement des intérêts, qui consommaient une part de plus en plus grande des impôts.
Puis vinrent les partis politiques, qui se mirent à discuter quel groupe de gouverneurs serait le mieux à même de résoudre les problèmes. Ils analysaient les personnalités, les idéaux, les appartenances aux partis, tout sauf le vrai problème. Les conseils municipaux furent mis en difficulté. Dans une ville, les intérêts à payer sur la dette dépassaient le montant des impôts collectés dans l'année. À travers le pays, le montant des intérêts impayés augmentait et venait s'ajouter à la dette. Progressivement, la vrai richesse du pays devint la propriété ou sous le contrôle de Fabian et ses amis. Dans le même temps, le contrôle des individus augmentait, car la sécurité du système nécessitait un contrôle total de chacun.
La plupart des opposants pouvait être réduite au silence par une pression financière ou être amenée à subir le ridicule publique. À cette fin, Fabian et ses amis avaient acheté la plupart des journaux, des télévisions et des stations de radio et ils choisissaient avec soin ceux qui les faisaient fonctionner. Beaucoup de journalistes avaient le désir sincère d'améliorer le monde, mais ils ne réalisaient pas qu'ils étaient manipulés. Leurs solutions traitaient toujours des effets du problèmes, jamais de ses causes. Il y avait plusieurs journaux, un pour l'aile droite, un pour l'aile gauche, un pour les travailleurs, un pour les patrons etc... Le choix n'avait pas d'importance car aucune ne parlait du problème réel.
Le plan de Fabian était presque abouti, l'ensemble du pays était en dette envers lui. Au travers de l'éducation et des média, il contrôlait l'esprit des gens, qui ne pouvaient penser ou croire que ce que lui Fabian en avait décidé.
Quand un homme a beaucoup plus d'argent qu'il ne peut en dépenser pour son plaisir, qu'est-ce qui lui reste pour se stimuler ? Pour ceux qui ont l'esprit de la classe dirigeante, la réponse est le pouvoir - le pouvoir brut sur les êtres humains. Les idéalistes étaient utilisés dans les média et dans le gouvernement mais les vrais contrôleurs que Fabian recherchait devaient avoir l'esprit de la classe dirigeante. La plupart des orfèvres avaient rejoint cette classe. Leur richesse immense ne les comblait plus, ils avaient besoin de défi et d'excitation et le pouvoir sur la masse était le jeu ultime. Ils se croyaient supérieurs aux autres. "C'est notre droit et notre devoir de diriger. La masse ne sait pas ce qui est bonne pour elle. Elle doit être rassemblée et organisée. Diriger est notre droit de naissance."
Dans le pays Fabian et ses amis possédaient de nombreuses maisons de crédit. Il est vrai, qu'elles étaient détenues par des entités privées et séparées, et en théorie, en compétition l'une avec l'autre, mais en réalité, elles travaillaient ensembles. Après avoir convaincu les gouverneurs, ils établirent une institution, qu'il appelèrent "Réserve centrale de la monnaie". Ils n'eurent même pas besoin d'utiliser leur propre argent pour cela, ils créèrent une ligne de crédit supplémentaire à partir des dépôts de leurs clients. Cette institution donna l'apparence de réguler le volume de la monnaie en circulation et d'être une instance gouvernementale, mais bizarrement, aucun gouverneur ou fonctionnaire ne fut admis au directoire de celle-ci.
Le gouvernement n'emprunta plus directement à Fabian mais commença à utiliser un système de reconnaissance de dette ( I.O.U.'s ) envers la "Réserve centrale de la monnaie". La garantie offerte était le revenu estimé des impôts de l'année suivante. C'était en accord avec le plan de Fabian, qui souhaitait devenir transparent et faire croire que tout cela était une fonction gouvernementale, quand en fait il conserver un contrôle total du tout.
Indirectement, Fabian avait un contrôle sur le gouvernement tel que celui-ci était obligé de céder à ses volontés. Fabian se vantait, "Laissez moi contrôler la monnaie de la nation et je me moque de qui fait les lois. " Peu importait quel groupe de gouverneurs était élu. Fabian contrôlait la monnaie, le sang vivant de la nation.
Le gouvernement empruntait de l'argent, qui était de plus en plus englouti dans les programmes sociaux et le gouvernement avait de plus en plus de mal à payer les intérêts, sans parler du capital. Il y avait toujours des gens pour dire, "la monnaie est un système conçu par l'homme pour le servir et non l'assujettir. " Mais ils étaient peu nombreux et leur voix se perdait dans la folle agitation pour trouver l'argent inexistant de ces intérêts.
Les administrations et les partis changeaient, sans changer grand chose à la politique. Quelque soit le gouvernement, le but ultime de Fabian se rapprochait de jours en jours. Les politiques restaient sans effet, les gens étaient taxés au point où ils ne pouvaient pas payer plus. Le temps était mûr pour la dernière touche de Fabian.
10% du volume de la monnaie en circulation était toujours sous forme de billets et de pièces. Il fallait que cela cesse sans éveiller la suspicion. Quand les gens payait en liquide, ils étaient libres d'acheter et de vendre comme il le voulait, ils avaient encore quelques contrôle sur leur vie propre.
Ce n'était pas toujours sûr de transporter des billets et
des pièces. Les chèques n'étaient pas acceptés partout et donc un système
plus pratique était recherché. Là encore, Fabian avait la solution. Son
organisation allait émettre pour chacun, une petite carte en plastique avec son
nom, sa photo et un numéro d'identité. Quand cette carte serait présentée
dans une boutique, le marchand pourrait vérifier sur un ordinateur central, le
crédit du propriétaire de la carte. Si c'était bon, la personne pouvait acheter ce qu'elle voulait dans la limite d'un certain montant.
Fabian acceptait un découvert gratuitement, s'il était remboursé dans le mois. C'était bien pour un salarié, mais pas pour un entrepreneur qui devait mettre en place
sa manufacture, fabriquer ses produits, les vendre, payer les salaires et rembourser les crédits, car au-delà d'un mois, Fabian chargait les emprunts de 1.5% d'intérêt par mois,
soit 18% par an. L'entrepreneur n'avait pas d'alternative autre que d'ajouter ces 18% au prix de vente et néanmoins ces 18% supplémentaire n'étaient pas en circulation; il
n'avait jamais été crée. Les entreprises se trouvaient donc dans une situation impossible.
Néanmoins le prestige de Fabian et de ses amis augmentait. Regardés comme des pilliers de respectabilité leurs discours sur la finance et l'économie étaient acceptés
au même titre que les dogmes de la religion.
Sous le poids des taxes toujours croissantes, de nombreuses petites entreprises faisaient faillite. et les autres devaient faire face à la multiplicité des règlements
et des autorisations nécessaires pour avoir le droit de travailler. Fabian possédait et contrôlait toutes les grandes compagnies avec des centaines de filiales qui sembaient
être en concurrence alors qu'ils les contrôlait toutes. Les vrais concurrents étaient obligés de fermer ou étaient absorbés par les géants de Fabian, tout cela sous la
protection du gouvernement
Fabian voulait éliminer tous les billets et les pièces pour que toutes les transactions entre les uns et les autres soient consignées
dans un ordinateur central. Dans un premier temps, il pensa utiliser une carte en plastique mais voulant aller plus loin, soit disant pour rendre plus sûres les transactions,
il fit passer une loi obligeant tout un chacun à se faire tatouer sur la main un numéro d'identification, lu seulement sous une lumière spéciale, par un dispositif
relié à un ordinateur central. Ainsi Fabian pouvait tout savoir sur tout le monde.
Cette histoire est évidemment une fiction.
"Banking was conceived in iniquity and born in sin. The Bankers own the earth. Take it away from them, but leave them the power to create deposits, and with the flick of the pen they will create enough deposits to buy it back again. However, take away that power, and all the great fortunes like mine will disappear as they ought to in order to make this a happier and better world to live in. But, if you wish to remain the slaves of Bankers and pay the cost of your own slavery, then let them continue to create deposits."
Sir Josiah Stamp (1880-1941), one time governor of the Bank of England, in his Commencement Address at the University of Texas in 1927.
Pour comprendre ce qui arrive à l'Occident et au monde chrétien depuis la fin du dix-huitième siècle,
cela vaut la peine de lire "The protocols of the elder of Zion", et de Douglas Reed,
"La controverse de Sion", de John Beaty, "Iron curtain over America", de Henry Ford, "The International Jew".
Pour une meilleur compréhension de la deuxième guerre mondiale, il est impératif de lire de Victor Suvorov,
"The Chief Culprit" et aussi les "Rakovsky's revelations".
On y apprend comment une secte perdue en Russie, animée par des Talmudistes,
les gardiens de la Torah écrite et orale, s'est lancé à la conquête du monde au dix-neuvième siècle,
ce qu'elle a réussi et où elle veut nous conduire. Je résume ici ce que j'ai compris et ajoute ce que le temps,
depuis la fin de l'écriture de ces livres, a apporté comme nouvel éclairage.
La Révolution et le Sionisme sont comme les bras gauche et droit d'une même entité, qu'Henry Ford appelle "Le Juif International",
dont le but est l'accomplissement de la promesse messianique: le retour du Messie à Jérusalem et la destruction et l'asservissement
des peuples non-juifs. Le Sionisme est en charge de rassembler la communauté dispersée, de combattre l'assimilation et de creuser
un fossé infranchissable entre les juifs et les non-juifs, en utilisant l'antisémitisme comme arme pour atteindre son objectif.
La Révolution est l'arme pour détruire les structures des États-nations afin de pouvoir en asservir leur population.
Le bras de la Révolution fut le premier à devenir actif, mais dans la clandestinité et
ainsi, il est impossible de dire s'il est le père ou l'enfant des Illuminati de Weishaupt.
Le bras du Sionisme devint actif quand l'Entité prit conscience que les progrès de l'assimilation à l'Ouest
mettait en péril la réalisation de ses objectifs.
Depuis la première guerre mondiale, les services publiques des USA ont été infiltrés par les agents de la révolution
en provenance de la Russie. Ainsi le Président Roosevelt œuvra avec Staline pour déclencher la deuxième guerre
mondiale afin d'étendre la Révolution au monde entier pour en assurer sa pérennité. Avec le support matériel et
financier des USA, Staline devait prendre l'ensemble de l'Europe, y compris les îles Britanniques et Roosevelt
devait écraser l'empire Japonais qui avait frustré Jacob Schiff et donc devenu incompatible avec la Révolution.
Le plan était le suivant : provoquer une guerre en Europe dans laquelle les nations s'épuiseraient pour faciliter
l'intervention de l'URSS afin d'imposer la paix et de transformer ces nations en républiques soviétiques. Pour provoquer cette guerre,
Hitler et l'Allemagne avec tous ses maux résultants du traité de Versailles furent identifiés par Staline comme l'homme et le pays pouvant
être amenés facilement à la guerre. Roosevelt fut chargé de bloquer les négociations entre l'Allemagne et les
autres pays Europeens et après Munich, il ordonna à Beck, Chamberlain et Daladier de couper les relations avec Berlin.
Staline alors pour aider Hitler à solutionner le problème du corridor de Dantzig, lui proposa de partager la Pologne,
et Hitler tomba dans le piège.
Comme promis à Roosevelt, L'Angleterre déclara donc la guerre à l'Allemagne, la France suivit mais tout deux fermèrent
les yeux sur l'URSS qui prenait l'autre moitié de la Pologne, les États-Baltes, un bout de la Finlande et de la
Roumanie. Dans ce plan, la Pologne servit de détonateur, l'Allemagne était piégée et la France et l'Angleterre
partirent en guerre sans comprendre que derrière l'Allemagne se cachait le véritable ennemi :
la Révolution avec L'URSS, d'un côté et Roosevelt de l'autre, tous les deux sous l'égide du "Juif International" .
Le plan ne se déroula pas comme prévu. La France et l'Angleterre étaient supposés être capable de mener une
guerre d'épuisement contre l'Allemagne et leur effondrement fut une mauvaise surprise. De plus Hitler ayant compris
dès décembre 1940 qu'il était tombé dans un piège, et voyant les préparatifs de Staline saisit que sa seule chance
de ne pas être écrasé par le rouleau compresseur Russe était d'anticiper l'attaque de Staline. Staline en
sous-estimant l'audace d'Hitler perdit la première manche entre juin 1941 et Juillet 1942 et avec elle environ
5 millions d'hommes. Le plan devait être modifié : Roosevelt devrait envoyer des soldats en Europe pour aider
Staline à éliminer Hitler et Staline n'était plus à même de remplir les objectifs de la Révolution. Il allait
devoir être obligé de partager l'Europe et cela sonna le début de la fin du Communisme à la Staline.
Ensuite, la période de la guerre froide fut le moment au cours duquel, il fallu repenser la manière de
conduire la révolution mondiale. Ceux qui avaient lancé cette révolution, avaient opté en 1917 pour les
Bolcheviks et le communisme. L'expérience et l'échec de Staline avec sa méthode brutale, et le risque que
Staline, de la même façon que Constantin avait pris le contrôle du Christianisme, se saisisse de la Révolution, les
conduisirent à penser qu'une révolution mondiale du type Menchevik et le socialisme pourrait produire de
meilleurs résultats.
La méthode Bolchevik consiste à rassembler les masses et les transformer en une sorte de rouleau compresseur
pour écraser tout ce qui est devant. La méthode Menchevik utilise le poison pour diviser les peuples,
faire disparaître la classe moyenne, corrompre, pervertir les uns et les autres, et les faire chanter
en utilisant la délation et l'espionnage, et, enfin les plonger dans la confusion en coupant leurs racines afin qu'ils s'auto-détruisent.
C'est la methode utilisée de nos jours.
Je ne crois pas que la connivence entre les talmudistes de l'URSS et ceux des États-Unis, ait cessé
avec la fin de la guerre. La période de la guerre froide a été une période de transition pour réorienter
la manière de conduire la révolution, en passant du communisme bolchevik et son rouleau-compresseur russe,
au socialisme menchevik américain. Ainsi la Révolution est devenue le "Nouvel ordre mondial" et le poison a remplacé la terreur.
Ce passage du communisme au socialisme a permis aussi de supprimer la contradiction apparente entre la révolution
communiste universelle et le sionisme sectaire et nationaliste. Cette contradiction, avec le terrorisme d'Israël, était devenue
trop criante pour beaucoup.
Douglas Reed me semble ne pas avoir compris cette mutation de la révolution mais elle n'était probablement pas
perceptible à ce moment là. Le risque de guerre n'était pas réel, car à cette époque les soviétiques possédaient
l'arme atomique et pouvaient réduire en cendre toute l'Europe et personne en Europe n'avait envie d'aller se faire
tuer pour qui ou quoi que ce soit. Tous ces hurlements et ces incitations criminelles à la révolte
des pays de l'Est en 1956, n'étaient que des manœuvres pour accélérer la fin du communisme bolchevik, qui
n'était plus utile à l'Entité talmudique.
Cette période a aussi servi à donner le temps à certains parmi la nomenclature soviétique pour comprendre que la fin du
communisme pourrait être une opportunité de devenir milliardaires, pendant que leur collègues américain utilisaient
le conglomérat militaro-industriel pour cambrioler les contribuables américains, en raison de la peur et la
menace de l'URSS, artificiellement crées par les média. Aujourd'hui, la révolution menchevik ou "Nouvel ordre mondial"
a réussi avec ses poisons à asservir les populations non-juives des pays dits de l'Ouest incluant la Nouvelle-Zélande
et l'Australie. La Russie, elle a secoué ses chaînes imposées par les talmudistes mais elle ne s'en s'est pas libérée.
C'est probablement aussi une période où le "Juif International", qui rayonnait sur l'Europe et les États-Unis,
s'est sédentarisé dans ce dernier pays. Là, après avoir pris le contrôle de la source du dollar, il a pu se libérer des
limites contraignantes de l'or qui jusque là avait été son arme de destruction massive.
Dès lors son pouvoir de corruption est devenu infini et avec ce nouvel or, le dollar, il a pu ainsi financer la mise en place
de nouvelles technologies de communications et d'information pour espionner les individus, et automatiser les processus
afin de sevrer sa dépendance vis à vis d'eux, et alors, sa marche en avant pour atteindre son objectif, a été fulgurante.
Le combat auquel nous assistons aujourd'hui entre Trump et les démocrates est une querelle entre le Sionisme et le
"Nouvel ordre mondial" (ex Révolution menchevik). Pour ce "Nouvel ordre mondial", il ne faut pas mettre la charrue avant
les bœufs et il faut d'abord détruire tous les états-nations et asservir tous les peuples non-juifs pour rendre
possible le retour du Messie à Jérusalem. Le rôle du Sionisme devrait être celui de souder la communauté des juifs,
de combattre l'assimilation et d'établir définitivement la ségrégation entre les juifs et les non-juifs. Le Sionisme devrait
être le gardien de la doctrine et ne pas chercher à soumettre ou détruire les peuples non-juifs.
Aujourd'hui les Sionistes sont impatients et ils veulent forcer Dieu à accomplir sa promesse maintenant.
Ils misent sur le fait qu'une guerre apocalyptique, devrait amener le retour du Messie à Jéruslem et ainsi les rendre
maîtres du Monde comme promis. Mais le Nouvel ordre mondial craint qu'essayer de forcer la main de Dieu le pousse au contraire
à provoquer la " Catastrophe Juive "; et c'est le pourquoi de la violence exercée contre Trump par les démocrates.
Le Nouvel Ordre Mondial qui est au aux ordres du Malin, le grand menteur, n'a pas compris que son entreprise ne va pas porter les fruits attendus mais conduire
l'humanité à l'apocalypse. Le "World Economic Forum" le porte parole de cet ordre ne nous parle pas de l'apocalypse mais de la "remise à zéro" qui
devrait être réalisé avant 2030. Les hostilités ont été ouvertes en 2020. Terrorisme médical avec le coronavirus, terrorisme écologique avec le changement climatique
et transition énergétique, terrorisme économique avec l'explosions des dettes et des faillites, terrorisme des minorités ethniques, religieuses ou au comportement
sexuel déviant, sont les outils utilisés pour faire perdre la tête aux goyim et les plonger dans des troubles sociaux et des guerres civiles comme celle qui
oppose Ukraine et Russie.
Que va-t-il se passer maintenant, je n'en sais rien. mais néanmoins, j'ai la ferme conviction que sommes en route pour l'Apocalypse.
Je parle de celle existant dans le Judaïsme, le Christianisme et l'Islam, que nombre de croyants, en dépit de leur foi, ne peuvent pas concevoir comme un évènement
pouvant se produire de leur vivant. Les sceptiques pensent que tout cela est un conte pour enfants bercés dans l'obscurantisme mais ce sont ces idées qui ont justifié
la création d'Israël. Chercher à se protéger dans cette période est une perte de temps, car Satan qui est le vrai chef de cet ordre est plus malin
que nous et toutes nos combines voleront en éclats.
C'est Satan qui a le pouvoir sur Terre. Il faut réaliser qu'ici nous sommes en Enfer, le royaume des ténèbres et du mensonge. Ici le Diable achète les esclaves de la maison ( le peuple élu )
pour les utiliser contre les esclaves des champs. Le Diable a besoin de serviteurs obéissants alors que Lucifer nous invite à ouvrir les yeux, à prendre conscience de notre état d'assisté,
à quitter le troupeau et l'Enfer et pemettre à notre âme de trouver la paix et de s'épanouir en attendant la venue de l'Esprit-Saint qui va lui faire passer l'épreuve du feu avant de
pouvoir devenir l'âme d'un enfant fractal de Dieu.
Satan sur Terre se comporte comme le vigneron qui taille la vigne pour qu'elle produise des grappes de raisin, Il est un aiguillon pour pousser les humains à aller de l'avant et non pour
les soumettre. La voie de l'obéissance est celle de ceux qui ne veulent pas assumer leur indépendance, qui ont renoncé à écouter leur conscience, et qui se sentent rassurés par le collier
qu'ils se sont laissés mettre au cou pour faire partie du troupeau que le grand inquisiteur ( des frères Karamazov) conduit paisiblement vers la mort.
Douglas Reed pensait que tout cela conduirait vers la "Catastrophe juive", car la folie guerrière des Sionistes ou la perversion immonde des dirigeants du
"Nouvel ordre mondial",
appelle leur auto-destruction. Mais c'est aussi peut-être un signe que le monde est devenu stérile et et que cette forge infernale n'arrive plus à produire
des enfants de Dieu et alors la "Catastrophe juive" sera accompagnée d'une hécatombe sans précédent pour les non-juifs
incapables de parvenir à l'apothéose.